Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
718 976
Membres
1 034 540

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Bernhard Schlink

Auteur

Allemagne Né(e) le 1944-07-06 ( 79 ans )
1 279 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Virgile 2009-08-20T06:36:10+02:00

Biographie

Né en 1944, Bernhard Schlink enseigne le droit public et siège en tant que juge à la Cour constitutionnelle du Land de Rhénanie-Westphalie. Il vit entre Bonn et Berlin. À ses heures perdues qu'il n'aime pas voir s'envoler, il fait du vélo, déguste des vins, lit des livres d'histoire, écrit des romans policiers - dont le héros, un privé à la Marlowe, se nomme Selb -, puis a écrit Le Liseur, roman traduit en 40 langues, qui s'est vendu dans le monde entier.

Afficher en entier

Classement dans les bibliothèques

Diamant
156 lecteurs
Or
310 lecteurs
Argent
287 lecteurs
Bronze
205 lecteurs
Lu aussi
332 lecteurs
Envies
371 lecteurs
En train de lire
24 lecteurs
Pas apprécié
45 lecteurs
PAL
242 lecteurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.52/10
Nombre d'évaluations : 311

1 Citations 180 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Bernhard Schlink

Sortie France/Français : 2023-02-09

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Benoit-47 2023-09-01T20:37:16+02:00
Un hiver à Mannheim

Comme pour le Tome précédent, le scénario est bien construit et bien raconté.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Benoit-47 2023-09-03T22:01:02+02:00
La Fin de Selb

Ce troisième Tome de la série Selb est aussi bon que les deux précédents, même si la fin me semble un peu incomplète.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Kiki1744 2023-09-13T21:11:28+02:00
La petite-fille

" La petite fille" c'est Sigrun de Kaspar.

Kaspar est le mari de Birgit, passé clandestinement de Berlin Est à Berlin Ouest en 1965.

Mais Birgit en prise avec l'alcool et dépressive se donne la mort.

Birgit avait le mal du pays,la RDA et même dans une Allemagne unifiée,elle ne se sentait pas bien dans sa nouvelle vie. Animée de projets d'écriture,elle n'arrivera jamais à ses fins tellement elle est tourmentée.

En lisant des écrits laissés par Birgit, Kaspar découvre des pans entiers de la vie de sa femme en RDA et notamment qu'elle y a abandonné sa fille, bébé.

Commence alors pour Jasper une quête qui le conduit à la fille puis à la petite fille

Le roman commence par ce suicide et l'histoire de Kasper et Birgit,pour découvrir dans une deuxième partie l'histoire de Birgit que Kaspar lit et terminer par les relations compliquées mais tendres entre Sigrun et lui car elle est animée de l'idéologie d'extrême droite qui a succédé au socialisme en RDA. Comment peut-il contribuer à la faire changer de trajectoire ? En l'ouvrant sur le monde même si , politiquement,Sigrun se le refuse en répétant encore et toujours les discours entendus.Une troisième partie rend la relation entre Sigrun et son grand-père encore plus proches et fusionnelles au point que les convictions de Sigrun sont ébranlées.La fin est optimiste et pleine d'espoir pour Sigrun,devenue jeune adulte

Comment Kaspar peut-il entretenir des relations saines et durables avec Sigrun et ses parents ?Il choisit d'aimer envers et contre tout et tous,sa petite fille aussi en mémoire de Birgit et les livres et la musique font le reste.

Encore un beau roman de Bernhard Schlink,sur la difficile existence des allemands de l'est dans une Allemagne unifiée, annexée par l'Allemagne de l'Ouest, complètement perdus dans cette société qui les broie. Les relations de Kaspar avec sa nouvelle famille les éloigne autant qu'elles les rapprochent et Sigrun en est le centre de gravité.

C'est bien écrit et le livre soulève davantage de questions qu'il n'apporte de réponses.

C'est en cela sa force.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Anne-Elisabeth 2023-09-28T20:20:49+02:00
La petite-fille

Roman.

L'histoire se passe en Allemagne, surtout à Berlin. Tout d'abord avant la réunification de l'Allemagne.

Kaspar apprend à connaître sa petite-fille alors qu'elle a déjà 14 ans. Très vite, Sigrun se rapproche de son grand-père et apprend à réfléchir différemment.

