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"- Je n'ai pas dit non, Sholto.

Là, il se retourna. Son visage était toujours fermé, prudent et toutes les émotions que j'avais eues tant de mal à trouver étaient de nouveau enterrées.

- Qu'est-ce que tu dis alors ?

- Je dis : pas de sexe ce soir. Et je ne peux pas dire "oui, je vais faire l'amour avec toi" avant d'avoir tout vu.

- Tout ?

- C'est qui le timide maintenant ?"

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Il parait qu'il ne faut jamais regarder en arrière, mais quand on ne sait pas ce qu'il vous attends, que reste-il à part regarder ce qu'on a laissé derrière soit ?

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La peau de Doyle n’était pas brune, elle était noire. On aurait dit qu’il avait été sculpté dans de l’ébène. Ses pommettes étaient hautes et saillantes, le menton un peu trop pointu à mon goût. Il était tout en angles et en noirceur. Son ossature avait une apparence trompeuse de fragilité, comme celle des oiseaux. Mais un jour je l’avais vu frappé en plein visage par une massue. Il avait saigné, mais n’avait rien eu de cassé.

À l’instant où je l’aperçus, une peur effroyable me transperça comme une lame de froid, me laissant un fourmillement au bout des doigts. S’il n’avait pas déjà sauvé ma vie une fois, j’aurais été persuadée qu’il voulait ma mort là, maintenant. Il était le bras droit de la Reine, elle disait : « Où sont mes Ténèbres ? Qu’on m’amène mes Ténèbres ! » Et quelqu’un mourait, saignait, ou les deux à la fois.

La tâche de me tuer aurait dû être confiée à ses Ténèbres, c’est-à-dire à Doyle, pas à Sholto. M’avait-il sauvée quelques jours plus tôt pour me tuer maintenant ?

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je continuai à lentement remonter la jupe jusqu'à la jarretière. Ils me regardaient tous comme un chat regarde les oiseaux dans la cage.

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- Je me suis débrouillée seule pendant un peu plus de trois ans. Je n'ai rien pris à personne. J'ai été une femme libre et indépendante, ne devant rien aux Feys.

- Ce qui veut dire que tu peux réclamer le Statue de Vierge quand tu retourneras à la Cour.

-Exactement.

Une Vierge, dans les idéaux celtiques anciens, était une femme qui avait vécu pendant un certain temps en toute indépendance, ne devant rien à personne. Trois ans étaient un minimum pour pouvoir le réclamer à la Cour. Être Vierge signifiait que j'étais en dehors de toute querelle et de toute rancune. On ne pouvait pas me forcer à prendre parti dans un conflit, car j'étais en dehors de tout ça. C'était une manière d'être à la Cour sans être de la Cour.

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Je voulais dire "non" mais ce ne fus pas le mot qui me sortit de la bouche. C'était comme si j' avançais à reculons: j'aurai dû refuser, j'aurai dû m'arrêter mais je continuais. Si bien que je me retrouvait bientôt allongée sous lui sur la longue banquette de cuir, tous deux débarrassés d'à peu près tous nos vêtements et de nos armes.

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Ma vie dépend de ma maitrise à ne pas devenir hystérique.

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"- Je n'ai jamais fait l'amour avec un autre sidhe, Meredith. Tu comprends ce que ça veut dire ?

Je comprenais, probablement mieux que lui, parce qu'il y avait pire que de ne l'avoir jamais fait. C'était d'y avoir goûté puis d'en avoir été privé. Mais je gardai une voix neutre parce que je commençais à comprendre où il voulait en venir. Malgré la grande compassion que je ressentais pour lui, je n'avais aucune envie de me faire torturer à mort.

- Tu te demandes ce qu'on ressent ?

Il secoua la tête.

- Non, mais j'aimerais voir une chair parfaitement blanche étendue sous la mienne, j'aimerais que ma luminescence en rencontre une semblable. C'est cela que je voudrais, Meredith, et tu peux me le donner.

Et voilà ! C'était cousu de fil blanc."

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J'entrouvis la bouche pour l'accueillir, agaçai ses lèvres par petites touches de ma langue jusqu'à ce que nos bouches s'offrent enfin l'une à l'autre en un long baiser. Il passa une main derrière mon dos et m'attira vers lui, me renversa sur ses genoux. J'vais l'impression que sa bouche se nourrissait de la mienne , qu'elle possédait des talents que je n'avais jamais connu jusque-là. J'entourai ses épaules de mes bras, le pressant contre moi, avide, insatiable.

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Quand il leva ma tête, son regard vint rencontrer le mien. L'expression que j'y vis, je l'avais rarement saisie dans les yeux d'un Sidhe: ouverte, authentique. J'y sentis un besoin tellement urgent que j'eus l'impression de contempler un vide sans fin, le caractère profond d'un manque. On aurait dit les yeux de quelque animal sauvage, indompté mais profondément blessé. Mes yeux ressemblaient-ils à ça ? J’espère que non.

Il lâcha ma main, lentement, à contrecoeur.

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