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— Vous êtes fous ? Cette eau est presque bouillante !

Roxanne regarda Dennis d’un air ouvertement amusé.

— Oui, héros. Nous sommes tous en train de nous transformer en œufs durs.

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— Non, c’est juste tout cela qu’il déteste, répondit Gregory en indiquant les traces laissées par la bataille : la neige piétinée, dont une grande partie était teintée de rose, les armes brisées, les flèches et les cinquante-deux cadavres tsurani qui gisaient à l’endroit où ils étaient tombés, y compris les blessés que l’on avait achevés en les égorgeant.

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Il pleuvait à verse, et cette eau était glaciale.

Prudemment, en silence, Dennis Hartraft se faufila parmi ses hommes épuisés. Ils se tenaient immobiles et accroupis sous cette averse matinale, et un grand nombre d’entre eux avaient encoché une flèche à leur arc. Dans leur cape d’un gris sale, ils se fondaient dans la forêt. Cependant, même ainsi, Dennis percevait leur tension : quelque chose n’allait pas. Ils le suivirent du regard tandis qu’il courait de tronc d’arbre en tronc d’arbre, le dos courbé. Au cours de la nuit, les intempéries s’étaient transformées en un mélange de neige fondue et de pluie glacée.

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Il ne pleuvait plus.

Messire Brucal, maréchal des armées de l’Ouest, entra dans le pavillon de l’état-major et s’ébroua comme un cheval de guerre en jurant dans sa barbe.

— Foutu climat, marmonna-t-il.

Le vieux général, encore bien bâti et en forme pour son âge, passa une main gantée sur son front pour écarter ses cheveux humides de ses yeux.

Borric, duc de Crydee et commandant en second du général, regarda son vieil ami avec un sourire ironique. Brucal était un solide guerrier et un allié de confiance sur l’échiquier politique du royaume des Isles. Sur le champ de bataille, c’était un commandant de premier ordre. Mais il souffrait d’une certaine vanité, et le fait que sa majestueuse crinière soit à présent plaquée sur son crâne devait sûrement l’agacer.

— Toujours malade ?

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La journée avait été chaude.

Le capitaine Dennis Hartraft de Hautetour, écuyer du bastion de Wolfgar, se protégea les yeux pour regarder le soleil couchant derrière les montagnes qui bordaient la vallée.

L’arc sur l’épaule, il redescendit lentement de la forêt. Il revenait les mains vides, même s’il avait aperçu plus d’un cerf. Mais le garde-manger était plein, la vallée leur offrait son abondance, et il n’avait aucune envie d’utiliser son arc par cette chaude soirée de printemps. La chasse n’était qu’une excuse pour avoir un peu de temps seul et au calme. Sa conversation avec Alyssa au petit déjeuner l’avait laissé d’humeur pensive. Il s’était remémoré les étranges coups du destin qui l’avaient ramené dans cette vallée après la guerre. Pendant ce temps, les enfants avaient semé la pagaille dans le château. Parfois, il se demandait pourquoi il trouvait leur vacarme plus stressant que le fracas des combats.

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Il ne pleuvait plus.

Messire Brucal, maréchal des armées de l’Ouest, entra dans le pavillon de l’état-major et s’ébroua comme un cheval de guerre en jurant dans sa barbe.

— Foutu climat, marmonna-t-il.

Le vieux général, encore bien bâti et en forme pour son âge, passa une main gantée sur son front pour écarter ses cheveux humides de ses yeux.

Borric, duc de Crydee et commandant en second du général, regarda son vieil ami avec un sourire ironique. Brucal était un solide guerrier et un allié de confiance sur l’échiquier politique du royaume des Isles. Sur le champ de bataille, c’était un commandant de premier ordre. Mais il souffrait d’une certaine vanité, et le fait que sa majestueuse crinière soit à présent plaquée sur son crâne devait sûrement l’agacer.

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Juste après avoir tranché la jambe de son adversaire, Dennis se releva et se remit en garde, cherchant des yeux un autre ennemi. Un elfe noir courut dans sa direction en brandissant une hache de guerre, mais il bascula à la renverse, une flèche dans la gorge. Tinuva rejoignit alors Dennis en encochant une autre flèche.

Du coin de l’œil, il vit Gregory atterrir brutalement sur le toit de la caserne avant de sauter à terre et de se précipiter dans le bâtiment.

A ce moment précis, plusieurs Moredhels tournèrent les talons pour s'enfuir. Dennis siffla pour attirer l'attention d'Alwin. Il montra les fuyards du doigt, et Alwin acquiesça avant d'aboyer un ordre. Une demi-douzaine de soldats se lancèrent à leur poursuite.

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