Commentaires sur ses livres

Ce roman m'a profondément marquée. Dès les premières pages, j'ai été happée par l'histoire de Sarah et Orlane, deux adolescentes aux destins croisés.

Ce livre aborde de manière percutante le thème du harcèlement scolaire. On suit Sarah, une élève populaire confrontée à un diagnostic de diabète, qui va déverser sa colère et sa souffrance sur Orlane, la nouvelle arrivante. L'alternance des POV entre Sarah et Orlane permet de plonger au cœur de leurs pensées et émotions, offrant une vision nuancée et profonde de la situation.

Ce qui rend ce roman si poignant, c'est la manière dont il dépeint les conséquences du harcèlement, tant pour la victime que pour la harceleuse. On ressent toute la détresse et la peur d'Orlane, mais aussi la solitude et la culpabilité de Sarah. La plume fluide et immersive de l'autrice nous entraîne dans un tourbillon d'émotions, nous confrontant à la réalité brutale de ces drames qui se jouent dans nos écoles.

C'est bien plus qu'un simple roman, c'est un cri du cœur, un appel à la prise de conscience et à l'empathie. Je recommande vraiment ce livre à tous les lecteurs, jeunes et moins jeunes, car il soulève des questions essentielles sur le respect, la tolérance et le pouvoir des mots. Une lecture incontournable qui ne vous laissera pas indemne.

Wow quelle lecture. Je serai sûrement passée à côté si on ne me l'avait pas conseillé ! C'est un roman que les préados et ado doivent lire absolument. Il est profond, réaliste, bien construit. Tout est pensé et calculé. Je n'aime pas lire en général des choses sur le harcèlement, ça me fend le cœur à chaque fois mais cette lecture aiguille vraiment sur les possibilités que l'on peut trouver pour renverser la situation et ça, j'ai vraiment apprécié.

Addictif, suspens mais fin 0

L'auteure est très forte pour nous écrire des thrillers psychologiques. L'intrigue et l'angoisse sont au rendez-vous, et lorsqu'il s'agit d'enfants c'est toujours plus prenant. Huitième roman que je lis d'Amélie Antoine et jamais déçue bien au contraire.

ET SI L’AMI IMAGINAIRE DE VOTRE ENFANT DEVENAIT... VOTRE PIRE ENNEMI ?

Vadim, 18 mois, est un enfant adopté, ses futurs parents vont se rendre en Ukraine pour le rencontrer. Dès le commencement on sait qu'il s'est passé quelque chose de très grave, mais quoi! Suite à l'arrivée de Vadim dans ce couple, un déclic se fait, Marianne attend un enfant : Nathan, cette famille est comblée. Comme beaucoup d'enfants Vadim a un ami imaginaire : Volodya, qu'il considère ensuite comme son grand frère… Jusque-là rien d'anormal mais l'histoire de Vadim va prendre une ampleur déconcertante! À vous de découvrir la suite.

Amélie Antoine sait rendre addictif le lecteur, elle nous laisse à chaque fin de chapitre dans le questionnement. Et, plus on lit et plus on a envie de comprendre le drame qui va suivre. L'analyse des personnages et des faits nous amènera judicieusement jusqu'au drame. C'est dans une atmosphère angoissante et frissonnante que l'auteure nous attrape dans ses filets. Un drame psychologique et familial d'une grande intensité émotionnelle.

Il s'agit de mon premier contact avec cette autrice, et je ne suis clairement pas déçu, bien au contraire.

Les thèmes abordés sont traités avec une grande justesse, sans mélo ni leçon de vie, les faits sont bruts et empreints d'une très grande violence.

Dans la deuxième partie, les points de vue sont exposés alternativement et à la première personne , ce qui permet de donner un impact supplémentaire et bien plus terrifiant, marquant ainsi les esprits tant les émotions sont puissantes.

Une œuvre qui devrait être étudiée au collège et au lycée...

Cette lecture est un thriller psychologique prenant, que l'on dévore de la première à la dernière page. J'ai trouvé celle- ci dérangeante et glaçante au possible.
Je viens de le terminer je suis scotchée, je reste bouche bée, une histoire qui nous prend aux tripes, une vraie claque littéraire et qui nous tient en haleine tout au long du récit. @Amélie Antoine, je suis conquise, je t'ai lue et je te lirai encore. Merci pour ce merveilleux moment littéraire.

MON AVIS
Ce que j’ai aimé :
+ l’intrigue
+ le suspens
+ l’urbex
+ histoire intense et courte

Ce que j’ai moins aimé :
- pas grand-chose c’est un bon roman d’horreur pour jeune, ni trop ni pas assez, j’imagine que ma fille de 12 ans va l’adorer !
Pour la petite histoire :
Selma a 12 ans et envie son grand frère qui fait de l’urbex ! Pour lui prouver qu’elle n’est pas un bébé, elle va entrer dans le collège abandonné avec sa meilleure amie Anouk avant ce dernier, mais voilà qu’elle va déroger à une des règles de son frère et ramener un souvenir qui ne va avoir de cesse de la hanter. Mais pourquoi cela touche autant son père, qu’est-ce qui relie cette bille au garçon de ses rêves ?

