Commentaires

Se lit très rapidement, il est plein de suspens et le personnage est attachant car personne ne veut le croire.

J'ai adoré ce livre !

Je ne lis pas beaucoup de thriller mais alors là ! Ce livre a été une révélation, j'ai accroché du début à la fin.

La plume est tellement fluide et simple, ça se lit tout seul.

Les passages où Cameron se parle à lui-même sont hyper intéressants et on entre vraiment avec lui dans sa tête. J'ai vraiment eu - dans quelques passages - du mal à démêler le vrai du faux. On ne sait pas si il est fou, si c'est le fantôme (qui soit dit en passant est le fantôme le plus mignon de la terre, si si même Casper est ridicule à côté), si c'est réel, dans sa tête bref un bon bordel ahah.

J'ai évidemment eu quelques frayeurs ( et oui ce n'est pas drôle sinon) surtout que je lis principalement le soir, tard, dans mon lit ... Seule...

Bref j'ai adoré, tellement que je l'ai lu en deux jours... Le suspens est au rendez-vous, j'étais incapable de lacher ce livre.

Merci mr. Stratton

THE DOGS est un page turner qui donne froid dans le dos, on y pense après l'avoir fermé et les questions qu'on se pose ne cesse pas.

Cameron est un personnage superbe, il est toujours fidèle à lui même, sarcastique et sur de lui. Sa mère est très protectrice est un paranoïaque lorsqu'il est question de son fils, mais leurs relations est quand même bonnes.

Je ne suis pas une fan des thriller habituellement, mais celui-ci donne envie d'explorer le genre.

Le fait qu'on apprenne des choses sur la maison grâce à Jacky empêche de se retrouver dans des scènes de recherches longues et ennuyante. En plus, Jacky est un personnage adorable.

En ce qui concerne l'aspect psychologique, c'est ce que j'ai préférer dans le roman. Spoiler(cliquez pour révéler)Jacky est-il vraiment un fantôme ou apparait-il seulement car Cameron le crée? Pour moi Jacky est là. On ne pense pas qu'à l'intrigue principale concernant un éventuel meurtre, on réfléchit aussi à la santé mentale des personnages.

L'auteur aborde également un thème pesant, les violences conjugales, qui s'inspire de son expérience personnel. Jacky pense que les violence sont des punitions mérités tandis que Cameron les voient comme ce qu'elles sont vraiment. Ça montre bien le conditionnement qui peut être fait envers les enfants.

J'ai adoré ce roman, impossible à fermer une fois commencé, une impression de trop court en le fermant alors qu'il fait presque 300 pages. C'était une lecture très agréable qui donnait parfois des frissons mais qui a de très bonnes morales.

