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Extrait ajouté par Rayathea 2011-12-27T17:34:16+01:00

-Comment va ton bras ?

-Je ne sens presque plus rien, dit-il en effectuant un mouvement de rotation de l'épaule accompagné d'une grimace de douleur.

-Et en version non macho, comment va ton bras ?

-Ca me fait un mal de chien !

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Extrait ajouté par isane3 2012-05-26T16:30:50+02:00

(Zofia & Reine).

- Il te plaît ce jeune homme, n'est-ce pas ?

- Qui ça ?

- Ne fais pas l'idiote, celui du nénuphar, avec qui tu as passé la soirée !

- Nous n'avons pris qu'un verre. Pourquoi ?

- Parce qu'il ne me plaît pas, voilà pourquoi !

- Je vous rassure, à moi non plus. Il est odieux.

- C'est bien ce que je dis, il te plaît !

- Mais non ! Il est vulgaire, imbu et suffisant.

- Mon Dieu, elle est déjà amoureuse ! s'exclama Reine en levant les bras au ciel.

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Extrait ajouté par isane3 2012-05-26T16:45:38+02:00

(Lettre de Lucas à Zofia).

Zofia,

Je te regarde dormir et Dieu que tu es belle. Tu te retournes dans cette dernière nuit où tu frissonnes, je te serre contre moi, je pose mon manteau sur toi, j'aurais voulu pouvoir en mettre un sur tous tes hivers. Tes traits sont tranquilles, je caresse ta joue, et, pour la première fois de mon existence, je suis triste et heureux à la fois.

C'est la fin de notre moment, le début d'un souvenir qui durera pour moi l'éternité. Il y avait en chacun de nous tant d'accompli et tant d'inachevé quand nous étions réunis.

Je partirai au lever du jour, je m'éloignerai pas à pas, pour profiter encore de chaque seconde de toi, jusqu'à l'ultime instant. Je disparaîtrai derrière cet arbre pour me rendre à la raison du pire. En les laissant m'abattre, nous sonnerons la victoire des tiens et ils te pardonneront, quelles que soient les offenses. Rentre, mon amour, retourne dans cette maison qui est la tienne et qui te va si bien. J'aurais voulu toucher les murs de ta demeure à l'odeur de sel, voir de tes fenêtres les matins qui se lèvent sur des horizons que je ne connais pas, mais dont je sais qu'ils sont les tiens. Tu as réussi l'impossible, tu as changé une part de moi. Je voudrais désormais que ton corps me recouvre et ne plus jamais voir la lumière du monde autrement que par le prisme de tes yeux.

Là où tu n'existes pas, je n'existe plus. Nos mains ensemble en inventaient une à dix doigts ; la tienne en se posant sur moi devenait mienne, si justement que, lorsque tes yeux se fermaient, je m'endormais.

Ne sois pas triste, personne ne pourra voler nos souvenirs. Il me suffit désormais de fermer mes paupières pour te voir, cesser de respirer pour sentir ton odeur, me mettre face au vent pour deviner ton souffle. Alors écoute : où que je sois, je devinerai tes éclats de rire, je verrai les sourires dans tes yeux, j'entendrai les éclats de ta voix. Savoir simplement que tu es là quelque part sur cette terre sera, dans mon enfer, mon petit coin de paradis.

Tu es mon Bachert,

Je t'aime.

Lucas.

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Extrait ajouté par missmiss 2011-09-08T20:54:13+02:00

"A quoi servait de me donner un coeur si c'était pour le laisser vide ?" (Zofia)

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Extrait ajouté par ln62130 2011-03-14T18:29:14+01:00

Il a le charme du diable

Elle a la force de l'ange...

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Extrait ajouté par missmiss 2011-09-08T20:54:13+02:00

"On n'a jamais une seconde chance de faire une première bonne impression !" (Zofia)

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Extrait ajouté par serval042 2012-01-30T20:49:07+01:00

[..] Zofia ne mangea pas mais regardait Lucas, perplexe. Il avait englouti sept beignets au sucre glacé en mois de dix minutes.

- Dans la liste des péchés capitaux, la gourmandise ne vous a pas traumatisé à ce que je vois ? dit-elle, l'œil amusé.

- C'est d'un ridicule ces histoires de péchés..., répondit-il en suçant ses doigts, des trucs de moine. Une journée sans beignet, c'est pire qu'une journée de beau temps!

- Vous n'aimez pas le soleil ? lui demanda-t-elle, étonnée.

- Ah mais, j'adore ça! Il y a les brûlures et les cancers de la peau ; les hommes crèvent de chaud, étranglés par leur cravate ; les femmes sont terrorisées à l'idée que leur maquillage fonde, tout le monde finit par attraper la crève à cause des climatiseurs qui trouent la couche d'ozone ; la pollution augmente et les animaux meurent de soif, sans parler des veilles personnes qui suffoquent. Ah non, pardonnez-moi ! Le soleil n'est pas du tout l'invention de celui qu'on croit.

- Vous avez une étrange conception des choses.

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Extrait ajouté par angel2 2011-06-05T17:20:26+02:00

- Mais alors, Jules, que feriez-vous pour faire le bien, accomplir le très bien ?

- Je ferais exactement ce que tu fais ! Je donnerais à ceux que je côtoie l'espoir de tous les possibles. Tu as inventé une chose merveilleuse tout à l'heure, sans même t'en rendre compte.

- Qu'est ce que j'ai fait ?

- En passant devant mon arche tu m'as souris. Un peu plus tard, ce détective qui vient souvent déjeuner par ici est passé en voiture, il m'a regardé avec son éternel air bougon. Nos regards se sont croisés, je lui ai confié ton sourire, et quand il est reparti, je l'ai vu, il le portait sur ses lèvres. Alors, avec un peu d'espoir, il l'aura transmis à celui ou celle qu'il allait voir. Tu réalises maintenant ce que tu as fait ? Tu as inventé une sorte de vaccin contre l'instant de mal-être. Si tout le monde faisait cela, rien qu'une seule fois par jour, donner juste un sourire, imagines-tu l'incroyable contagion de bonheur qui filerait sur terre ? Alors tu remporterais ton pari.

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Extrait ajouté par marce 2010-04-08T15:37:55+02:00

- J’ai peur, Zofia…

- Moi aussi. Laisse-moi t’emmener dans mon monde, j’y guiderai chacun de tes pas, j’apprendrai tes réveils, j’inventerai tes nuits, je resterai près de toi. J’effacerai tous les destins tracés, recoudrai toutes les blessures. Tes jours de colère, je lierai tes mains dans ton dos pour que tu ne te fasses pas mal, je collerai ma bouche à la tienne pour étouffer tes cris et rien ne sera plus jamais pareil, et si tu es seul nous serons seuls à deux.

Il la prit dans ses bras, effleura sa joue et caressa son oreille du timbre grave de sa voix.

- Si tu savais tous les chemins que j’ai employés pour arriver à toi. Je ne savais pas, Zofia, je me suis trompé si souvent, et j’ai recommencé à chaque fois avec plus de joie encore, plus de fierté. Je voudrais que notre temps s’arrête pour pouvoir le vivre, te découvrir et t’aimer comme tu le mérites, mais ce temps-là nous lie sans nous appartenir. Je suis d’une autre société où tout n’est que personne, tout n’est qu’unique ; je suis le mal, toi le bien, je suis ta différence, mais je crois que je t’aime, alors demande-moi ce que tu veux.

- Ta confiance.

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Extrait ajouté par BibHLM 2010-07-25T17:57:36+02:00

Il est déjà dans tes veines, il ira jusqu'à ton coeur. Il y récoltera les émotions que tu y as cultivées avec tant de précautions. Puis il te nourrira d'espoirs. La conquête amoureuse est la plus égoïste des croisades. Chaque jour, chaque heure, tu te rassureras de tes résistances, de tes manières, de tes esquives, mais l'envie de sa présence sera bien plus forte qu'une drogue. Alors ne sois pas dupe de toi même, c'est tout ce que je te demande. Il envahira ta tête, et rien ne pourra plus te délivrer du manque. Ni ta raison, ni même le temps qui sera devenu ton pire ennemi. Seule l'idée de le retrouver, tel que tu l'imagines, te fera vaincre la plus terribles de tes peurs : l'abandon, de lui, de toi même. C'est le plus délicat des choix que la vie nous impose

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