Mon Avis :
Alors, alors, alors,
J’ai emprunté ce roman à la bibliothèque et je suis ravie ! C’est court à lire, 120 pages, les caractères sont grands et l’écriture fluide et immersive permet de vite d’immerger dans l’histoire.
Il n’y a as de temps de repos, finalement je n’ai pas lâché le roman de la soirée et l’ai fini en quelques heures.
L’intrigue est juste ce qu’il faut, cela plonge le lecteur, le fait frémir sans pour autant angoisser, parfait pour des ados ou pré-ados.
Est-ce que je le ferai lire à mon ado ?
Oui !
Niveau angoisse c’est assez sobre, malgré une fin ‘’qui peut faire flipper’’, une jeune lectrice pourra s’y sentir à l’aise, ressentir des frissons et surtout … en fait je me demande si c’est une bonne idée, cela va donner des envies de faire de l’urbex à mon ado qui adore déjà ce genre d’émission…
En conclusion, en tant que grande j’ai apprécié et je n’hésiterai pas à mettre cela dans les mains d’un ado, bien entendu cela dépend du caractère de l’ado en question, s’il est sensible mieux vaut éviter, mais s’il est déjà fan d’horreur, cela sera parfait 😉

Je l'ai lu d'une traite cette nuit, je le finis à la seconde (nuit blanche pour changer) et je découvre un peu surprise, je dois l'avouer, tous les commentaires dithyrambiques. Je ne connais absolument pas l'autrice, c'est ma première œuvre d'elle, donc je la découvre avec ce roman et j'ai trouvé ça sympa. Je ne cherche pas l'originalité à tout prix, tout dépend pour moi de la façon dont les choses me sont racontées et ce que je ressens ou non, puis simplement du plaisir que j'ai pris. Ou parfois du nombre de morceaux de mon pauvre petit cœur brisé que je dois ramasser. ^^ Donc le manque d'originalité de l'histoire ne m'a gêné, en plus, je dois reconnaître que les personnages sont plutôt bien travaillés, on voit tout de suite comment chacun, à sa manière, envenime les choses inconsciemment en pensant souvent faire pour le mieux. Ce qui m'a vraiment intéressé et qui a fait que je n'ai pas lâché le bouquin, c'est tout le sujet autour de l'adoption parce que beaucoup de choses traversées par le pauvre Vadim, et par extension sa famille, sont de réelles choses intéressantes. L'adoption n'est pas un miracle tout rose et on ne parle pas assez de la difficulté au début, mais surtout sur le long terme, pour ses enfants (et leurs traumatismes) à se (re)construire.

Mais en dehors de ça, j'avoue que le "jeu" du "est-ce que c'est surnaturel ou non ?" m'a plutôt ennuyé et que je n'ai pas réussi à pleinement entrer dans le récit. Je n'arrivais pas à ressentir quelque chose pour les parents et au final, j'ai trouvé qu'il n'y avait pas vraiment de suspens. On sait comment ça finit assez vite, et si la manière exacte n'est révélée qu'à la fin, l'effet pétard mouillé me semble assez approprié pour décrire ce final.
Après, c'est évidemment une simple question de goût et ce livre-là n'est clairement pas pour moi, bien que je n'aie pas passé un mauvais moment. Il m'a tenu compagnie pendant une bonne partie de ma nuit blanche. J'étais surprise par le manque de nuance dans les reviews, mais je suis ravie que tout le monde ait passé un excellent moment.

Un roman très noir. Je me suis laissée transporter par l’histoire de Vladimir et sa famille. Un roman chorale appréciable. On a envie de savoir comment va évoluer cette histoire. Malheureusement j’en ressors déçue car la fin ne m’a pas convaincue et je trouve ça dommage. Tout le long du roman je me suis posée des questions qui sont restées sans réponse pour moi. Ça reste un livre qui nous tient en haleine.
Marianne et Sylvain adopte un petit garçon de 18 mois. Tout se passe bien jusqu’à ses 5 ans et demi, apparaît son ami imaginaire dont il prétend être le grand frère. Les choses ne vont pas se passées comme il le faudrait et ça va déraper

UN GROS COUP DE COEUR Avec ce nouveau thriller, Amélie Antoine frappe très fort. Elle sait poser dès les premières pages une angoisse qui ne cessera de croître jusqu'à la fin du livre. J'avais le ventre noué et je ne pouvais pas lâcher ce thriller au suspense implacable.

C'est un pur plaisir de retrouver la plume de l’autrice. La construction est très intelligente et le fait que l'on alterne entre différentes temporalités, qui l'on ait des témoignages (qui apparaissent sur des pages plus sombres) renforce le récit. On sent des le début planer un drame sans savoir ce qu'il en est précisément. On se questionne, on théorise et si vous êtes comme moi, vous viserez complètement à côté avec l'immense plaisir d'être saisi à la fin, d'être scotché.

