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Les extraits ajoutés par coucougi

A chaque jour son crime, comme une variation sr le même thème, et il avait fini par prendre des distances et se sentir de moins en moins concerné. Après vingt-cinq ans dans la police et dix ans de brigade criminelle, il se croyait endurci.

Jusqu'au jour où une affaire était venue percer son armure.

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Carl Morck n'était plus le super-flic qui ne vit que pour son métier. Disparu, le grand Jütlandais élégant qui faisait hausser les sourcils et chuchoter sur son passage. Quel intérêt de toute façon ?

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Voilà ce que Rolland écrivit ce jour-là, avec une justesse des mots surprenante. Puis ce post-scriptum : "J'ai trouvé ce poème d'un poète cantalien, je et l'envoie. C'est notre vie, notre amour, mais je sais qu'un jour prochain, il n'y aura plus ce silence..."

Je sais une forêt où file un vieux chemin,

Sous les ombrages bleus, infiltrés de lumière.

Rappelle-toi ces jours où je prenais ta main,

Et tous deux assoiffés courions vers la rivière...

Le vent dans les rameaux s'accélère parfois,

Les caresses souvent, les courbes et les tiraille;

Quand je reviens ici respirer l'autrefois

Vois-tu mon bel amour, j'ai le coeur qui déraille.

Je revois le soleil qui dansait sur ta peau,

Créant de-ci de-là ce désir indicible,

Et l'ombre de mes mains dessinait le drapeau

Dans lequel tu vivais les lois de l'impossible !

Une ronce m'agrippe et la goutte de sang

Perce comme une fleur, une fleur d'excellence.

C'est un rêve qui naît, puis meurt en frémissant,

Et l'écho de mon cri se perd dans le silence.

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- Chaque famille a son histoire, des passions, des chagrins.

- Tout est beau et tout est triste ! Ne dit-on pas que la beauté est souvent dans la mélancolie;

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Il y avait tant d’espérance dans le cœur de ces deux-là. L’exploitation devait revivre, resurgir de cette jachère où le temps et les événements les avaient laissés dormir.

Ils m’ouvraient à leur avenir. Rolland se montrait doux et tendre avec Angèle. Non, ils n’avaient pas vingt ans ces amoureux-là, mais je crois que pires ils étaient…

M'adressant à Angèle :

"Votre maman doit être heureuse ?

- Elle s'est trop habituée à moi, aussi elle ne veut pas en parler. Nous n'avons pas besoin de son autorisation, dit-elle dans un éclat de rire...Voulez-vous être le témoin de Rolland ?

-

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Je vis à cet instant la silhouette de l’homme qu’elle aimait, fluide et transparente, s’élever dans l’espace du firmament dont elle s’était exclue…

Lorsque je revins à moi, le soleil entrait sur le plancher, par la porte ouverte. Je m’accrochais à ce rayon de lumière pour émerger de cette histoire.

Un papillon passait par là, balancé dans une insouciance heureuse, tel un accent circonflexe ne sachant où se poser. Mon regard le suivit, lui souhaita bonne chance, et je le vis se perdre dans les jardins ensoleillés.

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Pour en revenir à l’été 1962, j’étais si heureux que partir pour l’armée ne me disait rien du tout, alors qu’un mois auparavant, ça ne me gênait pas. Je voyais Isabelle presque tous les jours. J’ai même appris à son frère comment pêcher la truite à la main : prétexte pour avoir Isabelle près de moi. Nous allions au ruisseau de Trousse-bois, pas très loin d’ici. Les Garoche nous lâchaient un peu, sauf Angèle qui courait toujours après moi. Son père lui disait :

“Tu vas voir ton amoureux ?”

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Tout resplendissait. Jamais les moissons n’avaient été aussi prometteuses. Les abords des chemins que les coquelicots avivaient de couleurs éclatantes, invitaient à la rêverie, au calme.

Mais le village vivait dans la peur. Rares étaient les familles qui n’avaient pas un des leurs sur le front, si ce n’était un fils, c’était un neveu, un filleul, un frère…

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Huit enfants en bas âge, cela faisait des corbeilles de lessive, des piles de repassage, des paniers de pommes de terre à éplucher et de la soupe à mitonner... Et Angèle était seule pour faire face. Il n'y avait pas d'hommes à la maison ; ou alors, un, le soir, jamais le même.

Ces soirs là, les enfants étaient priés de manger en silence et de filer au lit en vitesse, sinon, c'était la fessée générale.

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Le garçon espéré était en réalité une petite fille, prénommée Romane...

"La mère et l'enfant vont pour le mieux. Nous te donnerons des nouvelles, ne t'inquiète pas, je ne puis rien faire de plus".

Voilà les mots qui terminaient la courte missive !

Quarante-huit heures plus tard, Romain Detoutlieu débarquait à Paris, à la maternité de Port-Royal. Rien au monde ne l'empêcherait de voir son enfant.

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