Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
Sratford demanda :
Pratiquement, y aura-t-il oui ou non une démarche officielle du gouvernement britannique ?
- En toute franchise, je ne le pense pas, dit le Superintendant Belshaw. Ce sont les Suisses qui devraient en faire une, puisque cet ignoble attentat s'est déroulé sur leur territoire.
— Et le Koweït se fiche éperdument de la Suisse, souligna Stratford d'un ton âcre. Bref, c'est le cas de le dire, cette affaire va se perdre dans les sables, comme tant d'autres.
— Ceci n'est pas exclu.
— Bien, fit Stratford. Voilà ce que je voulais entendre dire par une bouche autorisée. Au revoir, Mr Belshaw.
L'homme de Scotland Yard ne fut appelé à se remémorer cet entretien que trois années plus tard...
Afficher en entier