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Commentaires de livres faits par Leija

Extraits de livres par Leija

Commentaires de livres appréciés par Leija

Extraits de livres appréciés par Leija

« Dan, Dan, ne te souviens-tu pas de lui – des yeux sauvages et une barbe emmêlée qui n’est jamais devenue blanche ? Il m’a regardé une fois, et je ne l’ai jamais oublié.

Maintenant elle a le même regard.

Et je sais pourquoi ! Il a trouvé la formule dans le Necronomicon. Je n’ose pas encore te dire à quelle page, mais quand je l’aurai fait tu pourras lire et comprendre.

Alors tu sauras ce qui a pris possession de moi. Encore et encore et encore, de corps en corps et de corps en corps – il ne peut jamais mourir. »
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"Le directeur était de plus en plus cinglé, Cloporte et ses adjoints se prenaient pour des héros de la Résistance, Sabine Dumont devenait folle de jalousie à cause de mes longues conversations quotidiennes avec Louise : l'hôpital psychiatrique n'était plus qu'un immense manoir encadré par des malades mentaux psychologiquement aussi atteints que leurs patients."
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date : 13-09-2012
«Les tueurs en série sont un phénomène récent.»

Mais quel est ce phénomène nouveau à côté duquel les pires films d'horreur semblent parfois des contes de fées ?
Playboy, 1983

Dans les années 80, on pouvait considérer les tueurs en série comme un phénomène nouveau. Ce type de criminalité était en pleine expansion depuis la fin du XXe siècle et on dénombrait 3 nouveaux tueurs en série chaque mois en 1985.
Mais les serial killers ne sont pas nés avec le monde moderne. Des comportements meurtriers parfois très anciens correspondent parfaitement aux meurtres en série actuels. On pourrait citer un grand nombre de tueurs dont la petite ou la grande histoire a gardé le nom, mais ce qui nous intéresse ici c'est ce qui a permis de parler de «phénomène nouveau».
En plus du développement statistique du nombre de meurtres, c'est la médiatisation du phénomène qui nous intéresse. C'est le statut «extraordinaire» qu'on leur a donné et qui n'a rien de commun avec celui des autres meurtriers. Parce qu'ils défraient la chronique par la violence de leurs actes, parce qu'ils fascinent et effraient, les tueurs en série sont devenus à partir des années 80 de véritables stars.
Les discours sur les tueurs en série revêtent différentes formes (psychologiques, sociétales...) et occupent les supports grand public, car le serial killer fait vendre. Pas seulement dans les journaux, qui voient leur tirage augmenter lors de la médiatisation des faits divers les mettant en cause, mais aussi en librairie, au cinéma, à la télévision. Il est une valeur sûre du thriller. Mary Higgins Clark, Thomas Harris, Michael Connelly leur sont redevables de leur succès.
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« Le vieillard le plus âgé garde toujours l’espoir d’allonger sa vie d’un lendemain. »
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Je m'appelle Alexander Mahone. Il y a trois semaines, je travaillais comme agent spécial du FBI. Costumes sombres, cravates discrètes et chemises claires, impeccables, repassées par un teinturier. L'uniforme, version tailleur à 5 000 dollars le coup de ciseau.
Je possédais également un automatique 9 mm et le droit de m'en servir chaque fois que je le jugeais nécessaire. Mon badge lançait des reflets dorés et imposait le respect. Et c'est ce que je faisais : utiliser mon flingue, enfoncer des portes fermées à double tour, et faire régner la terreur autour de moi. J'étais doué pour ça, vous pouvez me croire sur parole. C'était pour ça qu'on me payait. C'était ma vie. Un soldat idéal, officiel, respectable, sans états d'âme, qui se trouvait du bon côté de la barrière. Je participais à maintenir l'équilibre d'un monde qui menace de s'écrouler à chaque instant.
Sur ordre de la Maison Blanche, le quartier général de Quantico m'avait dépêché au pénitencier d'État de l'Illinois pour mener la plus grande chasse à l'homme qu'ait connue ce pays. Ma mission était tellement simple qu'elle se résumait en quelques mots : retrouver les «Huit des Fox River». Pourquoi m'avoir choisi, moi, pour faire ce boulot ? Pour une raison simple : j'étais le meilleur chasseur du Bureau, et j'allais traquer ces hommes jusqu'à ce que mort s'ensuive, puisque cela était nécessaire.

Trois petites semaines, seulement, ont passé, mais si vous me demandez mon avis, je vous dirais qu'une éternité s'est écoulée. J'ai fait le grand écart. J'ai perdu mon flingue et mon badge, et j'ai troqué mon uniforme pour des hardes de taulard.

Extrait du prologue

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BIENVENUE EN ENFER

Fox River n'est pas un pénitencier comme les autres dans ce pays. C'est un établissement de très haute sécurité. Depuis l'achèvement de sa construction en 1858, jamais aucun détenu n'a réussi à s'en évader. Et il n'y a pas de raison pour que cela change. J'aurais pu être affecté à une autre prison pour purger mes cinq années de détention. Mais j'ai voulu Fox River, parce que Lincoln Burrows doit être exécuté ici même le 11 mai prochain. Et que je ne laisserai personne exécuter mon frère. Lorsque je descends de l'autocar blindé de l'administration pénitentiaire, qui assure le transfert depuis le tribunal de Chicago, nous sommes le 9 avril. Je dispose de trente-deux jours exactement pour mettre à exécution le plan auquel j'ai consacré les trois dernières années de ma vie : faire évader Lincoln.
Dans un pénitencier d'État, la procédure d'enregistrement des nouveaux détenus est immuable. C'est pour cela qu'elle fonctionne aussi bien. Sans accroc. Comme une espèce de chaîne mécanique parfaitement huilée. Les matons commencent par retirer les chaînes qui entravaient mes poignets et mes chevilles. Je ne suis plus obligé de marcher en canard derrière d'autres gars qui, contrairement à moi, découvrent les lieux pour la première fois.
Les gardiens nous font entrer dans la salle d'enregistrement. Une pièce plus bruyante qu'un hall de gare. Les cris et les ordres résonnent contre les murs. À partir de cet instant, je n'ai plus le droit de parler, à moins qu'on s'adresse à moi. Je suis obligé de me déshabiller et, mes vêtements sous le bras, je me replace dans la file d'attente. Arrivé devant une main courante, je tends mon paquet d'habits à un gardien. Sur son badge, c'est écrit Roy Geary. Il récupère la montre en or et le petit enregistreur que je sors des poches de mon costume. Examinant la montre, il lève un sourcil appréciateur et la porte à son oreille pour vérifier qu'elle marche. D'un air détaché, il la glisse dans une enveloppe kraft portant le logo de l'administration.
Toujours en sous-vêtements, je rejoins la procession des nouveaux venus soumis aux procédures d'accueil. Je passe dans une cabine hermétique qui ressemble aux détecteurs de métaux employés dans les aéroports. Ce n'est pas le contenu de mes bagages qu'on vérifie, mais celui de mon estomac. Pour le cas où j'aurais eu la mauvaise idée de vouloir introduire à l'intérieur de la prison autre chose que ma propre personne. Ensuite, nous passons à la douche. Je sais que l'objectif de cette mesure est beaucoup moins sanitaire que psychologique. L'administration pénitentiaire nous lave d'un passé laissé à la porte de la prison, pour faire de nous un nouveau type d'hommes, des prisonniers. Ultime touche de cette mutation : la tenue réglementaire. Je récupère un T-shirt blanc à manches longues, une chemise bleu ciel, un pantalon assorti à une veste bleu marine et un bonnet pour les jours de froid. Suivant la rangée d'autres types, je me poste debout le long d'un mur et j'attends tranquillement que l'on m'appelle, pour savoir dans quel quartier je vais être affecté.
- Suivant !

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