Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
716 768
Membres
1 022 900

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

J'en aurais bien profité pour le tuer mais je me voyais mal expliquer à ma fille que le meurtre de son père pouvait drôlement nous faciliter la vie et que j'avais profité d'un moment de faiblesse de sa part pour m'en débarrasser.

-Quel âge a-t-elle? finit-il enfin par articuler.

-J'ai 10 ans, murmura Leonora.

Et merdre. [...]

-Est-ce que... est-ce qu'elle est...? finit-il enfin pas balbutier.

-Oui, fis-je dans un souffle.

Alors, il me gifla.[...]

-Dis-lui qui je suis, Rebecca. Dis-li-lui maintenant, fit-il en s'approchant de Leonora.

-C'est inutile, dit-elle d'un ton dur. Je sais parfaitement qui vous êtes. Je vous ai tout de suite reconnu.

-C'est vrai?

-Oui, dit-elle en reculant vers Bruce qui assistait silencieusement à la scène.

-Tu as peur de moi?

-Non, mais je ne parle pas aux gens qui frappent ma mère, cracha-t-elle.

Il avança vers elle mais elle glissa aussitôt sa main dans celle du loup.

-Ne le touche pas, Leonora, c'est un animal, siffla Michael, avec dégoût.

Afficher en entier

- Où es-tu? Réponds, putain!

- On ne t'a jamais appris la délicatesse? Tu viens d'entrer dans mon esprit comme un troupeau de rhinocéros en colère.

- Le feu gagne du terrain, sors de là!

- Je ne peux pas.

Afficher en entier

- Martin, ouvrez cette putain de barrière ou mon ami vous roule dessus, c'est compris?

Le vampire resta impassible mais je sentis une lueur d'inquiétude traverser son regard.

- Je ne peux pas, madame.

- Fonce, fis-je froidement en appelant mon pouvoir et en propulsant les vampires dans les airs.

- Et bien... on dirait que tu as retrouvé la forme, remarqua Clarence en me déposant juste devant l'immense escalier de l'entrée.

- Oui. Je crois que j'ai récupéré. Merci.

- Et maintenant? Que suis-je censé faire?

- Tu vas au centre ville et tu prends une chambre pour la nuit.

- À quelle heure est-ce que je dois passer te prendre demain?

- À 9 heures. Tu as besoin de vêtements ou d'un nécessaire de toilette?

- Non. J'ai tout ce qu'il me faut dans le coffre. Je suis un métamorphe, ne l'oublie pas.

Les métamorphes déchiraient la plupart de leurs vêtements en se transformant. Ce qui les contraignait à se déplacer avec une ou deux tenues de rechange. Et à se fringuer bon marché.

- À demain, Clarence, fis-je en sortant de la voiture.

- Rebecca? Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais soit prudente. Il se pourrait que le tueur soit dans le coin.

- Ce soir, les vrais méchants sont tous ici et ils me font bien plus peur que ce malade, crois-moi, dis-je en m'appuyant contre la voiture.

- Oh, mais je te crois, fit-il tandis qu'une dizaine de vampires avançaient prudemment vers nous.

- Tu ferais mieux de te tirer! Lançai-je en refermant brusquement la portière.

- Ce n'est pas juste. C'est toi qui les as agressés, pas moi! Lança t-il par la fenêtre, en démarrant sur des chapeaux de roues.

- Qui t'a dit que la vie était juste? criai-je tandis que la voiture s'éloignait.

Je ne pus m'empêcher de rire et ma crise d'hilarité tourna carrément à l'hystérie lorsque je croisai le regard réprobateur et terriblement menaçant de Martin. Je le vis ouvrir la bouche, hésiter quelques secondes et finalement y renoncer, visiblement ecoeuré.

- Désolée, Martin, désolée, balbutiai-je tant bien que mal, entre deux crises de fous rires.

Puis, il me tourna le dos avec toute la dignité qui semblait lui rester tandis que je tentais, sans grand succès, de reprendre mon sérieux.

Afficher en entier

Le toubib me dévisageait, une étrange expression sur le visage.

- Docteur Fergusson, il y a un problème? demandai-je.

- Non. Non, aucun. C'est juste que je ne m'attendais pas à ce que vous soyez si...

- Si quoi?

- Si humaine, dit-il, en souriant.

Mark ricana:

- Ne te laisse pas avoir, Léopold, elle ne l'est absolument pas.

Afficher en entier

Beth pinça ses lèvres pour ne pas rire.

- Un pick-up ?

- Ben oui. C'est un bon truc pour trimballer des corps.

- Tu m'as prise pour qui ? Un. employé des pompes funèbres

?

- Ben... si on regarde les choses en face, je dirais que tu as enterré plus de gens ces derniers temps que Morbin&Hamer.

Morbin&Hamer était le croque-mort local. D'après la rumeur, les enterrements qu'ils organisaient étaient de toute première classe...

- Qui t'a parlé de ça ? demandai-je en lançant un regard noir

à Beth.

Elle secoua la tête en signe de dénégation.

— Personne. Mais je sais ce qu'est un Assayim et j'ai compté le nombre de fois où tu es rentrée à la maison avec des vêtements tachés de sang, dit-elle en continuant de fredonner.

- Remarque, fit Beth, elle n'a pas tort pour le pick-up. On pourrait peut-être demander au Directum de te fournir une voiture de fonction.

- Ne me donne pas de faux espoirs, je suis fragile en ce moment, raillai-je.

Afficher en entier

Mon cher, fis-je en l'imitant, je suis une Vikaris. Ce qu'on considère nous, commes endroits branchés, ce sont les salles de torture où on peut utiliser du matériel électrique.

Afficher en entier

Michael se tourna vers moi d'un air furieux.

- Tu as confié l'éducation de notre fille à cette bête!!!?

Afficher en entier

- Tu devrais changer de vêtements, tout le monde va encore penser que je suis ta petite soeur, dit-elle en riant.

Je fronçai les sourcils et jetai un coup d'oeil au reflet dans la glace posée devant l'armoire de ma chambre. J'avais 26 ans, mais on me donnait rarement plus de 20. Et j'étais incroyablement jolie. Deux sacrés handicaps pour un Assayim qui avait besoin d'être pris au sérieux.

- Tu veux que je te démêle les cheveux ?

Ma fille adorait me coiffer. Et mes cheveux bruns, longs et

épais, nécessitaient pas mal de soins.

- Non, on verra plus tard.

- Mais t'as des noeuds partout !

- Et alors ? Je ne vois vraiment pas où est le problème, râlaije, les cheveux hirsutes et la bouche pâteuse, en me dirigeant vers la cuisine.

- Maman, s'il te plaît.

- Chérie, on va aller s'entraîner, pas défiler à l'élection de

Miss Univers. Laisse-moi tranquille et va réviser tes incantations. Je ne tiens pas à ce que tu te blesses.

- Je ne suis pas nulle à ce point...

- Je ne l'étais pas non plus, mais une fois, je suis tombée dans le coma pendant près de deux jours.

- Qu'est-ce qui t'était arrivé ? demanda-t-elle.

Afficher en entier

— Vous êtes complètement folle, folle et dangereuse ! lança Sullivan avec un regard de haine.

— Je suppose qu'il faut un brin de folie pour buter froidement les gens, reconnus-je. Mais que veux tu que je te dise ? Je crois que c'est la faute de la société. J'ai eu une enfance difficile.

Afficher en entier

_je crois que Glastrow ne t'apprécir pas beaucoup,ma douce,fit Raphael

_j'ai déjà suffisamment d'admirateurs pour me sentir comblée,tu ne crois pas?répondis-je.

_beaucoup trop a mon gout,en effet,dit-il en saisissant ma main et en la portant a sa bouche.

_ne t'excite pas,dés que tout ça est fini,je prend le voile.

_tu es catholique?

_non,mais je vais le devenir.

_si tu avais vu comme moi ce que certains pretres ou nonnes faisaient dans les coins sombres il y a deux siecles,...

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode