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— Laird, que faut-il faire de Diormid ? demanda Cormac près de la porte.

Le visage d'Ewan se contracta, mais il se souvint soudain de la réaction de Mairin quand il avait voulu mettre Heath à mort.

— Nous devrions le livrer aux loups, gronda Mairin. Attaché entre deux arbres avec sa blessure qui attirera les prédateurs.

Ewan et ses frères n'en revenaient pas et la regardaient avec des yeux ronds.

— Nous pourrions aussi l'attacher derrière un cheval et le traîner sur quelques miles ? suggéra-t-elle.

Caelen se tenait les côtes de rire.

— Ma parole, vous êtes assoiffée de sang ! Oh, Ewan, j'adore ça. C'est une véritable furie. Décidément, ta femme me plaît beaucoup.

— Je le savais, grommela Ewan qui, exaspéré, contemplait son épouse. Je m'apprêtais à suggérer que nous l'achevions le plus rapidement possible, puisque de toutes les manières, il a peu de chance de survivre avec votre dague dans l'estomac.

— C'est une mort bien trop douce, déplora Mairin.

Comme Ewan fronçait les sourcils, elle soupira.

— Très bien, achevez-le. Mais ne l'enterrez pas sur nos terres. Nous livrerons son cadavre aux buses, qu'en dites-vous ?

Son ton plein d'espoir fit rire son mari qui la serra dans ses bras en secouant la tête avec résignation.

— Oui, ma douce, son cadavre ira nourrir les charognards. Cela vous réjouira de les imaginer en train de lui arracher les yeux des orbites !

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"De retour dans sa chambre, qu'elle n'aurait jamais dû quitter, Mairin se remit à faire les cent pas devant la fenêtre. Cet homme était impossible. Il la rendrait folle en peu de temps. Il était autoritaire. Envahissant. Arrogant. Beau. Et il embrassait comme un dieu.

"Elle gémit et se frappa le front. Non, il n'embrassait pas comme un dieu. Il s'y prenait mal. Jamais Mère Serena n'avait parlé de la langue en évoquant les baisers. Au cours de leurs discussions, elle avait été très explicite avec Mairin, car elle ne voulait pas que celle-ci arrive ignorante au soir de son mariage. "

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- Caelen ! Votre Laird ne serait pas ravi de vous trouver dans son lit !

Caelen leva les yeux au ciel.

- Je crois que pour cette fois, il comprendra !

- Pas moi, se fâcha-t'elle ! Ce n'est pas correct ! Il n'y a que le Laird qui puisse me voir au lit. Oh ! Savez-vous ce que je lui ai dit ?

Ewan haussa un sourcil.

- Je préférerais que vous gardiez cela pour vous, ma belle.

Mais elle n'en eut cure et continua à divaguer.

- Qu'il n'était pas doué pour faire l'amour ! Je ne crois pas que cela lui ait fait très plaisir.

Malgré le regard furieux que lui jeta son frère, Caelen éclata de rire.

- Oh, ce n'est guère courtois de vous moquer de votre laird, objecta Mairin solennellement. En plus, c'est faux. Je me trompais complètement.

Ewan posa une main sur sa bouche pour limiter les propos que provoquait son ivresse passagère.

- Vous en avez assez dit.

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《 — Ewan ?

— Oui?

— Merci de m'avoir empêchée de mourir. J'allais baisser les bras mais vos hurlements m'ont retenue en vie. Vous aimez tant hurler. Vous aviez une bonne excuse cette fois-ci.

Il la serra contre lui, elle le sentit trembler contre elle et devina qu'il riait tout bas.

-Quand vous irez mieux, nous allons avoir une longue discussion.

Elle essaya de se redresser mais il la tenait prisonnière.

-A quel sujet, laird ?

-Des paroles, damoiselle. Des paroles que j’aimerais vous entendre dire.》

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"— J'ai fait passer un message à nos troupes, intervint Caelen. J'espère qu'elles ne tarderont plus.

Ewan inspecta le donjon obscur.

— Comment t'es-tu débrouillé ?

— J'ai menacé l'un des gardes qui nous a jetés au cachot, reconnut Caelen. Je l'ai prévenu que s'il ne voulait pas informer nos hommes de notre sort, je l'embrocherais avec mon épée, le castrerais et livrerais ses parties intimes aux buses.

Alaric se mit à rire."

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— Nom de nom, qu'est-ce qui peut les retenir aussi longtemps ? piaffa Caelen. Dire que nous pourrions être en train de nous entraîner !

Il ne tenait pas en place et étira ses longues jambes. Ewan éclata de rire.

— Je ne trouve pas que mon mariage soit une perte de temps !

— Bien sûr que non, intervint Alaric. Pendant que nous transpirerons sous l'effort, toi tu te prélasseras dans les bras d'une jolie fille.

— Lui aussi va transpirer, suggéra malicieusement Caelen. Mais pas tout à fait pour les mêmes raisons.

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Alaric et Caelen se tenaient de part et d'autre des mariés. Quand le dernier des convives fut servi à leur table, Alaric se leva et réclama le silence. Puis il leva son gobelet en direction d'Ewan et de Mairin.

— À notre laird et à sa dame ! lança-t-il. Que leur mariage soit béni et leur apporte santé, prospérité et de nombreux fils !

— Et des filles... murmura Mairin, si bas qu'Ewan faillit ne pas l'entendre.

Il esquissa une moue amusée tandis qu'il écoutait les clameurs enthousiastes monter du clan.

Puis, il leva son gobelet à son tour et inclina la tête en direction d'Alaric.

— Et puissent nos filles être toutes aussi belles que leur mère !

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Bien décidée à ne manifester aucun remords pour sa bévue, elle fit front et lança au laird un regard furibond. Il était fâché ? Soit ! Certainement pas autant qu'elle.

— Je ne vous ai pas encore donné ma réponse, laird, cria-t-elle presque. Comment avez-vous pu...

Comment avez-vous osé commettre un acte aussi... aussi... mesquin et honteux ?

Dans les yeux de ce dernier, la colère laissa la place à une totale stupéfaction. Il la regardait avec une mine tellement ébahie qu'elle se demanda s'il n'avait pas mal compris. Alors elle se hâta de lui préciser ce qui la mettait autant hors d'elle.

— Vous avez dit à votre fils que j'allais devenir sa mère ! attaqua-t-elle en appuyant un doigt vengeur sur sa poitrine. Vous m'aviez donné deux jours ! Jusqu'à l'arrivée du prêtre. J'avais deux jours pour prendre ma décision et pourtant vous avez prévenu tout le monde que j'allais être la nouvelle châtelaine.

Elle se mit carrément à tambouriner sur sa poitrine.

Le laird regarda ses mains comme s'il s'agissait d'un insecte importun, puis il releva un regard glacial qui la fit frémir.

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— Que faites-vous ?

Il lui expliqua, le visage grave :

— Vous avez été blessée. Laissez-moi vous déshabiller pour que je sache où vous êtes touchée.

— Blessée ? Moi ?

Il était vrai qu'elle avait très mal au côté.

— C'est cette flèche, poursuivit Ewan. Il y avait du sang par terre, là où vous vous teniez. Avez-vous mal quelque part ?

— Au côté. C'est effectivement très douloureux, maintenant que vous m'en parlez.

Il posa sa main sur son flanc et elle gémit. Il fit une grimace.

— Quel maladroit je fais ! Pardonnez-moi, mais il faut que je voie de quoi il retourne.

Il prit son couteau à sa ceinture et découpa sa robe.

— Ma robe est fichue, se désola-t-elle. Bientôt, je ne me promènerai plus qu'en chemise de nuit.

— Je vous en ferai faire une nouvelle, marmonna-t-il. Cela parut la réconforter. Son couteau vint rapidement à bout de ses vêtements.

Il la fit ensuite basculer sur le côté et elle le sentit se raidir.

— Eh bien, damoiselle, vous avez bel et bien été touchée par cette flèche.

Elle se tendit et finit par lâcher d'un ton furieux :

— Touchée par une flèche ? Dites plutôt qu'un de vos hommes m'a prise pour cible ! J'aimerais bien savoir de qui il s'agit. Et je lui flanquerai un des chaudrons de Gertie sur la tête.

Ewan éclata de rire, visiblement soulagé.

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— Ewan ? murmura-t-elle. Il mit un moment avant de répondre.

— Oui, ma damoiselle ?

— J'avais tort.

Il bougea un peu, frotta son visage contre sa joue et demanda :

— À quel sujet ?

— Vous êtes très doué pour faire l'amour.

Il éclata de rire et la serra plus fort contre lui. Elle bâilla, se pelotonna plus étroitement dans ses bras et ferma les yeux. 

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