De prime abord, l'histoire remplissait les attentes, et même plus. L'univers de ce roman est véritablement bien ficelé et permet d'introduire les jeunes (ados/pré-ados) à l'ambiance et les codes d'un polar. Je ne vais absolument pas parler en tant d'experte du domaine, car c'est loin d'être le cas. Justement, Les Chiens est un livre qui m'a donné l'occasion de me réconcilier avec ce type de romans, que je trouve épatant de précisions, d'émotions intenses, de frissons, mais qui me laisse après coup à cauchemarder toute seule dans ma chambre. Je ne blâme pas les auteurs pour mon esprit 'fragile' dirons-nous. En cela j'ai su apprécier à sa juste valeur ce roman, qui est à la fois perturbant, effrayant mais qui sait nous habituer et nous accommoder à ce type d'intrigue qui fait froid dans le dos. Dès le départ, on est plongés dans un sentiment de mal-aise, d'incertitude, comme un brouillard immersif qui ne cessera de nous embrumer l'esprit jusqu'à la dernière page. Au lieu de se révéler profondément barbant ou lassant comme sensation, elle ne fait que nous enivrer que davantage, on est happés dans un mystère sans fin, tout ce qu'on croit être fondé s'effondre d'un coup, en une phrase, et on doit partir dans une recherche perpétuelle. Mais de quoi au juste ? On ne parvient jamais à mettre le doigt dessus. J'aime à voir l'intrigue d'Allan Stratton comme un château de cartes. Au départ, le château paraît solide, on l'a construit de nos propres mains, on se sent en confiance, et, en moins de temps qu'il ne faut le dire, les cartes sont éparpillées au sol (ou sur la table, peu importe). Quand on commence Les Chiens, on flaire (haha, très drôle !) le drame venir, on est tout de suite oppressé par un poids, une ombre qui ne nous quittera jamais complètement. Dommage que cela casse avec le côté enfantin de Cameron, qui a douze ans et cela se sent pour un lecteur plus âgé. Du moins, dans mon cas, je prenais de la distance avec les réflexions et agissements de Cameron, qui me rappelle moi au collège je l'avoue. Que voulez-vous, les temps changent, les enfants grandissent *soupir*. Bref, reprenons ! J'admire l'écrivain, qui a su imaginer, faire naître de sa plume une atmosphère presque étouffante, si peu commune à un roman jeunesse, et qui pourtant ici coule de source et saura attirer les plus novices lecteurs dans un monde où enquêtes, noirceur, secrets, sont de rigueur ... Plus on on avance dans l'histoire, plus on se sent indécis, ébranlés ... L'écrivain parvient à totalement nous manipuler, à nous amener sur la piste qu'il souhaite et on n'y voit que du feu tellement on est pris dans l'intrigue et on souhaite à tout prix en savoir le dénouement ! La frontière entre réel et imaginaire est quasi imperceptible. A aucun moment je n'ai su déterminer si ce que je pensais face à une situation, un fait, un personnage dans l'histoire était vrai ou faux. Encore maintenant, je suis dans le flou. Au départ, j'en ai voulu à l'écrivain, je me sentais comme un peu laissée sur ma fin, mais, après mûre réflexion je peux comprendre son choix. Le réel et l'imaginaire sont-ils réellement dissociables ou non ? Dans tous les cas, j'ai l'impression que ma tête est un nid de questions, j'ai de quoi réfléchir pour longtemps ! Un livre qui fournir des connaissances et une nouvelle vision des choses, qui pousse à penser par soi-même, c'est une bonne chose ! Après, pour les points négatifs, je dirais qu'il y en a deux petits (et encore je fais des chichis) : 1/ Le drame de l'histoire est terriblement triste et injuste (c'est logique, je sais :p) et je comprends qu'il y a une notion réaliste réelle dans toute cette psychose et cette folie incompréhensible, mais vers la fin, cela en devient un peu gros. Enfin, c'est décrit de telle manière à ce qu'un enfant ne soit pas trop choqué. C'est sûr que l'écrivain ne va pas respecter les codes d'un polar pour adultes alors qu'il destine son oeuvre à des lecteurs pré-ados ! Son choix est totalement justifiée. Mais pour moi qui suis une lectrice plus âgée (c'est de ma faute en fait !), au bout d'un certain temps, je me dis que toutes les questions qui perturbent Cameron, le héros, me gonflent un peu. Le crime en soi est atroce, présenté, apporté de manière subtile pour un jeune public à ne pas trop brusquer. Mais les réflexions de Cameron et des autres personnages sont assez ennuyeuses, c'est dommage, car l'intrigue est prenante, on ne décroche pas un instant et le roman est très bien aéré, les chapitres sont courts, c'est un régal à lire car cela n'encombre pas l'esprit, les découpages de chapitre sont réguliers, pas de partie, sous-partie, ou de titres de chapitre, et c'est parfait comme ça, c'est clair, précis, brut et dénaturé, cela colle parfaitement à l'histoire. 2/ Le côté 'cour de récré' avec la vie scolaire toujours banale et décevante (Moi, j'aime l'école, flûté quoi !), le premier jour complètement pourri, les garçons à qui il manque une case tellement ils ont limités, ignorants ... Ces petites parties-là sont essentielles à l'histoire, mais c'est sûrement ce côté 'début de collège' qui me rebute un peu. J'ai grandi et changé, et je ne vois plus le comportement des collégiens de la même manière, je m'en suis éloignée, et du coup, je les trouve assez puérils et désagréables des fois (je parle des personnages du roman). Du coup, ces instants de vie à l'école peuvent sembler un peu longuets et inutiles, même si ce n'est pas le cas. Tout a son importance dans l'histoire par rapport à la ferme, à ce qui s'est produit, aux chiens. Tiens, parlons-en d'eux. Le titre du roman ne pouvait pas être plus approprié car la présence des chiens nous hante, nous écrase à chaque instant. Ils ne sont pas actifs dans l'histoire, mais ils sont tel un nuage noir flottant au-dessus de notre tête, et qui nous menace d'un orage imminent. Les Chiens font peur, ils sont source d'angoisse, de terreur, de violence pure. Et puis à la fin, on n'en apprend pas plus. Pareil que pour rêve/réel, est-ce un signe de manque de perception de la teneur véritable des choses, des êtres ? Sommes-nous incapables de voir le monde sous son autre forme : brutal, douloureux, insupportable, sombrant dans l'inconscience ? Nul ne sait. Si vous deviez retenir une chose, c'est que Les Chiens possède de nombreuses qualités : l'intrigue est très bien rodée, travaillée (surtout quand on sait l'audience qu'elle vise), elle oppresse notre cœur, fait venir les palpitations et se lit comme des petits pains. Certains détails sont quelque peu dérangeants, et l'absence de réponses est désobligeant mais amener à une recherche de connaissance du monde plus profonde.

