Commentaires

j'ai dévorée se livre mais j'ai eu beaucoup de mal a le lire car a certain moment je l'ai trouver violent, mais se qui est sur c'est qu'une fois avoir lui on ne pense plus pareil et on voit les chose différemment .

Un avis bien difficile à donner... J'ai dévoré et adoré ce livre... Même si je l'ai trouvé dérangeant ! Mais je pense que c'est le but ! On s'attache à cet enfant et aux autres personnages. On suit à travers Max la montée de la guerre et de la violence !

C'est dérangeant, palpitant, dur mais je le conseille à tout le monde !

Ce livre m'a fait pleurer. Beaucoup d'émotions !

Et une fin qui m'a donné le goût du trop peu ! J'en voulais encore et encore !

Je me souviens avoir étudié au collège et au lycée cette partie bien triste de notre histoire... encore et encore ! Pourquoi ne pas le faire lire aux élèves ? J'aurais aimé lire ce livre au lycée.

j ai adiré ce livre c est mon livre préféré

pour faire cours: lisez le !!!!!!!! absolument!!!!!! a tout prix !!!!!

vous allez voir vous allez adorer

Super roman . J ai adorais le thème sa ma mis en allène du début a la fin . Son attache a max et j est adorais le suivre du début a la fin . Il nous touche avec son histoire . Thème super bien aborder. Mot facile a lire .

Ce livre est une bombe ! J'ai hésité à commencé ce livre mais je ne regrette pas de l'avoir fait ! Les personnages sont attachants. Je trouvais Konrad assez dur et j'avais du mal à m'y attaché au début mais par la suite il évolue et c'est super. De plus, la détermination des personnages est impressionante ! Enfin, l'intrigue amène son lot de suspense.

Ce livre est rafraichissant et interresant dans son contenu et son scénario.

Ce que j'ai aimé dans ce livre, c'est cette histoire, l'histoire de Max, enfant modèle de la" race aryenne" dont on suit l'évolution à travers ses mots. C'est cela qui fait la force du livre, le point de vu de cet enfant, parfois cru, les mots qu'il emploi, parfois durs. Ce que j'ai aimé dans ce livre, c'est aussi le témoignage qu'il incarne. Témoignage de la Seconde Guerre mondiale, de cette période vu au travers d'un enfant né au cœur du nazisme. C'est une fiction incroyable et un véritable témoignage enrichissant.

A lire absolument !

Mon commentaire va probablement être court parce que je n'ai pas grand chose à dire sur ce livre. En vérité, le peu que j'ai à dire sur Max veut tout dire selon moi.

Alors c'est parti.

J'étais vraiment intriguée par ce roman. Je voulais à tout prix découvrir ce qui se cachait derrière cette couverture et ce résumé.

Ce que j'ai vraiment tardé à faire puisque Max est dans ma PAL depuis de très longs mois.

Mais je l'ai enfin lu.

Malgré quelques longueurs, selon moi, ce roman vaut la peine d'être lu. Bien-sûr, c'est pas le genre de lecture à effectuer si vous cherchez un sujet sans prise de tête.

Bien-sûr que non.

Mais sincèrement, il vaut le coup. Même si ce n'est pas le genre de lecture qui vous plait d'habitude.

Je vais le dire simplement Max m'a retourné. C'est une lecture un peu difficile à effectuer à certains moments. Sûrement parce que ça relate des faits réels.

Aussi dur soit-il, Max est un roman retournant et touchant.

De plus, j'ai trouvé que l'auteure a fait un très bon travail avec ce roman. Déjà d'ordinaire, écrire un roman n'est pas facile. Mais en écrire un traitant d'un tel sujet révèle d'un véritable défit que Sarah Cohen-Scali a su relever avec beaucoup de talent.

Je craignais un peu cette lecture, j'avoue. J'avais peur qu'au final, le contenu et les personnages soient plats. Mais pas du tout. J'ai même fini par m'attacher aux personnages.

J'ai trouvé qu'ils avaient quelque chose d'authentique et d'inoubliable.

Spoiler(cliquez pour révéler)La mort de Lukas m'a donc beaucoup attristée. De tous les évènements horribles que contient Max, j'ai eu l'impression que la mort de ce personnage était encore plus horrible que tout.

En conclusion, Max est un roman qu'il faut lire au moins une fois dans sa vie. Ce roman nous révèle l'histoire d'une manière exceptionnelle, il nous révèle une réalité horrible et rude mais que tout le monde devrait connaître.

Je recommande Max qui est donc un roman d'une grande réalité et intéressant.

Une surprise pour moi et aussi dérangeante soit l'histoire c'est une découverte unique qu'est ce roman.

