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A mon avis, le pantalon dans les chaussettes était beaucoup plus simple à repérer que le tatouage. Mais bon, je ne travaillais pas dans la police...
Afficher en entierÉvidemment que j'avais regardé. J'étais une femme bien élevée, mais une femme tout de même !
Afficher en entierPrometteur, sans aucun doute. Ambitieux, cela crevait les yeux. Mais brouillon.
Afficher en entierMais d'abord, le thé. Les priorités,que diable!
Afficher en entierOn ne devrait pas se grouiller, au lieu de jouer au quidam anonyme ?
Afficher en entierVous êtes toujours là, professeur ? Ou le " culte du secret " vous a-t-il avalé, vous aussi?
Afficher en entierNils me coula un regard malicieux.
- Quoi? m’étonnai-je.
- Pardon, mademoiselle, mais depuis quand vous souciez-vous qu’on vous trouve bizarre?
Je haussai un sourcil.
- Mon cher Nils, je ne suis pas bizarre, je suis excentrique.
Il esquissa un sourire moqueur, qui fit envoler des papillons dans mon ventre.
- Et de toute façon, assénai-je avec conviction, vous êtes plus bizarre que moi.
- Quoi? Mais... Mademoiselle!
Je m’éloignai sans écouter ses récriminations, ravie. Ça, c’était du flirt de qualité!
Afficher en entierOn ne devrait pas se grouiller au lieu de jouer au quidam anonyme?
Afficher en entierOn ne pouvait jamais boire un thé tranquille, sur ce toit.
Afficher en entier— Que donnerais-tu comme excuse à Nils pour les événements en cours ?
Mon amie cessa de pianoter sur son clavier et leva des yeux moqueurs vers moi.
— Ne t’embête pas avec ça, Louise. S’il te pose des questions, tu lui roules un gros patin et il oubliera tout le reste. Je fronçai les sourcils derrière ma tasse de thé. Elle prit un air innocent.
— Quoi ? Ce n’est pas une bonne idée ?
— Je ne sais pas, avouai-je. Qu’entends-tu par « rouler un gros patin » ? Un patin comme un chausson ? Si je le roule devant lui, il ne se posera plus de questions ?
J’avais du mal à saisir pourquoi cela le ferait taire. Peut-être qu’un geste aussi absurde lui passerait l’envie de demander quoi que ce soit ?
Sabrina poussa un soupir désespéré.
— Lui rouler un patin, Louise ! Lui sauter au cou et l’embrasser, si tu préfères. Je rougis brutalement. Quelle suggestion inconvenante !
— Ah, voilà, tu as compris.
— Je ne ferais jamais une chose pareille ! me récriai-je.
— Pourquoi ?
— Mais… Mais… C’est mon employé !
— Et alors ?
— Il risque de porter plainte pour harcèlement sexuel !Elle éclata de rire.
— Ça, ça m’étonnerait !
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