Les personnages sont sympathiques au demeurant, je n'ai pas de sentiment d'attachement fort en particulier. Certains m'ont carrément laissée de marbre pour tout vous dire. Commençons par le commencement. Cameron, le héros, paraît d'abord assez puéril, même si je me reconnais un peu en lui dans ses réactions, ses phrases. Si je retournais à mes douze ans, j'aurais pu faire copain-copain avec lui, vous voyez. Mais ensuite, le personnage vit une véritable évolution, il découvre des choses qui changent sa perception, il mûrit, il prend de plus en plus conscience de ses erreurs, de ses défauts qu'au départ il n'arrivait pas à affronter. On le voit grandir au fil des pages, même si la frontière entre la folie et la lucidité est véritablement mince, on a la sensation que tous les personnages sont imprégnés de folie et de non-sens. Pour moi, j'ai cru en Cameron jusqu'à la fin (ai-je eu raison ?) et je n'ai pas du tout aimé l'attitude hypocrite des autres habitants, de son entourage à son égard. On ne sait jamais sur quel pied danser avec eux, ils sont sans cesse indécis, ou à se contredire, en se trouvant des excuses toutes faites. Ils sont moulés par la société, et finalement, ils paraissent beaucoup moins ouvert d'esprit ou sains que Cameron. J'ai beaucoup aimé ce garçon, qui doit se débrouiller seul contre le monde, qui essaye d'écouter ses sentiments et en même temps de ne pas décevoir les autres, de se sentir accepté. Pour ce qui est de sa mère, j'ai eu beaucoup de mal avec cette dernière. Elle est certes très gentille et douce mais aussi paranoïaque et très agaçante pour les nerfs. Si j'avais une maman pareille, je l'aimerais sûrement mais je n'aurais qu'une envie : me barrer chez mon père. Pendant une bonne partie du roman, j'étais du côté du paternel, qui appelle affectueusement son fils 'mon pote' et l'aime sincèrement. J'en suis convaincue. Après, à la fin, pas mal de choses me chiffonnent, mais j'en parlerai plus tard. L'agent immobilier, Ken (sérieusement ? OK, il y a des gens qui s'appellent Ken dans le monde. Cependant, là, cela crée un côté Barbie & Ken très exagéré), a un bon fond, sympathique au demeurant, mais j'ai trouvé que cela faisait de trop : trop cliché, trop banal, enfin la totale, ce n'est pas superflu, cela a son importance, mais c'est barbant quoi. Limite, cela devient le monde des Barbapapas, ça casse entièrement avec l'intrigue effrayante et angoissante. Mes personnages favoris sont Jackie & Arty Sinclair, on sent qu'une véritable amitié et loyauté les lie depuis si longtemps, le lien entre eux est si puissant qu'il ne s'est jamais cassé malgré les circonstances. De plus, Jackie est un petit garçon adorable, qui m'a vraiment touchée et que j'aurais voulu prendre dans mes bras pour le réconforter. Mr. Sinclair, quant à lui, incarne le vieil homme bourru, mais qui est tel un gros nounours au fond de son énorme cœur. Le genre de monsieur qu'on voudrait avoir comme grand-père ou simplement comme ami, car on peut lui faire confiance et venir lui parler à chaque instant. Je suis contente que Cameron l'ai eu comme voisin. Enfin, pour Cody, il m'a un peu énervée au tout début mais j'ai senti qu'il n'était pas foncièrement méchant, et qu'il avait souffert pour en arriver là.

