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— Putain, Avery. Tu penses vraiment que je ne te désire pas ? gronda-t-il d’une voix étouffée. Il n’y a pas une parcelle de ton corps dont je ne rêve pas, tu comprends ? Je veux être sur toi, je veux être en toi. Je veux te prendre contre un mur, sur le canapé, dans ton lit, dans mon lit, dans tous les endroits possibles et imaginables. Et crois-moi, j’ai une imagination débordante. Ne doute jamais de mon désir pour toi. Ce n’est pas la question.

J’écarquillai les yeux, confuse ; mes pensées se troublèrent un peu plus, ce qui m’apparaissait pourtant inconcevable.

Il se pencha davantage, plaqua son front contre le mien. Ce simple contact suffit à accroître considérablement mon rythme cardiaque.

— Mais pas comme ça, jamais comme ça. Tu es ivre, Avery, et quand on couchera ensemble – parce qu’on va finir par le faire –, je veux que tu sois pleinement consciente de chaque instant.

Il fallut plusieurs secondes à ses mots pour franchir la brume de trouble et d’alcool qui m’obstruait l’esprit, mais je finis par comprendre. Je fermai les yeux, tournai la tête, sentant sa peau glisser contre la mienne.

— Tu es quelqu’un de bien, Cam.

— Non, pas du tout. (Il poussa un profond soupir, et son haleine chaude vint me caresser la joue.) Je ne le suis qu’avec toi.

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— Tout en moi est passionnant, répliqua-t-il.

— À peu près autant que de regarder ta tortue traverser une route.

— Oui oui. Continue à te raconter des histoires, mon ange.

— Continue à m’appeler mon ange, et tu vas rentrer en boitant.

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— Tu m’écoutes avec attention ?

— Pas vraiment, admis-je.

— Au moins, tu es honnête.

Cam passa les bras autour de moi, posant les doigts sur le télescope. Son bras effleura le mien, mais ça ne me gêna pas. Il me coupait vraiment du vent, à présent.

— C’est un Philips ToUcam Pro II, m’apprit-il en me désignant un machin argenté qui me faisait penser à une webcam. Ça s’accroche au télescope. Avec ces réglages, tu devrais avoir une bonne image de Saturne. Appuie ici pour prendre une photo

— D’accord. (J’écartai les cheveux de mon visage.) Mais je ne crois pas que nous soyons censés obtenir une image de Saturne.

— Euh. (Il marqua une pause.) Hé !

— Hé, quoi ?

— Sors avec moi.

— Oh, la ferme.

J’appliquai mon œil sur l’oculaire, un sourire aux lèvres. Je ne vis que du noir. L’astronomie et moi, ça faisait deux.

— Je ne vois rien.

— C’est parce que je n’ai pas enlevé le cache, s’esclaffa Cam.

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— Est-ce que vous êtes… Vous savez ? (Jacob nous pointa du doigt l’un après l’autre.) Ensemble ? Cam ne me laissa pas le temps de répondre. Il me força à pivoter et m’embrassa à pleine bouche, au vu et au su de tout le monde. Et nul n’aurait pu prendre ça pour un simple smack amical. Quand nos langues se touchèrent, mon sac glissa de mon bras et s’écrasa sur le sol gelé.

— Putain de merde, murmura Jacob. Ils vont faire des bébés devant nous.

Lune&Plume

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- Tu sais ce qu'on dit d'un mec qui embrasse les fesses d'une fille ?

- Qu'il sait qui est le chef ?

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J’étrécis les paupières.

— Tu te fais des films.

— Je suis déterminé.

— Disons plutôt irritant.

— D’aucuns diraient formidable.

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— On s’en fout de l’appart. Il est très beau, hein, mais ce qui m’intéresse, ce sont les cookies de Cam.Je piochai une chips.

— Je n’aurais jamais dû évoquer cette conversation.

— Trop tard, répliqua-t-il la bouche pleine. Brittany gloussa.

— Il me tarde de savoir ce que « cookies » signifie.

— À mon avis, il parlait de sa bite, déclara Jacob en se laissant tomber sur le bras du canapé.

