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Je le sentis avant de l’entendre, une présence dans mon dos.

—Tu es venue, souffla-t-il.

C’était lui. Il s’approcha et la proximité me réchauffa de l’intérieur. Comme un aimant attiré par sa paire, je pivotai et lui fis face.

Mon âme sœur.

J’inspirai et m’apprêtai à le sermonner, à l’arrêter, quoi qu’il ait à me dire. Il fallait que je lui dise que je ne pouvais pas continuer comme ça, que je refusais. Mais mon regard tomba sur sa main gauche.

La marque des âmes sœurs.

Il l’avait gardée. Visible aux yeux de tous.

J’étais abasourdie, si bien que lorsqu’il tendit la main vers moi, je le laissai faire. Il me prit dans ses bras et, un instant plus tard, nous étions en train de danser. La mélodie nous parvenait depuis l’intérieur par le toit et la porte, ouverts. Il posa une main dans le creux de mon dos et m’attira tout contre lui. Je posai la tête contre son torse.

C’était comme être à la maison. Il sentait le Montana, la meute, l’avenir –mon avenir. Les larmes me montèrent aux yeux, car je savais qu’il s’agissait d’un mensonge. Tant qu’il refusait de me dire qui il était, c’était un mensonge. Je ne voulais pas continuer à jouer à ce petit jeu.

Je me reculai légèrement et levai le menton pour le regarder dans les yeux.

—C’est la dernière fois que tu me touches. Je ne peux pas continuer, commençai-je d’une voix tremblante.

Je devais tenir bon. Il écarquilla les yeux, mais je me dépêchai de continuer, déterminée à aller au bout de mon discours.

—Tu t’es joué de moi. Tu as honte de moi. Ou tu ne me fais pas confiance. Quoi qu’il en soit, je mérite mieux.

Je m’éloignai de lui, même si c’était la chose la plus difficile que j’aie jamais eu à faire.

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Je détaillais du regard leurs mâchoires ciselées, puis leurs bras musclés. Évidemment, ils étaient beaux. Les enfoirés l’étaient toujours.

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Extrait ajouté par Beez 2023-06-17T17:10:31+02:00

« — Prince Courage, s’extasia-t-elle, c’était si courageux ! Oh… Qu’est-il arrivé à votre pantalon ?

Je clignai des yeux et observai la situation avec un nouveau regard. Son entrejambe était trempé par du sang de selkie, mais, comme son pantalon était très foncé, on aurait dit…

— Je crois qu’il a eu une petite frayeur dans la mêlée, répondis-je à sa place, en retenant un sourire.

Rage plissa les yeux dans ma direction et pencha la tête, mais il n’avait pas l’air fâché. Il semblait… Nom d’un mage. Était-il sur le point de sourire ?!

Une vague de chaleur se répandit dans le haut de mon corps quand ses lèvres formèrent un rictus. Je frottai ma poitrine ; pas question que j’aie des papillons à cause de cet imbécile.

— T’es une emmerdeuse, Nai.

Ce fut tout ce que dit Rage alors qu’il retenait toujours le sourire qui voulait se répandre sur son irrésistible visage.

Non. Pas irrésistible. Insupportable. Un troll d’homme absolument insupportable, qui semblait prendre plaisir au malheur d’autrui.

Noble fut le premier à éclater de rire.

— Purée, meuf, déclara-t-il en tapotant mon bras, je crois que je t’aime.

— C’est du sang de selkie, espèces d’idiots ! aboya Rage, mais son sourire gâchait toute tentative de paraître énervé contre ses frères. 

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- En tout cas, je suis content que tu... ne sois pas morte.

Ses mots hésitants me frappèrent de plein fouet. Je grimaçai.

- C'est si gentil. On devrait t'engager pour écrire les cartes de la Saint-Valentin.

J'aurais carrément acheté ça. Ou pas.

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"Âme sœur fâchée ? Pourquoi ?"

Tout à fait, âme sœur fâchée. Âme sœur sur le point de te défoncer si tu approche.

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C'est physique douloureux d'être loin de toi. Je pense tout le temps à toi. Tout ce que je fais, c'est pour te protèger. Les provisions, les balades en forêt, le sérum pour ta guérison, assurer le périmètre de sécurité autour de ton dortoir la nuit... Spoiler(cliquez pour révéler)Nai, tu es tout pour moi.

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Extrait ajouté par Beez 2023-06-17T17:15:33+02:00

« J’allais l’appeler, au moment où j’aperçus des chips et…

— C’est de la sauce salsa ?

Je tendis la main vers les chips et l’accompagnement. Je n’avais rien vu qui ressemble à ça de toute la semaine. Avec un léger décalage, je me rappelai la politesse. C’est-à-dire que j’avais déjà la bouche pleine quand je marmonnai :

— Je peux en prendre ?

— Euh, tu manges assez ? demanda Noble en enfonçant un doigt dans mes côtes, quand je tendis le bras pour attraper une bouteille d’eau, ce qui fit se soulever mon haut. Je ne me rappelle pas que tu étais aussi maigre quand on t’a récupérée, la semaine dernière.

La semaine dernière ? J’avais l’impression que cela remontait à une éternité.

— Comment tu saurais si j’ai perdu du poids ?

Écoute, mon gars, je n’arrive parfois à récupérer qu’un bagel en guise de petit déjeuner, et je me contente de deux repas sans aucun snack. Pour un régime de métamorphe, c’est quasiment la famine. Mais Nolan et moi nous en sortions. Plus ou moins.

Noble haussa les épaules :

— J’ai peut-être remarqué ton physique. Je ne suis qu’un mec après tout. »

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—Oh, une fontaine de chocolat ! m’exclamai-je en repérant le délice liquide, avant de me précipiter vers la tente.

Je me mis à attraper des fraises et des guimauves sous la fontaine décadente et les déposai dans une assiette.

—Je reviens tout de suite, je vais juste chercher le vin de mage, m’informa Kaja avant de disparaître.

Je plongeai une guimauve dans le chocolat avant d’enfourner le tout dans ma bouche.

Miammm. La nourriture était à 100% la meilleure façon de me montrer de l’amour.

—Une femme qui n’a pas peur de manger. Ça me plaît, déclara une voix grave dans mon dos.

J’avalai rapidement et m’essuyai la bouche avec la main avant de me retourner, pour me retrouver face à un géant. Il faisait au moins un mètre quatre-vingts et me surplombait. Ses muscles tiraient sur son costume noir, comme s’ils n’attendaient que d’être libérés.

—Je ne vois pas de quoi tu parles. Je cherchais justement le bar à salade, plaisantai-je.

Le type sourit et mon estomac se retourna. De belles dents blanches et un sourire de tueur, c’était ma kryptonite. Et lui, il avait les deux.

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