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Extrait ajouté par anonyme 2017-01-12T23:18:46+01:00

-Tu n'arrête pas de me regarder, persistais-je. C'est carrément bizarre.tu es bizarre.

-Je n'aspire pas spécialement a être comme les autres.

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T12:05:10+01:00

Maggie m'accompagna au bal, car ni elle ni moi n'étions sûres que Matt me laisserait sortir de la voiture. En plus, il voulait à tout prix m'imposer de rentrer à 21 heures, alors que le bal se terminait à 22 heures. Je n'avais pas l'intention de rester jusqu'à la fin, mais Maggie me dit de prendre tout mon temps.

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T11:42:30+01:00

- Ah ! cette bonne femme, gémit Elora en secouant la tête et se massant les tempes. Quant à toi, poursuivit-elle en me désignant du doigt, que je ne te voie plus t'incliner devant qui que ce soit, et surtout pas devant cette femme. Elle était aux anges, la garce ! Maintenant, elle va pouvoir raconter à tout le monde que cette simplette de princesse ignorait qu'elle n'avait pas à s'incliner devant une Marksinna.

Je baissai les yeux, perdant ce qui me restait de fierté.

- Tu ne t'inclines même pas devant moi, compris ?

- Oui, répondis-je.

- Tu es une princesse, bon sang ! Il n'y a rien au-dessus de toi ! Est-ce que tu as saisi ? Oui ? Il est temps de te comporter en princesse. Tu dois dominer l'assemblée. Ils sont venus pour te rencontrer, pour jauger tes pouvoirs, alors tu te dois d'en faire l'étalage. Tu dois les rassurer sur le fait que tu seras apte à les guider quand je ne serai plus là.

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Extrait ajouté par feedesneige 2016-01-05T20:37:33+01:00

PROLOGUE

Onze ans plus tôt

Cette journée ne ressemblait pas aux autres pour deux raisons : c’était le jour de mes six ans, et ma mère brandissait un couteau. Pas un anodin petit couteau de table, mais un de ces énormes ustensiles de boucher qui luisait dans la lumière comme dans un mauvais film d’horreur. Assurément, elle cherchait à me tuer.

J’essaie de me remémorer l’enchaînement des jours et des années qui ont précédé, pour voir si quelque chose avait pu m’échapper dans le comportement de maman, mais je n’ai aucun souvenir d’elle avant cet épisode. Je me rappelle mon enfance et papa, mort quand j’avais cinq ans. D’elle, je ne me souviens pas.

Quand je questionne mon frère, Matt, à ce sujet, il me répond toujours par des choses vagues, du genre :

— Elle est cinglée, Wendy. C’est tout ce qu’il y a à savoir.

Il se souvient forcément mieux des événements, puisqu’il a sept ans de plus que moi, mais il refuse toujours d’en parler.

Quand j’étais petite, nous vivions dans les Hamptons, et ma mère avait énormément de loisirs. Elle avait embauché une gardienne d’enfants à domicile pour prendre soin de moi, mais le soir précédant mon anniversaire, cette dernière avait dû partir pour une urgence familiale. Ma mère eut à s’occuper de moi pour la première fois de sa vie, ce qui ne ravissait ni elle ni moi.

Pour tout dire, je ne voulais même pas de cette fête. J’aimais les cadeaux, mais je n’avais pas d’amis. Les personnes conviées étaient toutes des relations de ma mère, affublées de leurs enfants prétentieux. Elle avait organisé une sorte de goûter de princesse dont je ne voulais pas, même si Matt et notre domestique avaient passé la matinée à tout mettre en place.

Les invités n’étaient pas encore arrivés que j’avais déjà esquinté mes souliers et arraché les boucles de mes cheveux. Ma mère apparut au salon, au beau milieu de l’ouverture des cadeaux, examinant la scène de son glacial regard bleu.

Ses cheveux blonds étaient lissés vers l’arrière et elle portait un rouge à lèvres qui lui donnait un teint encore plus pâle que d’habitude. Toujours vêtue de la robe de chambre en soie rouge de mon père qu’elle avait adoptée à son décès, elle l’avait agrémentée d’un collier et de hauts talons noirs, comme s’ils devaient rendre la tenue plus appropriée.

Personne ne commenta sa mise, mais il faut dire que l’assistance était bien trop occupée à contempler mon cinéma. Je rouspétais à propos de tous les cadeaux offerts. Ce n’était que des poupées, des poneys et d’autres objets avec lesquels je ne jouerais jamais.