Je recommande la lecture de ce livre.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par LaMirandole 2023-10-03T11:18:45+02:00
La petite-fille

Un homme découvre à la mort de sa femme l’existence d'une fille et d'une petite-fille avec qui il va essayer de créer des liens. Elles vivent toutes les deux en ex-RDA et véhiculent des idées d'extrême-droite et lui serait plutôt dans le camp adverse. Encore le souvenir et le traumatisme liés à l'histoire de l'Allemagne chez cet auteur admirable. Un style très introspectif et introverti. Cet homme de 70 ans arrive encore à se poser des questions autour de la transmission des valeurs. Comment sauver sa "petite-fille" ?

Afficher en entier
Commentaire ajouté par MrsNorthLit 2023-10-09T14:47:15+02:00
La petite-fille

J’ai lu le dernier roman de Bernhard Schlink aux éditions Gallimard. Vous savez l’auteur de ce roman à succès dont il a d’ailleurs été tiré un film, “Le liseur” ?

Bonjour, bonjour,

Autant j’avais aimé “Le liseur” qui était pourtant un sujet fort et sensible, autant cette fois, je n’ai pas su apprécier La petite fille. Le style de Bernhard Schlink, assez particulier au demeurant parce qu’assez lent notamment, m’a cette fois dérangée au point de ne pouvoir apprécier l’intrigue de ce dernier roman.

Kaspar, sexagénaire berlinois, est un tranquille libraire. Lorsque Birgit son épouse décède, le passé ressurgit. Kaspar découvre qu’en 1965 au moment de s’enfuir de la RDA, Birgit a laissé une enfant dont elle n’a jamais parlé. Le vieil homme décide de retrouver cette enfant maintenant femme et elle-même mère d’une adolescente, Sigrun.

Il ne sait pas alors qu’il va être confronté au néo-nazisme et devoir déjouer tous les préjugés et le fanatisme pour découvrir la vraie Sigrun.

Là où il y aurait dû y avoir une belle rencontre entre un homme et celles auraient pu être sa fille et sa petite-fille, je n’ai trouvé qu’un compte-rendu froid et détaché. Le développement de l’intrigue est plat, sans relief alors que les situations décrites qui sont de l’ordre de la relation humaine, de l’amour d’un homme pour des êtres qui auraient pu être les siens.

Si le roman a pour intérêt de décrire les années noires de l’Allemagne divisée, les années du mur de Berlin, les impacts sur la politique allemande contemporaine, la montée de l’extrême droite, cette image qui nous est livrée froide et grisâtre. Peut-être parce que l’on est dans un roman et que l’on s’attend à autre chose de plus dynamique. Ici pèse comme une espèce de chape de plomb, comme un documentaire dont la voix off finit par vous perdre en route. Là où le sujet et la période historique choisie sont excellents, le style littéraire de ce roman ne m’a pas convaincu et je n’ai donc pas su apprécier ce roman.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Plassans 2023-12-05T15:34:38+01:00
Le Liseur

Il s'agit d'une histoire d'amour peu commune entre un jeune garçon de quinze ans, le narrateur, et une femme de vingt ans son aînée. Elle est mystérieuse, et difficile à cerner, autant pour le narrateur que pour le lecteur. Elle disparaît un beau jour, sans laisser de traces. Huit ans plus tard, à l'occasion d'un stage pour ses études de droit, le narrateur assiste à un procès de crimes nazis. Sur le banc des accusés, il retrouve Hanna.Les choses s'éclaircissent pour le narrateur et pour le lecteur, même si cette femme conserve sa part de mystère.

J'ai bien aimé ce livre, car le thème traité amène à réfléchir sur les responsabilités de ses actes, notamment dans un contexte aussi difficile que la guerre. Le dénouement m'a surpris, même si j'aurais dû m'y attendre ! En revanche, petit bémol sur le style (est-ce la faute à la traduction ou non ?), assez lourd à cause de répétitions fréquentes et de l'utilisation d'un vocabulaire peu recherché. Avec un effort d'écriture, ce roman aurait pu être un vrai chef d'oeuvre.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par HundredDreams 2024-01-27T21:19:11+01:00
La petite-fille

J'avais envie de lire depuis un moment « La petite-fille » de Bernhard Schlink, pour découvrir la plume de cet auteur mais, avant tout, pour son contenu historique. En effet, le lecteur voyage dans l'histoire allemande : j'ai été transportée des décennies en arrière, au temps de la guerre froide et de la division de l'Allemagne, puis de la chute du mur et de sa réunification.