Une histoire très originale avec un anti-héros super attachant... La façon dont ce livre est écrit est très intéressante et fait énormément réfléchir sur ce qu'était de vivre en Allemagne dans le III Reich. Je trouve que c'est un livre qui fait également réfléchir sur ce qu'est l'enseignement. Doit-on croire tout ce qu'on apprend à l'école? Cette question est-elle valable de nos jours?

Je vous le conseille très très vivement!!

Max est vraiment un livre très étonnant.

Je voulais le lire depuis un petit moment sans trop savoir sur quoi je tomberais et franchement j'ai été suprise.

Parce que pour une fois, ce n'est pas le même point de vue, nous ne voyons pas les horreurs de la guerre du côté d'une victime ou d'un résistant mais du côté de l'une des personnes les plus endoctrinées par l'idéologie nazie : un enfant.

Et je dois dire que j'ai été troublée de voir le développement de Max; du moment de sa conception à la fin du livre.

J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur qui est assez crue mais qui nous révèle son histoire sans faux semblant.

Un très bon livre.

Qui ne s’est jamais demandé comment les allemands avaient pu ainsi suivre aveuglément Hitler durant la seconde guerre mondiale ?

Max, c’est le nom officieux de cet enfant. Ce premier enfant représentatif du programme Lebensborn destiné à former la future jeunesse allemande ; aryenne. Il est l’allemand parfait ; blond aux yeux bleus, athlétique, intrépide, et, surtout, complètement aveuglé par les discours d’Hitler accompagnés d’un bon lavage de cerveau.

Dans un premier temps on déteste Max. On le déteste pour ses pensées, ses idées racistes, amères, bien trop élaborées pour un simple enfant d’un an. On le déteste car, même dans le ventre de sa mère, il nous dévoile tout son amour pour le Führer, il nous le décrit avec une telle adoration, un tel dévouement que nous, français, anglais, américains, qui avons entendu parler de cet homme des bouches de nos pères, mères, grands-pères, avec tellement de haine et de mépris, nous ne pouvons pas nous empêcher de haïr ce garçon qui soutient un tel tyran.

Ensuite, notre haine s’amenuise un peu, quand on se rend compte que cet enfant est capable d’un semblant d’humanité. Même s’il vit toujours dans le même état d’esprit, on se rend compte qu’il est capable d’aimer. Il aura toutes les peines du monde à se séparer de sa mère biologique, montrant un certain attachement et une capacité d’affection. Chaque fois qu’il sera en présence d’une femme lui montrant un semblant d’affection maternelle il redeviendra presque un bébé puis un enfant comme les autres, heureux de rire et se retrouver dans les bras d’une femme l’aimant.

Puis, on devient perplexe quand on se rend compte qu’il n’a aucun mal à accepter la mort de centaines d’innocents par jour jusqu’au moment où c’est une jeune polonaise, qu’il appréciait, qui vient à lui être arrachée pour rébellion. Il se questionne alors sur les droits de vie et de mort, tout en restant dans l’optique que, de toute manière, le Führer a raison.

Plus le temps passe et plus Max quémande un constat social important. Il croit s’être trouvé un frère aux côtés de Lukas jusqu’au jour où il découvre que son acolyte est polonais ET juif. Viendra alors toute une remise en question ; les juifs peuvent-ils avoir les yeux bleus et les cheveux blonds ? Apparemment oui puisque c’est le cas de Lukas.

Max prendra alors une décision qui va changer sa vie ; habitué à être dans les bonnes faveurs de tous en étant un aryen exemplaire, il ne va pas dénoncer Lukas. Il va, au contraire, le protéger et étudier son comportement. Il se rend compte que le garçon, bien que juif, est très fort de caractère comme tout aryen qui se respecte et il est un des meilleurs de l’école, la Napola, où ils sont envoyés.

Toutes les convictions de Max s’effondrent les unes après les autres et l’enfant est bientôt totalement perdu.

Ce roman est vraiment très éprouvant. Tout au long on vit dans le corps d’un enfant avec un esprit d’adulte, hitlérisé, au possible. De ce fait on ne sait qui blâmer ; au début on en veut à Max lui-même, puis on se défoule sur Hitler en personne et sur ses idées faussées, puis on en veut au monde entier ; on en veut aux humains eux-mêmes qui ne savent pas s’accepter les uns les autres et qui préfèrent laisser à leurs enfants un avenir de sang et de mort que de paix et de bonheur.

Conclusion : Un internaute avait dit « on adore détester Max et on ne déteste pas l’adorer », il n’y a pas de phrase plus juste pour résumer ce roman choc et terriblement prenant.