La fin du roman me laisse perplexe, je ne sais pas quel est le message et l'objectif du roman.

J'ai adoré ce livre, je l'ai tout simplement dévoré. En lisant ce livre j'ai eu des frissons, j'ai eu peur. Je le conseille vivement.

j'ai aimé ce livre , que j'attendais de dévorer depuis un moment . J'ai été un peu déçue par le coté trop adolescent , j'aurais aimé que sa relation avec son père et ses souvenirs de lui soit davantage développer . En revanche j'ai aimé l'écriture fluide , même si les personnages sont en pleins dans les clichés. Spoiler(cliquez pour révéler)Son ami rond , harcelé par une bande de sportifs J'ai aimé également le fait qu'on ne sait pas si ce que voit Cameron est pure invention psychologique , ou si c'est réelle . je trouve la fin trop rapide et irréaliste , mais je fais partie des gens qui aiment les fins spectaculaires alors je ne vais pas le mettre dans les points négatifs :) en conclusion , livre a lire mais ne vous attendez pas a trembler de peur dans votre lit .

Un livre vraiment très plaisant à lire et qui a certain moments plutôt flippant.

A tous ceux qui s'effraient facilement, je vous le déconseille !!!

A tous les autres, foncez, il est vraiment excellent !!!

https://leslecturessucrees.com/2016/09/26/les-chiens-allan-stratton/

On ne va pas se mentir, ce qui m’a donné envie de lire ce livre c’est sa couverture. Elle est flippante et intrigante et j’ai bien fait de laisser mon intuition me pousser à découvrir cette histoire.

Cameron est un jeune garçon qui déménage sans arrêt avec sa mère afin d’échapper à son père qui est un homme violent. Il ne se souvient que de certaines brides de son enfance et n’a aucune certitude quant aux choses que lui raconte sa mère concernant son père. Une chose est sûre, Cameron est effrayé et en a marre de sans arrêt devoir tout recommencer dans une nouvelle ville. Leur dernier déménagement les conduit dans une vieille ferme qui cache des secrets horribles. Cameron est certain qu’il y a eu des assassinats et il est bien décidé à le prouver.

J’ai tout de suite aimé la personnalité de Cameron. C’est certes un jeune garçon, mais il est intelligent et très mature pour son âge. L’intrigue se met rapidement en place et l’auteur s’amuse à semer des pistes pour confondre nos idées. Les chapitres sont courts et l’écriture est descriptive. J’ai été agréablement surprise par le dénouement de l’histoire.

Je lirai avec plaisir d’autres œuvres de cet auteur, car j’ai adhéré à son style d’écriture. Une chose est sûre, si vous lisez ce livre, n’oubliez pas que Les Chiens vous protègeront.

Acheté davantage pour sa couverture sublime que pour son résumé, "Les Chiens" de Allan Stratton fait partie de ces romans qui, étrangement, vous déçoivent mais vous satisfont à la fois.

C'est que, voyez-vous, j'ai entamé ma lecture en étant persuadée d'avoir affaire à un roman destiné aux adultes, c'est à dire complexe et complet. Au bout d'une page, il m'est apparu évident que ce n'était pas le cas. " Les Chiens" est, de mon point de vue, un roman jeunesse idéal pour faire ses premiers pas dans le genre Thriller, mais assez peu savoureux pour les amateurs chevronnés du genre dont je pense faire partie. Le style expéditif de l'auteur permet la mise en place d'un scénario rythmé. Allan Stratton sait où il va, et fonce droit au but sans se perdre en fioritures inutiles. En un sens, ce sont ces fioritures qui m'ont manqué. J'aime les descriptions riches et foisonnantes de détails, connaître la vie et les plus sombres secrets des différents protagonistes (ou à défaut ceux du personnage principal) et pouvoir presque sentir sous mes pieds l'univers dans lequel ils évoluent. Mais pour ce roman, rien de tout cela ... et c'en est bien dommage car, à cause de ce menu détail, je n'ai eu de frissons à aucun moment. Pas le moindre poil qui se hérisse, rien.

De plus, un goût amer me reste en bouche au terme de cette histoire. J'aurais imaginé une conclusion plus éprouvante, moins facile que celle proposée par Allan Stratton. Il m'a manqué une note d'injustice là-dedans : la fin était trop parfaite pour être goûteuse, bien que je m'en satisfasse. Vous l'aurez compris, je n'aime pas les happy-endings.

Malgré ces quelques bémols, je salue le travail de l'auteur ainsi que son imagination. Le cadre qu'il a donné à son histoire est épatant et je n'ose imaginer les frissons que j'aurais eu s'il s'était engagé dans un récit davantage descriptif et psychologique. Oh, il y a déjà un aspect psychologique à ce roman, je l'admets, mais quel dommage qu'Allan Stratton n'ait pas creusé plus loin à la place de rester en surface des choses. Il avait pourtant toutes les cartes en main pour ficeler un roman qui nous aurait embarqués aux tréfonds de l'esprit humain! C'est que l'histoire a du potentiel, voyez-vous! Elle est prenante, haletante et se parcourt rapidement. Davantage de profondeur et hop! le tour était joué, Allan Stratton obtenait un best-seller!

Lu en un jour à peine, "Les Chiens" m'aura tout de même emballée malgré les quelques points noirs que j'ai pu y trouver. Si vous êtes à le recherche d'un thriller doux, saisissez-vous de ce roman sans hésiter. Pour les amateurs de frissons intenses (du style à vous faire dormir la lumière allumée) ... passez votre chemin.

Ce roman est un thriller psychologique qui nous emmène dans une histoire dramatique et oppressante. L'auteur a su mettre en place une ambiance mystérieuse et sombre qui rend l'histoire très addictive; jusqu'à la fin on se demande quelle tournure l'histoire va prendre. Le tout est bien écrit pour trouver le juste milieu entre une lecture noire et une histoire fantastique. Le roman s'adresse aux ados mais correspond à merveille aux gens voulant se lancer dans le genre sans rentrer dans un texte trop sombre.

L'auteur nous offre un bon roman nuancé comme il faut qui nous tient en haleine du début à la fin que l'on soit fan du genre ou non. Et surtout ce livre se laisse lire très vite et facilement. Ados et adultes mettez-vous dans l'ambiance sombre de halloween avec ce livre accessible à tous !

http://books-story.skyrock.com/3284107968-HALLOWEEN-LES-CHIENS-HALLOWEEN.html