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Commentaires de livres faits par LisaMalius

Extraits de livres par LisaMalius

Commentaires de livres appréciés par LisaMalius

Extraits de livres appréciés par LisaMalius

Ils s'étaient à peine rencontrés, mais le fait de se débarrasser de corps ensemble ne raccourcissait-il pas le temps nécessaire à la formation d'un lien étroit ?
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Lorsqu'Abaddon sourit, sa large bouche s'étira en une expression si ensoleillée qu'il fut impossible d'imaginer qu'il avait tué un homme il n'y a pas si longtemps. Même si toute cette scène n'avais été qu'un rêve inventé dans l'enfer de l'esprit de Gabriel.
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- Toi ? Tu te soucies de moi ?
-Oui, assura Gabriel en remontant ses doigts jusqu'au épaules d'Abaddon. C'est le moins que je puisse faire. Tu me protèges, tu m'as montré la vérité, et tu venges ma douleur. Tu n'es pas le seul à être né ici, parce qu'un nouvel avenir pour moi était ton jumeau.
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— Pourquoi tu te mets tellement de pression pour un truc qui est censé être sympa ? Si ça doit te stresser où te rende mal à l’aise, alors laisse
tomber, c’est que ce n’est pas le moment. Personne ne t’oblige à avoir une copine ou à avoir des relations sexuelles. Il n’existe aucune norme. Si tu es heureux tout seul, alors sois seul. Si tu veux une relation platonique, choisis une relation platonique. Si tu veux baiser, baise. Mais arrête de te prendre la tête ! Ce que les autres désirent, pensent ou disent, on s’en bat les reins. Tu es le seul à pouvoir décider ce qui est bien pour toi.
Kamil
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date : 17-12-2023
Il ne s'est rien passé entre nous. C'est un mensonge éhonté, j'ai embrassé son âme à la place de sa bouche, il a fait l'amour à mon cœur au lieu de mon corps. C'est une intimité psychique encore plus fort que le physique. Lorsque nos lèvres se rencontreront, parce qu'elles finiront par s'unir, il faudra s'attendre à un tremblement de terre.
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Emile, mon très cher fils,
Deux mois. Deux mois durant nous aurons fait de Paris une démocratie directe telle que Jean-Jacques Rousseau l’appelait de ses vœux.
Hier, tandis que les Versaillais et les Prussiens envahissaient le Père-Lachaise, ta mère, ma chère Angèle, fut fauchée les armes à la main. En ce dimanche matin, j’attends, comme mes camarades d’être fusillé. Oh, ne sois pas triste, mon tendre garçon, car nous mourrons, comme nous avons vécu, pour une certaine idée de la République. Mon seul regret sera de ne pouvoir mener à terme ton éducation. Je me console toutefois en sachant que, du haut de tes neuf ans, tu portes en germe, un homme libre, farouche et fier. N’aie nulle crainte, Emile, avance dans la vie avec confiance car tu as ce que peu on, ton Talent. Et quand tu douteras de tes choix, reprends pour toi cette question, la seule qui vaille : « A quoi cela est-il bon ? »
Ton père aimant,
Jean-Baptiste Farges
Le 28 mai 1871
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