Se faufilant parmi les invités, ma mère approcha de moi. Je venais de déchirer le papier cadeau couvert d’oursons qui enveloppait un paquet contenant une énième poupée de porcelaine. Au lieu de faire preuve de gratitude, je me mis à beugler que je trouvais ce présent stupide.

Avant que j’eusse pu terminer ma diatribe, la main de ma mère s’abattit sur mon visage.

— Tu n’es pas ma fille, s’exclama-t-elle d’une voix froide.

Ma joue me faisait mal et je la dévisageai, éberluée.

Les réjouissances furent rapidement relancées par la domestique, mais cette pensée dut fermenter tout l’après-midi dans la tête de ma mère. Elle avait sans doute prononcé cette phrase comme n’importe quel parent agacé par un enfant insupportable. Mais plus elle y pensait, plus elle se persuadait du fondement de la chose.

Après un après-midi de caprices semblables de ma part, quelqu’un décida qu’il serait temps d’en venir au gâteau. Ma mère semblait prendre tout son temps en cuisine, et j’allai vérifier où elle en était. Je ne sais pourquoi elle s’était chargée d’aller chercher ce gâteau alors que la bonne, généralement plus maternelle, aurait dû le faire.

Un énorme gâteau au chocolat recouvert de fleurs roses se dressait sur l’îlot, au centre de la cuisine. De l’autre côté de ce comptoir, un gros couteau à la main, ma mère découpait les parts qu’elle glissait sur les assiettes à dessert. Des épingles à cheveux s’échappaient de sa coiffure qui commençait à se défaire.

— Chocolat ?

Comme elle déposait prudemment des parts égales dans les assiettes, je fis la grimace.

— Mais si, Wendy, tu aimes le chocolat, affirma-t-elle.

— Non, pas du tout ! protestai-je en croisant les bras. Je déteste le chocolat ! Je n’en mangerai pas et tu ne m’en feras pas avaler !

— Wendy !

La pointe du couteau recouverte de glaçage chocolaté qui se trouvait par hasard pointée dans ma direction ne me fit pas peur. Sans quoi tout aurait probablement évolué différemment. Mais je ne demandais qu’à exploser de rage à nouveau.

— Non, non et non ! Je ne veux pas de chocolat pour mon anniversaire ! hurlai-je en tapant des pieds aussi fort que possible.

— Tu ne veux pas de chocolat ? s’écria ma mère en me dévisageant de ses grands yeux bleus incrédules.

Un tout nouvel éclair de folie brillait dans ces yeux, et ce fut à ce moment que je pris peur.

— Quel genre d’enfant es-tu donc, Wendy ?

Elle avançait lentement vers moi en contournant l’îlot. Le couteau qu’elle brandissait semblait bien plus menaçant qu’un instant plus tôt.

— Si tu n’es pas ma fille, qui es-tu, Wendy ?

Je reculai de quelques pas sans la perdre de vue. Elle avait l’air démente. Son peignoir s’était ouvert, révélant la combinaison noire qui s’accrochait à ses maigres clavicules. Elle avança encore de quelques pas, le couteau pointé vers moi. J’aurais dû crier ou m’enfuir, mais j’étais tétanisée.

— J’étais enceinte, Wendy ! Mais tu n’es pas l’enfant dont j’ai accouché ! Où est mon enfant ?

Des larmes lui montaient aux yeux tandis que je ne faisais que secouer la tête.

— Tu l’as probablement tué, n’est-ce pas ?

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Extrait ajouté par lyzziec 2015-10-08T16:34:51+02:00

Si je n'avais pas eu à me concentrer à ce point pour éviter de tomber, j'aurais peut-être passé un agréable moment. A cause des pins et des feuilles, l'air sentait bon la verdure et la mousse fraîche. Le son du fleuve courant dans la vallée se répercutait en écho de tous cotés, ce qui me rappela le jour où, enfant, j'avais posé une conque sur mon oreille. Plus proche de moi, j'entendais le pépiement des oiseaux qui chantaient à tue-tête.

--142 , 143--

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Extrait ajouté par satinegirl 2015-05-15T19:56:19+02:00

-La princesse est revenue à la maison de façon si inattendue que je n'ai pas eu le privilège de pouvoir faire, comme d'autres, des préparatifs pendant une année entière.

Le sourire d'Elora était chargé de venin, mais Aurora lui sourit à son tour, comme si de rien n'était.

-Je peux certainement vous donner un coup de main. Je viens d'en finir avec celui de Tove et je prépare déjà celui de notre fille, offrit Aurora.

-Avec grand plaisir.

Elora but une longue gorgée de vin.

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