— Oh, mon Dieu, dis-je en me servant une poignée de chips.J’allais avoir besoin de nombreuses calories pour supporter le tour pris par cette discussion. Brittany acquiesça.

— Ça se tiendrait. Ça expliquerait qu’il ne veuille pas partager ses cookies avec une fille moche.

— Je ne pense pas que c’est ce qu’il avait en tête, tempérai-je en continuant mon grignotage. Bon, revenons-en à nos notes d’histoire…

— On s’en tape de l’histoire. Revenons-en à la bite de Cam, insista Jacob. Tu as conscience que si « cookies » est un nom de code pour dire « bite », cela signifie que tu as mis la sienne dans ta bouche ?

Je m’étouffai sur ma chips et avalai de grandes lampées de soda pour faire couler le tout. J’étais écarlate.

— Au sens figuré, bien sûr, précisa Jacob en souriant comme un benêt. (Il se releva d’un bond.) Je ne sais pas comment tu fais, Avery. Si j’habitais en face de chez lui, je serais posté devant sa porte de midi à minuit. Et je réclamerais sans arrêt ses cookies. Miam.

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— Qu’est-ce qui se passe, Avery ?

Quelque chose dans son ton laissait entendre qu’il ne s’attendait pas à une réponse sincère, ce qui me blessa profondément.

Cela me blessa, car il n’avait effectivement plus aucune raison de me penser honnête sur quelque sujet que ce soit.

Je m’assis au bout du relax, ne sachant pas par où commencer.

— Plein de choses. (Je ne trouvai d’abord pas d’autres mots.) Plein de choses.

Cam s’approcha de moi et fit pivoter vers l’arrière la visière de sa casquette. Cette adorable manie signifiait qu’il écoutait avec attention.

— Avery, qu’est-ce qui ne va pas ?

— Je n’ai pas été franche avec toi, et j’en suis désolée. (Ma lèvre inférieure se mit à trembler, et je compris que j’étais à deux doigts de fondre en larmes.) Je suis sincèrement navrée, et tu n’as sans doute pas de temps à…

— J’aurai toujours du temps pour toi, Avery. (Il soutint mon regard.) Si tu veux me parler, je suis là, comme je l’ai toujours été. Et je t’écoute.

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— Hé, lança-t-il avec un léger sourire.

— Salut, répondis-je, entre le murmure et le coassement. Son sourire en coin s’étendit.

— Je voulais juste te dire bonne nuit. Une famille de papillons vint élire domicile entre ma poitrine et le bas de mon ventre. J’attrapai l’extrémité de l’édredon.

— Tu m’as déjà dit bonne nuit.

— Je sais. Il entra dans la pièce, et je ne pus me retenir de l’examiner de la tête aux pieds. Sur Cam, même un tee-shirt gris et un pantalon de flanelle étaient bien portés.

— Mais pas comme je le voulais.

Oh, mon petit Jésus, bénissez-moi…

Lune&Plume

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Pendant quelques secondes, nous n’entendîmes que nos souffles saccadés et l’eau de la douche. Nous étions affalés dans les bras l’un de l’autre ; ma tête reposait sur son épaule, ma main sur son cœur palpitant.

— Tu…

— Ça va, l’interrompis-je en gloussant. Tu ne vas pas me casser.

— Je ne sais pas. (Il écarta les cheveux qui me tombaient sur le visage.) Tu… (Un coup porté à la porte de notre chambre l’interrompit.) Merde. C’est le petit déj.

Je descendis de ses genoux en me tortillant et il se remit debout, manquant se casser la figure sur la flaque géante recouvrant le carrelage. Il atteignit néanmoins la porte en un seul morceau.

— Cam !

— Quoi ?

Il se retourna.

Je lui lançai une serviette en gloussant.

— Tu as un truc qui pendouille.

— Bien vu. (Il se ceignit de la serviette en m’adressant un sourire narquois.) Même si beaucoup de monde aimerait voir mon truc.

J’éclatai de rire en retournant me glisser sous le pommeau de douche. Son truc était plutôt impressionnant.

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