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Extrait ajouté par anonyme 2018-03-20T19:42:27+01:00

Les bourgeois s' armaient toujours contre les voleurs, contre les loups, contre les laquais, -souvent contre les seigneurs et les huguenots, quelquefois contre le roi mais jamais contre le cardinal et l' Espagnol.

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Extrait ajouté par Allyssahp 2017-07-21T18:01:55+02:00

Un bas fin et blanc, une robe de soie, une guimpe de dentelle, un joli soulier au pied, un frais ruban sur la tête, ne font point jolie une femme laide, mais font belle une femme jolie, sans compter les mains qui gagnent à tout cela ; les mains, chez les femmes surtout, ont besoin de rester oisives pour rester belles.

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Extrait ajouté par Allyssahp 2017-07-21T18:01:37+02:00

- Votre affaire n’est pas mauvaise, dit Athos [...], et l’on pourra tirer de ce brave homme cinquante à soixante pistoles. Maintenant, reste à savoir si cinquante à soixante pistoles valent la peine de risquer quatre têtes.

- Mais faites attention, s’écria d’Artagnan, qu’il y a une femme dans cette affaire, une femme enlevée, une femme qu’on menace sans doute, qu’on torture peut-être, et tout cela parce qu’elle est fidèle à sa maîtresse !

- Prenez garde, d’Artagnan, prenez garde, dit Aramis, vous vous échauffez un peu trop, à mon avis, sur le sort de madame Bonacieux. La femme a été créée pour notre perte, et c’est d’elle que nous viennent toutes nos misères.

Athos, à cette sentence d’Aramis, fronça le sourcil et se mordit les lèvres.

Chapitre IX.

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Extrait ajouté par evachrtn1010 2017-03-19T17:52:36+01:00

"En général, on ne demande de conseils, disait il, que pour ne pas les suivre; ou, si on les a suivis, que pour avoir quelqu'un à qui l'on puisse faire le reproche de les avoir donnés."

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Extrait ajouté par evachrtn1010 2017-03-12T19:57:51+01:00

-Au revoir donc , mon maître.

-Au revoir mon oublieuse.

-A demain , mon ange!

-A demain, flamme de ma vie!

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Extrait ajouté par Laurien 2017-01-13T20:00:14+01:00

"Je défends à mes mousquetaires d'exposer leurs jours sans nécessité, car les braves gens sont biens chers au roi, et le roi sait que ses mousquetaires sont les plus braves gens de la terre"

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Extrait ajouté par Emrys98 2016-05-25T20:39:22+02:00

Je vous pardonne, dit-il, le mal que vous m'avez fait; je vous pardonne mon avenir brisé, mon honneur perdu, mon amour souillé et mon salut à jamais compromis par le désespoir où vous m'avez jeté. Mourez en paix.

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Extrait ajouté par Rowena77 2016-05-17T16:23:58+02:00

Ces réflexions l'avaient conduit plus loin qu'il ne croyait, et le jour commençait à baisser, lorsqu'au dernier rayon du soleil couchant il lui sembla voir briller derrière une haie le canon d'un mousquet.

D'Artagnan avait l'oeil vif et l'esprit prompt, il comprit que le mousquet n'était pas venu là tout seul et que celui qui le portait ne s'était pas caché derrière une haie dans des intentions amicales.

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Extrait ajouté par Rowena77 2016-05-17T16:20:11+02:00

"Heureusement qu'elle est loin, observa Porthos ; car j'avoue qu'elle me gênerait fort ici.

- Elle me gêne en Angleterre aussi bien qu'en France, dit Athos.

- Elle me gêne partout, continua D'Artagnan.

- Mais puisque vous la teniez Athos, dit Porthos, que ne l'avez-vous noyée, étranglée, pendue ? Il n'y a que les morts qui ne reviennent pas.

- Vous croyez cela, Porthos ?"

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Extrait ajouté par Rowena77 2016-05-11T10:03:35+02:00

"D'Artagnan revint chez lui en courant, et quoiqu'il fût plus de trois heures du matin, et qu'il eût les plus méchants quartiers de Paris à traverser, il ne fit aucune mauvaise rencontre. On sait qu'il y a un dieu pour les ivrognes et les amoureux."

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