Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
716 795
Membres
1 023 004

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par camilleduchene 2014-09-12T05:21:22+02:00

Il cligna des yeux.

—Tu es un cadeau que je ne mérite pas.

Je sentis une larme brûlante rouler sur ma joue.

—Quoi?

—Tu as fini ton petit discours ? J'acquiesçai.

—Parfait. Parce que maintenant, c'est à toi de m'écouter. (Il remua sur son siège, les mains toujours attachées dans le dos.) Tu es trop jeune, bien trop naïve, et plus pleine de fantaisie qu'une seule personne devrait l'être. C'est la vérité. Et ce soir, après tout ce que je t'ai dit, et ce que je ne t'ai pas dit, j'ai cru que je t'avais perdue pour toujours. Toi et Quinn... Je sais qu'il t'aime. Je sais que tu l'aimes. Je savais que c'était la bonne décision. Mais je n'étais pas préparé à sentir ma suggestion me transpercer le cœur à la pensée qu'il puisse être avec toi. Lui, et pas moi.

Il marqua une pause. Mon cœur battait follement dans ma poitrine.

— C'est mal. Toi et moi, poursuivit-il. Logiquement, je le sais. Mais je ne peux pas m'empêcher de souhaiter que les choses soient différentes. De vouloir te protéger du monde et de moi-même. Quand je t'ai mordue, j'ai pensé que tu reviendrais à la raison.

Que tu verrais enfin le monstre tapi en moi et que j'essaie de te cacher en devenant toujours plus distant. Mais quand tu n'as pas semblé t'en soucier... Quand ton instinct de conservation a semblé t'abandonner chaque fois qu'il était question de moi, j'ai compris que j'allais devoir prendre des mesures cruelles pour assurer ta sécurité. Même si cela impliquait de te blesser.

Il cligna de nouveau des yeux.

—J'ai sous-estimé ra ténacité. Ton entêtement. Et entendre dire de la bouche de Nicolaï que tu étais prête à mettre ta vie en danger pour m'aider, que je le sache ou non... (Il déglutit.) Quand tu es restée, ouverte, aimante, en dépit de mes défauts, j'ai su qu'il n'y avait qu'une seule chose à faire. Je devais partir. Cela te ferait mal, une fois de plus, mais quand je serais loin, je pensais que tu t'épanouirais. Et pourtant, te voici. A risquer ta vie pour quelqu'un qui n'a pas cessé de te faire souffrir.

—Non, Thierry, ce n'est pas vrai.

—Sarah, je suis un homme secret. Je l'ai toujours été. Mais ta présence dans ma vie y a fait briller de la lumière.

—C'est une mauvaise chose?

—Je le croyais. Mais je ne suis plus si sûr. Tu es tellement ouverte. Tu t'abandonnes si librement à ce qui pourrait te causer du chagrin. Je ne comprends pas. Je pensais pouvoir tout contrôler. Mais quand je t'ai vu dans les bras de Quinn, l'autre jour, j'ai laissé tomber le masque. Cela m'a rendu malade de jalousie. Et j'ai pris des décisions brutales. Et ce soir, cette jalousie m'a aveuglé, elle m'a poussé dans la nuit, et entre les mains de Janie.

—Elle est partie, maintenant.

—Personne ne m'avait encore jamais sauvé, tu sais cela ?

—Si, Véronique.

—Il y a très longtemps, et pour ses propres desseins. Et depuis qu'elle m'a arraché au bûcher où brûlaient les cadavres, une partie de moi a toujours souhaité qu'elle m'y ait laissé. Durant des siècles, j'ai souhaité que la mort m'emporte, qu'elle me laisse me reposer.

Je pinçai les lèvres, essayant de ne pas pleurer. Enfin, plutôt de ne pas sangloter comme un bébé, parce que pour le reste, il était déjà trop tard.

—Puis je t'ai rencontrée, dit-il, capturant mon regard. Dans mon heure la plus sombre.

Quand je croyais que plus rien ne valait la peine de continuer à vivre. J'ai su que j'avais trouvé un ange venu me sauver.

—« Un ange » ?

—Pas littéralement, bien sûr. Tu es parfois bien loin d'être angélique, Sarah.

Je lui adressai un regard noir.

Un sourire joua sur ses lèvres.

—J'ai passé des siècles avec Véronique et appris à l'apprécier à ma façon, mais elle n'a jamais réussi à toucher mon cœur. En fait, j'avais commencé à douter d'en avoir un.

Mais il a suffi de quelques jours avec toi... et tu m'as guéri. Tu m'as sauvé, encore et encore, sans jamais avoir la moindre idée de ce que tu faisais. Avec tes mots, avec tes caresses... Simplement en étant toi. Et je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie. Car je sais qui je suis. Ce que je suis. Et la pensée de devenir proche de quelqu'un, après tout ce temps, a été trop difficile à affronter. Alors j'ai essayé de te repousser.

—Qu'est-ce que tu essaies de me dire, Thierry ?

—Ce que j'essaie de te dire, c'est... (Sa pomme d'Adam remua.) Je t'adore, Sarah.

Chaque jour que tu passes dans ma vie. Malgré ma tête qui me dit de te repousser, de te sauver de toi-même, mon cœur ne peut pas s'empêcher d'être égoïste. Cette pensée me fait peur, à l'idée que je puisse te faire du mal, que quiconque puisse te faire du mal, mais je ne peux plus me taire. Je... je t'aime, Sarah. S'il te plaît, n'en doute jamais.

Eh ben merde...

—Tu m'aimes? (Je clignai des yeux. Sous le choc.) Vraiment ?