Cet ami imaginaire de Vadim est angoissant. On se demande ce qu'il en est, pourquoi est il apparu? Que va-t-il faire à cette famille?

On tremble, on angoisse et surtout on ne ressort pas indemne de cette lecture. C'est une claque, un énorme coup de cœur. C'est le genre de thriller que l'on garde en mémoire, qui nous prend aux tripes. Je retrouve le plaisir que j'avais eu dans "pourquoi tu pleures ?"

C'est noir, c'est effrayant et on en redemande. L'autrice sait nous prendre par les sentiments et j'avoue qu'en ayant un aîné de cet âge, j'ai été d'autant plus touchée par ce récit. C'est brillant et si vous aviez encore un doute je vous confirme, qu'il faut absolument découvrir cette autrice si cela n'est pas déjà fait et lire ce thriller qui sort aujourd'hui.

Ce roman offre une plongée profonde et émouvante dans le thème difficile du harcèlement scolaire, en explorant les intrications complexes des relations familiales et des dynamiques sociales. L'auteur, Amélie Antoine, a réussi à traiter ce sujet délicat avec sensibilité et nuance, incitant les lecteurs à réfléchir et à remettre en question certaines perceptions.
La première partie du roman présente deux familles, les Kessler et les Mariani, chacune confrontée à ses propres défis et difficultés. Les interactions entre les membres de ces familles semblent être le point de départ d'une tragédie, où les mensonges, les secrets et les frustrations s'accumulent, contribuant à l'émergence du harcèlement scolaire.
La psychologie des personnages est particulièrement bien développée, permettant au lecteur de comprendre les motivations et les émotions qui sous-tendent leurs actions. L'exploration des non-dits, des silences et des aveuglements des protagonistes met en lumière les diverses "raisons obscures" qui peuvent conduire à de tels comportements destructeurs.
La deuxième partie du roman plonge au cœur du problème, intensifiant l'émotion et le sentiment d'urgence alors que les conséquences du harcèlement scolaire se révèlent de manière tragique. Ce récit offre une réflexion profonde sur le harcèlement scolaire, tout en soulignant l'importance de la communication et de la vigilance dans la prévention de ce fléau.
En somme, ce roman est un coup de cœur, offrant une exploration poignante et percutante d'un sujet malheureusement toujours d'actualité, et soulignant l'importance de l'empathie, de la compréhension et de l'action face au harcèlement scolaire.

J’ai lu il y a peu l’adaptation ado et j’ai eu envie de voir la première version de ce roman. Bien que sachant déjà l’issue terrible de ce roman, j’ai été prise dans le rythme imposé et j’ai eu beaucoup de mal à me poser. J’ai également trouvé très intéressant de suivre également la vie des parents qui permet vraiment de réaliser à quel point on vit parfois côte à côte mais sans vraiment savoir ce que vivent nos proches, et surtout nos enfants.
Un roman coup de poing qui donne aussi à réfléchir en tant que parent.

Ce roman est l’adaptation jeunesse de « raisons obscures », un livre pour lequel j’avais eu un coup de cœur. Si dans ce dernier on était plutôt du côté des parents d’élèves et qu’on suivait leurs tracas du quotidien, dans cette nouvelle version, nous sommes du côté de l’élève harcelée et de son harceleuse.

Effectivement, les chapitres alternent entre Sarah et Orlane, puis des chapitres « entretien d’enquête »  où plusieurs personnages liées à elles racontent, se confient, font part de leur culpabilité ou de leur déni…concernant les faits. Beaucoup n’ont rien vu, ou n’ont rien pu faire.

En moyenne, plus d’un élève par classe est concerné par l’harcèlement scolaire.

J’ai été cette élève.

Cette lecture m’a ramené à des souvenirs douloureux. Ma vie aurait été si différente sans ça. Mais bref… on est pas là pour parler de moi. En tout cas, le récit est réaliste et montre à quel point cela peut détruire une vie de faire subir ça à quelqu’un.

C’est un livre que je conseille vivement de découvrir même si certains passages sont difficiles et soulèvent le cœur.

Un roman qui est dédié à la jeunesse (mais on le ressent pas) et que je conseille aux adultes également. À lire aussi pour ceux qui ont lu Raisons obscures et qui l’ont aimé car la construction de Ne vois-tu rien venir est différente.
D’ailleurs, j’ai préféré cette version jeunesse que l’originale car elle s’attarde bien plus sur les faits, elle m’a encore plus impacté.

Avec ce livre, Amélie Antoine dénonce ce fléau qu’est le harcèlement scolaire. Une adaption plus que réussie, une lecture bouleversante, foncez sans hésitation !!

Un mixte policier romance sur un fond de violences conjugales super bien décrit
J' ai passé un excellent moment de bout en bout

Un roman coup de poing sur la mécanique du harcèlement où les voix d’ému harceleur et du harcelé se succèdent pour nous montrer la mécanique implacable qui se met en place, mais aussi les possibilités autres. Un roman bouleversant qui devrait passer dans les mains de tous les collégiens.