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— Un jour, il m’a jetée dans une rivière où vivait un monstre tueur. — Eh bien voilà. Ça, c’est le Coyote que je connais et que je déteste.

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— Pourquoi n’es-tu pas en train de dormir ? demandai-je à Gary. — Parce que je suis un fugitif et qu’un avocat dormait dans la même pièce que moi, répondit-il avec fougue.

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— Il a passé une grande partie de sa vie à essayer de m’éviter. Son tee-shirt blanc faisait ressortir sa longue tresse noire nouée par un chouchou rose. — Si tu ne l’avais pas envoyé en prison lors de ta dernière visite, il aurait peut-être plus envie de te voir, répliquai-je en tentant de détourner mon attention du chouchou. Il était orné d’une chaîne avec un agneau blanc en pendentif. J’étais prête à parier que Coyote l’avait mis exprès pour moi. Je me retins de toucher l’agneau attaché au collier que je portais.

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— Mon cœur, tu me le dis chaque fois que tu n’arrives pas à détourner les yeux, et tu le sais. Il rit encore, puis ajouta, de cette voix profonde semblable à un grondement qui constituait son arme secrète : — Et tu adores quand je te parle comme ça. — Il n’y a pas de porte ! couinai-je. Elle viendra voir et fera en sorte d’amener Jesse avec elle. Adam se figea et gronda vraiment. — Tu as raison. Et je m’en fiche presque. — Jesse, insistai-je. — Jesse, concéda-t-il avec un grommellement avant de se redresser, mouvement qui s’accompagna d’une agréable contraction de ses abdominaux. Il entreprit de se déshabiller, sans prendre la peine de cacher son excitation. Si Christy arrivait à ce moment-là, elle aurait un joli rappel de ce qu’elle avait jeté par la fenêtre. — Tu devrais te préparer pour la nuit, me recommanda-t-il, bougon. Le matin arrivera vite. — Je garde mes habits, rétorquai-je, aussi ronchonne que lui. Sans porte, tout le monde se sentira libre de passer te faire part de ses doléances. (« Tout le monde » signifiant « Christy ».) Je préfère ne pas prendre de risque. — Qu’ils viennent, ils recevront ce qu’ils méritent, répliqua Adam, entièrement nu, avant d’étendre la couverture sur le matelas, et sur moi par la même occasion. Je gigotai jusqu’à me mettre dans le bon sens, puis dégageai mon visage de sous la couverture pendant qu’Adam se glissait dans le lit. Il se plaqua contre moi, nous enveloppant tous les deux de son odeur.

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Je n’ai pas l’habitude. — Ta voix, lui fis-je remarquer. Il partit d’un rire joyeux qui contenait la même tonalité rauque chargée de sensualité. Il roula jusqu’à se trouver au-dessus de moi et me mordilla la joue. — Tu aimes mon corps. Tu aimes quand je transpire, et tu aimes regarder mon ventre quand je fais des abdominaux. — Hé ! m’exclamai-je, faisant mine d’être indignée. Je ne t’ai jamais dit ça. Il s’esclaffa de nouveau.

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— J’ai été si bête de lui faire confiance. Non mais c’était à se tirer des balles. J’étais sûre qu’elle repasserait aux larmes dès qu’elle bénéficierait du public adéquat. Jesse me décocha un sourire tendu, puis tourna les talons et se glissa hors de la cuisine, loin des scènes théâtrales de sa mère. Je rejoignis Adam. — Pour moi, elle est responsable, marmonnai-je à voix basse.

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Je m’étais abstenue de dire un certain nombre de choses. Notamment que, si elle aimait tellement cette nappe, elle aurait dû l’emporter. Ou encore que, si j’avais su que sa grand-mère la lui avait donnée le jour de son mariage, je l’aurais réduite en lambeaux et l’aurais remplacée par une nappe en papier pour le dernier repas de Thanksgiving. Gardant pour moi mes commentaires, j’avais ignoré son cinéma et étais montée me changer, laissant Adam l’écouter tandis qu’elle essayait de déterminer s’il existait un moyen de sauver la nappe de sa grand-mère.

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— Je m’assurerai que Kyle sache combien tu l’aimes, Mercy, rétorqua Warren. — Il sait que je l’aime, affirmai-je. Mais depuis le premier jour, je m’efforce d’informer les loups-garous qui vont chez toi de la situation exacte, afin d’éviter qu’il y ait des blessés. Avec un loup-garou mal à l’aise, on s’exposait à des morsures que tout le monde regretterait.

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— Ils me font me sentir vieux, soupira Adam une fois qu’ils furent partis. — C’est parce que tu es vieux, rétorquai-je sans aucune sympathie, car il avait pris plaisir à leur faire peur. Allez viens, papy. Allons accueillir notre nouveau loup.

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— Ça ne me dérange pas que tu l’aimes bien, ajoutai-je doucement. Que tu t’inquiètes pour elle et que tu la plaignes. C’est très bien. Moi aussi, je veux qu’elle soit en sécurité. (Je m’essuyai les mains sur les fesses de mon jean et baissai la voix, adoptant des intonations menaçantes.) Je te conseille juste de faire attention, Mary Jo. Très attention. Tu as déjà commis des erreurs par le passé. Tout le monde commet des erreurs. Celle que tu devrais éviter de faire, c’est d’imaginer que Christy puisse redevenir la compagne d’Adam. Il m’appartient et, contrairement à elle, je n’abandonne pas les gens qui m’appartiennent.

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