—Tu semble surprise.

—Eh bien, oui, je le suis. Oui, pas qu'un peu.

—Tu ne me croyais pas capable d'aimer?

—En fait, non. Sans vouloir t'offenser.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2013-02-01T17:01:24+01:00

- Hein? (J'imitai son expression, le charme en moins, et balayai le club du regard.) Quoi? Il me quitte? Quand est-ce arrivé?

Elle secoua la tête.

—Non, pas encore. Je dis simplement que lorsque cela se produira, vous pourrez me téléphoner. Je vous donnerai de précieux conseils pour réparer votre cœur brisé.

J'écarquillai un peu plus les yeux à chacun de ses mots.

Le chauffeur s'approcha d'elle.

— Nous devrions partir immédiatement, madame.

Je ne quittai pas Véronique du regard.

— Thierry vous a dit quelque chose? C'est pour ça que je n'arrive pas à le trouver? Il m'évite?

Elle m'adressa un sourire patient.

- C'est tellement mignon de voir à quel point vous avez le béguin pour lui. Je n'avais pas l'intention de vous alarmer, mais il me semble évident que votre relation sera de courte durée.

- «De courte durée»?

—Vous le connaissez depuis quoi... moins de deux mois, non? Je sais qu'il se sent responsable de votre sécurité. Étant donné l’attention qu’il vous a portée, il n’est pas étonnant que vous vous soyez entichée de lui.

- «Entichée»? crachai-je. Vous croyez que je suis seulement entichée?

Elle fronça les sourcils.

— Thierry a presque sept cents ans. Vous avez... quoi? La petite trentaine?

— J'AI VINGT-HUIT ANS!

— Inutile de crier, ma chère. J'essaie d'être amicale et de vous dire les choses comme elles sont, afin que vous ne soyez pas surprise par ce qui arrivera. Je connais Thierry depuis bien longtemps. Je le connais mieux que quiconque. Vous devez vous attendre que son intérêt décline. (Elle me toucha le bras.) Je suis désolée.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Gatou29 2012-12-28T18:14:05+01:00

- Nous allons attendre que Nicolaï quitte la ville, et quand il sera parti, je connais un endroit sûr ou tu pourras te réfugier jusqu’à ce que toute cette folie retombe.

- "Un endroit sûr"?

- Un couvent, en France.

Je faillis éclater de rire. Ce dernier aurait sonné complètement hystérique, mais quand même : j'aurais ri.

- Tu plaisante !

Il n'avait pas l'air de vouloir être drôle.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Anybody 2012-08-23T18:29:03+02:00

« Face de Salope » ? C'était le mieux qu'elle pouvait faire ? Si je n'avais pas été si terrifiée, je me serais sentie insultée.

Afficher en entier
Extrait ajouté par jessika01 2012-04-13T02:30:03+02:00

thierry avait bel et bien vendu le club. il ne pouvait pas revenir en arriere. mais cela n'avait pas d'inportance. il pourrait faire quelque chose de différent. nous pourrions faire quelques chose de différent. ou rien du tout. aucune importance, du moment ou nous étions ensemble.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Hasnae 2012-04-07T18:38:04+02:00

Je coulai un regard à George à moitié nu avec une serviette de toilette, puis à Barkley, complètement nu avec son...rien . Un vampire et un loup-garou.

Je secouai la tête. C'était pourtant évident : j'avais encore fais l'un de ces rêves où j'étais Anita Blake.

Afficher en entier

Extrait du Chapitre 9:

- Ça ne vous dérange pas que je mange comme un porc devant vous ? demanda Janie, tendant la carte au serveur.

J'agitais la main.

-Nan. Je suis forte.Je peux le supporter. Ça ne vous ennuie pas que je boive comme un trou devant vous, non ?

-Faites-vous plaisir.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovethehost 2013-07-28T21:13:55+02:00

—Elle a vu Barry.

— Oh, j'ai de la peine pour elle.

Amy m'adressa un regard noir.

—Je n'ai pas fini. Elle l'a vu avec une autre femme.

—Ton Barry?

Elle hocha la tête avec raideur. Je fronçai les sourcils, essayant de concentrer mon esprit vagabond pour comprendre ce qui se passait.

—Je suis navrée. Elle a vu Barry faire quoi avec une autre femme ?

—Parler. De très près. Et la toucher. Je frémis à cette idée.

—Je suis sûre que c'est rien.

—Oui, bien sûr. Ce n'est rien. (Elle opina du chef, puis des plis ridèrent son front.) Qu'est-ce qui te fait aussitôt croire que c'est rien ?

—Eh bien, nous parlons de Barry.

—Je sais que tu ne l'aimes pas, mais ça ne veut pas dire qu'il n'est pas un homme incroyablement désirable, tu sais. Il a eu de nombreuses petites amies au cours des ans. (Elle soupira.) Les femmes sont irrésistiblement attirées vers lui. Ce n'est pas sa faute. Il possède un charisme inconscient !

Je clignai des yeux.

— Si tu le dis.

ilovethehost.overblog.com

Afficher en entier
Extrait ajouté par Hasnae 2012-04-07T18:40:15+02:00

Il ricana.

- Je pense que j'ai saisi. Tu penses être amoureuse de lui. C'est un sombre connard Alpha avec une cape noire et un passé mystérieux. Et tu as fini par te faire croire à ce fantasme romantique

Afficher en entier

Extrait tiré du chapitre 9:

-Il a le béguin pour moi, expliqua Janie. Que puis-je dire ? Je suis irrésistible. Et terriblement affamée.

Je décidais que j'aimais bien Janie.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode