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Liste des extraits

TUCKER : Putain, G, il a fait rimer “débile“ avec “automobile“ !

GARRETT : Automobile ? tu es sérieux mec ?

LOGAN : Je voulais comparer ses lèvres à une vieille voiture cerise que j'ai retapée quand j'étais gamin. Je voulais plonger dans mes expériences personnelles, ce genre de truc quoi.

GARRETT : Alors tu aurait dû la comparer à des cerises, espèce d'abrutis.

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Extrait ajouté par la-voyageuse 2018-03-04T02:50:26+01:00

Justin se passe les deux mains dans les cheveux.

– Je vous jure que si l’un de vous deux ne me dit pas ce qui vient de se passer, je pète un plomb.

– Ma copine voulait que je lui envoie une photo de moi sur une méridienne en velours rouge, mais tu n’as pas idée à quel point c’est dur de trouver un de ces foutus divans.

– Tu dis ça comme si cela expliquait tout, mais ce n’est pas le cas, répond Justin. Les joueurs de hockey sont vraiment tordus, ajoute-t-il en soupirant.

– Mais non, c’est juste qu’on n’est pas des mauviettes comme les joueurs de football, susurre Garrett. On a confiance dans notre sex-appeal mec, c’est tout.

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Extrait ajouté par Folize 2017-03-06T19:01:31+01:00

En réalité, peut-être devrais-je être impressionnée qu’en seulement cent quarante caractères la sœur de Maya ait raconté l’histoire d’une pauvre fille qui est tellement accro à un joueur de hockey qu’elle invente une grande histoire d’amour pleine de sexe et de passion.

Piper Stevens me traite de menteuse.

- C’est tellement humiliant, je marmonne en remuant mon riz avec ma fourchette. On peut partir, s’il te plaît ?

- Non. Tu dois montrer aux gens que tu te fiches de ce que dit Piper, répond fermement Ramona.

(...)

Quinze minutes. C’est le temps que je tiens avant de ne plus en pouvoir. J’ai mal aux yeux à force de cligner pour refouler mes larmes. Je suis sur le point de reculer ma chaise et de dire à mes amies que je dois aller réviser lorsqu’elles se taisent brusquement. Jess est littéralement bouche bée et la table d’à côté est étrangement silencieuse.

Ramona semble se retenir de sourire en regardant derrière moi, en direction de la porte. Je fronce les sourcils et tourne la tête.

Logan est là.

- Salut, dit-il simplement.

Je suis tellement surprise de le voir que je le regarde bêtement sans répondre. Le fait que je sois assise lui donne l’air encore plus grand. Ses cheveux sont ébouriffés par le vent et ses joues sont rouges, comme s’il avait couru. Nous nous regardons dans les yeux, puis il fait la dernière chose à laquelle je m’attendais.

Il se penche et il m’embrasse. Sur la bouche, avec la langue. Au milieu du self.

Lorsqu’il se redresse, je suis ravie de voir que Jess et Ramona, ainsi que les nanas d’à côté, sont ébahies. Quant à moi, je suis sur un petit nuage.

- Tu es prête, ma belle ? demande-t-il en dégainant son superbe sourire.

Nous n’avons rien prévu. Il le sait, je le sais, mais les autres n’ont pas besoin de le savoir, alors je joue le jeu.

- Ouais, je vais juste rapporter mon assiette.

- Laisse, je vais le faire, dit-il en prenant mon plateau. Ravi de t’avoir revue, Ramona, ajoute-t-il avant de m’embrasser brièvement sur les lèvres et de partir déposer mon assiette.

Les yeux de toutes les filles du réfectoire, y compris les miens, admirent la manière dont son pantalon noir moule son sublime derrière. Je parviens cependant à me ressaisir et je me tourne vers mes amies, qui sont encore sous le choc.

- Désolée, les filles, mais je dois y aller.

Logan revient une seconde plus tard et je sors mon plus beau sourire tandis qu’il prend ma main pour m’escorter vers la sortie.

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Extrait ajouté par daguette 2016-10-24T09:06:37+02:00

-Qu 'est ce que tu fais ? je chuchote

-Eh ben, tu me regardais comme si tu voulais que je t' embrasse, alors je me disais que j' allais le faire...

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Tucker nous attend devant la porte lorsque Dean et moi descendons. Une barbe auburn couvre les trois-quarts de son visage, lui donnant l’air d’un loup-garou. Cependant, il est déterminé à essayer ce nouveau look depuis qu’une nana qu’il a rencontrée à une soirée la semaine dernière lui a dit qu’il avait un visage de poupon.

– Tu sais que ta barbe de Yeti ne te rend pas plus viril ? demande Dean en souriant.

– Je visais plutôt un côté sauvage, en fait, répond-il en haussant les épaules.

– Eh bien, ça ne marche pas non plus, Gueule d’ange, je ricane. Tu as juste l’air d’un scientifique fou.

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Convoiter la copine de votre meilleur pote, c'est vraiment nul.

Tout d'abord, parce que c'est gênant. Par gênant, je veux dire que c'est une torture. Je ne peux pas parler au nom de toute la gent masculine, mais je suis certain qu'aucun homme n'aime sortir de sa chambre et croiser la femme de ses rêves alors qu'elle vient de passer la nuit dans les bras de son meilleur ami.

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– Alors comme ça, tu es douée pour déchiffrer les gens ? demande-t-il d’un air pensif. Quel est ton verdict à propos de moi ?

– Je t’avoue que je n’ai pas encore tout compris, je réponds en souriant.

Son rire suave réchauffe ma joue.

– Ouais, moi non plus, je ne me suis pas encore bien compris.

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– Ok. Alors, choix du restaurant… parfait. Dix sur dix. Galanterie… tu m’as ouvert la portière, alors dix aussi. Talents pour la conversation… neuf.

– Neuf ? s’exclame-t-il.

Je souris d’un air diabolique.

– Je t’enlève un point parce que tu as parlé de hockey. C’était ennuyeux.

– Tu vas trop loin, femme, rétorque-t-il.

– Marques d’affection… dix. Tu as passé ton bras autour de mes épaules et tu m’as tenu la main, c’était mignon. Ah, et enfin, le baiser. Ça reste à voir, mais tu devrais savoir que tu pars à moins un parce que tu as demandé une revue de ta performance au lieu de me sauter dessus.

Ses yeux bleus scintillent.

– Tu es sérieuse ? Je suis pénalisé parce que j’ai essayé d’être un gentleman ?

– Moins deux. Le moment est en train de te filer entre les doigts, Johnny. Bientôt, tu ne pourras…

Sa bouche s’empare de la mienne dans un baiser exquis.

La seule manière d’expliquer ce que je ressens, c’est d’avoir l’impression de lui appartenir et qu’il m’appartient.

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Extrait ajouté par Milka2B 2017-12-22T18:20:17+01:00

– Tu vas l’appeler ?

Je cligne des yeux en me rappelant soudain pourquoi je suis rentré. Je regarde le téléphone et je dévisage le clavier avec autant de concentration que lorsque je regardais cette fille.

– Un indice, tu utilises tes doigts pour taper le numéro, et après tu appuies sur « envoyer », dit-elle.

Je lève la tête et elle semble avoir tellement envie de rire que je ne peux que la devancer

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Extrait ajouté par MelieGrey 2017-03-30T12:52:43+02:00

- Non. Je ne veux plus écouter tes conneries. Je te laisse bouder tout seul. Peut-être que quand tu auras fini de t'apitoyer sur ton sort, on pourra avoir une conversation rationnelle. Et au cas où ma réaction ne serait pas claire quant à ce que je ressens, laisse-moi te l'épeler, je dis en me tournant vers lui. Je t'aime, espèce d'abruti !

Je quitte sa chambre en claquant la porte derrière moi.

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