*

Le narrateur de ce récit est Kaspar, un septuagénaire berlinois cultivé et sensible, qui tient une petite librairie. Après le décès tragique de sa femme Birgit, l'homme fait du tri dans ses affaires personnelles et ses cahiers remplis de poèmes. Il trouve aussi une ébauche de récit autobiographique commencé plusieurs années auparavant. Sa lecture est un choc car en entrant dans l'intimité de sa femme, il apprend qu'en fuyant la RDA en 1964 pour le rejoindre en Allemagne de l'Ouest, Birgit lui a caché l'existence de sa fille, abandonnée quelques semaines avant leur rencontre.

Ce secret bien caché lui révèle une facette de la personnalité de Birgit. Sous ses airs rêveurs et peu loquaces, sous son attitude distante et son besoin de liberté, se dissimulait une femme meurtrie qui souhaitait au fond de son coeur retrouver son enfant, mais qui avait aussi affreusement peur d'être rejetée.

Sa femme rêvant de renouer avec sa fille sans jamais oser franchir le pas, il décide de répondre à son souhait et de partir à sa recherche. Dans cette quête, il finit par retrouver à la fois Svenja, désormais adulte, mais aussi sa petite-fille, Sigrun.

Il s'attache très vite à cette enfant de 14 ans élevée dans les idéaux völkisch.

*

Dans la première partie du livre, nous lisons avec Kaspar le manuscrit de Birgit : nous apprenons qui était réellement cette femme discrète, partagée entre son envie de vivre libre, sa douleur d'avoir abandonné son enfant et la nostalgie de son pays. Cette lecture est difficile pour le vieil homme qui était heureux auprès de Birgit et qui se rend compte que ce bonheur n'était peut-être pas réciproque.

Sa vie avec Birgit avait-elle été réelle ou un mensonge ?

La seconde partie est très différente : se dessine une nouvelle partition du temps, où les visites de Birgit chez le vieil homme brisent sa solitude et mettent à distance son chagrin.

C'est la rencontre entre un grand-père et sa petite-fille, mais également la rencontre entre deux univers contraires. Avec sagesse et patience, tact et tolérance, Kaspar essaie de nouer une relation étroite avec Sigrun, de la faire entrer dans son monde, de lui ouvrir l'esprit, de développer son esprit critique sans jamais lui imposer sa façon de penser.

*

L'écriture de Bernhard Schlink est à la fois tendre et profonde, prenante et délicate, sobre et lyrique. L'auteur a su développer des portraits authentiques et réalistes tout en les replaçant dans leur époque. Il a fait de Kaspar un personnage sympathique, attachant et généreux, réfléchi et sensible ; et de Sigrun, une jeune adolescente intelligente et réfléchie, mais pétrie de préjugés, de clichés et de méfiance.

En entremêlant étroitement destins individuels et histoire allemande, Bernhard Schlink a bien retranscris les liens précieux et fragiles entre les grands-parents et les petits-enfants.

Mais de manière plus pénétrante et subtile, il a également mis l'accent sur deux visions du monde en opposition : entre Kaspar et la famille de Sigrun se dessine une Allemagne fracturée dans laquelle les relations sociales et les modes de vie sont si différents qu'ils laissent la place à l'amertume, au ressentiment.

On sent alors combien les différences et les blessures sont profondément ancrées, le temps sera nécessaire pour construire une identité historique, culturelle, sociale et nationale communes.

« Qu'est-ce que je ferais si du jour au lendemain je devais renoncer à ma vie passée et en commencer une nouvelle ? »

*

Vous avez bien compris que cette rencontre est aussi un voyage dans le passé. Il est question de politique, d'idéologie nationaliste et de la perception des étrangers ; de passé nazi, de mémoire historique, de responsabilité morale et de négationnisme ; d'empreintes laissées par la RDA et de nostalgie d'une époque révolue, de besoin de reconnaissance et de résilience.

« Quand j'écoute Bach, j'ai le sentiment que la musique contient tout, le léger et le lourd, le beau et le triste, et qu'il les réconcilie. »

En initiant sa petite-fille à l'art, en lui ouvrant le monde des livres et de la musique, en l'accompagnant dans sa visite du camp de Ravensbrück, Kaspar lui ouvre les yeux face à la réalité des camps de concentration, la responsabilité des allemands face à l'Holocauste ou encore la diabolisation et la haine des étrangers et en particulier des juifs.

« Il n'y a qu'une vérité. Elle n'appartient ni à moi ni à toi. Elle est simplement là. Comme le soleil et la lune. Et comme la lune elle n'est parfois visible qu'à moitié et elle est pourtant ronde et belle. »

Si j'ai trouvé parfois une simplification un peu trop manichéiste des personnages, petit bémol qui n'engage que moi, l'arrière-plan politique et historique est particulièrement marquant, tout en retenue et en sobriété. Et les dernières lignes sont magnifiques de pudeur.

Un beau roman de transmission baigné de musique et de littérature, doux et respectueux, émouvant et très bien écrit.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Nekop 2024-02-04T15:15:59+01:00
Le Liseur

Poignant , émouvant et déconcertant ce récit.

La première partie de ce récit nous raconte la relation entre un mineur âgé de 15 ans et une adulte. Ce qui est Spoiler(cliquez pour révéler)un détournement de mineur. En aucun cas dans le récit, on nous démontre le côté négatif de la chose. De plus, la manipulation de Hanna envers Michael est très présente Spoiler(cliquez pour révéler)comme le coup du mot laissé par le personnage principal lors d'une sortie pour la prévenir qui disparait ou le fait de ne pas aller le voir quand il est dans le train. Mais, l'auteur montre aussi que cette relation a eu des effets positifs sur les deux personnages même si cela peut être un peu malsain comme faire sortir Michael de chez lui.

Dans la deuxième partie, on nous décrit à travers un procès le passé de l'Allemagne et d'Hanna tout en révélantSpoiler(cliquez pour révéler)le fait qu'Hanna ne sait pas lire et écrire. Cette révélation montre que la honte ou le danger concernant un secret peut bloquer une personne.

Et, la troisième partie est très émouvante et poignante avec l'après.

Pour finir, je lis rarement de littérature blanche mais j'ai apprécié cette lecture qui sera un coup de cœur même si cela n'est pas parfait.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Lucette33 2024-03-06T20:08:27+01:00
Le Liseur

Mickaël jeune homme de quinze ans assez chétif fait la connaissance tout à fait par hasard d'Hanna, jeune femme de trente ans qui vient le secourir au détour d'une ruelle. Si leur rencontre semble aux premiers abords furtive, ils deviennent au fil des mois amants. Mickaël qui ne comprend pas toujours sa compagne devient fou amoureux d'elle. Puis un jour, plus rien. Hanna est introuvable, elle a subitement quitté son travail et son logement. Mickaël aura beaucoup de mal à l'oublier et passer à autre chose. Des années plus tard, c'est sur le banc des accusés qu'il l'a retrouve, dans un procès qui le marquera à tout jamais puisqu'il apprend que celle qu'il a profondément aimé était ni plus ni moins, gardienne dans un camp de concentration durant l'année 1945.

Le roman est très bien écrit, Bernhard Schlink a une plume agréable et n'a aucun mal à susciter en nous diverses émotions. Ce livre fait réfléchir. Dans le roman, Hanna énonce à voix haute les faits qui lui sont reprochés et face à un juge agressif et insistant lance :"et vous? Qu'auriez-vous fait?". C'est une bonne question, nous sommes tous très nombreux et nombreuses à juger mais qu'aurions-nous fait réellement à la place de l'ancienne génération face aux horreurs de la Seconde Guerre Mondiale ?

Très bon livre, je vous le conseille sincèrement.

Afficher en entier

Dédicaces de Bernhard Schlink
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Gallimard : 22 livres

Diogenes : 2 livres

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode