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Pourquoi tu pleures ?
Pourquoi tu pleures ?
Les moins originales sont celles qui incluent la cécité.
Le Noir, Tome 2 : Regarder le noir
Pourquoi tu pleures ?
Pourquoi tu pleures ?
5/5 Olivier Norek, Regarder les voitures s'envoler – Une délicieuse plongée dans l'univers sombre de Josh, un ado comme les autres (ou pas), se sentant invisible aux yeux du monde. Une écriture incisive, des images percutantes.
3,5/5 Julie Ewa, nuit d’acide – En Inde, des gangs kidnappent des enfants et mutilent leurs yeux avec la promesse de les réparer s’ils deviennent des petits travailleurs dociles. Voilà une intéressante prémisse, mais qui rentre trop rapidement dans le rang, avec une chute décevante.
4/5 Fred Mars, The Ox – The Ox est un club échangiste totalement plongé dans le noir, un bain de jouissance. L’inspecteur Mooney, lui, tente d’élucider un meurtre. Une chouette nouvelle au dénouement intéressant, dont l’intrigue aurait pu tenir en haleine sur un roman entier.
2/5 Claire Favan, Le mur – Dans un avenir proche entre Waterworld et Blindness, Jérémy vague sur le Havana Bay, contenant les derniers humains. Avec sa romance au second plan, Le mur est avant tout un lore dumping à moral écologiste. Louable, mais pataud.
3,5/5 René Manzor, Demain – Suite à un événement traumatique ayant eu lieu dans sa petite enfance, Chance met la dure réalité de côté pour se plonger dans le théâtre et la duperie, bien plus confortables. Elle vante alors de faux dons de voyance pour la scène, jusqu’à ce que l’une de ses prémonitions parviennent à sauver une vie en plein direct. De quoi attirer l’attention de la police, qui souhaite emprunter son « talent » pour une affaire. Le récit est emballant, tout en faisant preuve de douceur. Dommage que la chute ne soit pas des plus inspirées.
3/5 Amélie Antoine, Transparente – Même si elle n’invente rien, Transparente reste une nouvelle correcte jouant sur le sentiment d’invisibilité aux yeux des autres que chacun peut ressentir.
2/5 Fabrice Papillon, Anaïs – Un récit convenu, avec un narrateur délirant. Malgré le peu d’ingéniosité, elle n’en reste pas moins bien exécutée.
4/5 Gaëlle Perrin-Guillet, La tache – Une courte nouvelle humoristique à la fin satisfaisante, que je n’avais pas vu venir.
1/5 R.J. Ellory, Private Eye – Un journaliste d’investigation expert dans l’art de la filature se sent tout à coup… pris en filature. Le coup de l’arroseur arrosé ? Oh non, Raymond Whyte n’est pas du genre à se laisser faire et décide de prendre en filature celui qui le prend en filature. Vous suivez toujours ? Malheureusement, R.J. Ellory choisit ici de s’étendre en longueur en choisissant une ficelle vieille comme la littérature. Un schéma et une chute ayant déjà été lus des centaines de fois.
1,5/5 Johana Gustawsson, Tout contre moi – Peu de choses à dire sur cette courte nouvelle. Le narrateur s’adresse tout du long en un long monologue au lecteur : son amour impossible. Un exercice ennuyant, appuyé sur la sexualité, qui laisse entrevoir la fin.
3/5 Barbara Abel & Karine Giebel, Darkness – On peut au moins se satisfaire ici d’une fin rondement menée, bouclant la boucle, après quelques légers égarements. Il aura néanmoins fallu attendre quelques temps que sa langue se délie pour obtenir des réponses qui se dessinaient, sans mauvais jeu de mot, sous nos yeux.
Le Noir, Tome 2 : Regarder le noir
1985, Sabran-sur-la-Lys, petit village paisible… jusqu'au jour où un beau matin les villageois trouvent certaines maisons vides, sans porte ni fenêtre, à découvert. Au fil du temps le bourg se vide inexplicablement.
Léa, revenue dans son village natal depuis peu, va s'atteler à découvrir ces méfaits. Elle va devoir décortiquer un passé, trouver le ou les responsables et comprendre les secrets de chacun.
Un roman dramatique, une intrigue bien ficelée, l'écriture de l'autrice tout en douceur nous emmène néanmoins vers la noirceur de l'humain dans toute sa splendeur! Un très beau coup de cœur.
Aux quatre vents
On trouve ici un thème qui peut parler à beaucoup d’enfants, la famille recomposée. Ici pas de cohabitation difficile avec d’autres enfants, mais bien avec une sorcière des temps modernes. Cette femme est l’archétype de la marâtre que l’on retrouve dans les contes habituels. Mon fils m’a dit en voyant la couverture : “Il n’y a pas que son nom qui est moche, tout est moche chez elle”
Je ne lui ai pas lu, car il est un peu trop petit pour cette histoire, mais je ne doute pas qu’il fera son bonheur quand il sera en âge de le découvrir.
Nous assistons à plusieurs match de David (non non pas le papa qui porte ce prénom, trop aveuglé par l’amour) contre Goliath car Malaïka va devoir affronter un monstre des coups bas en tous genres, des idées les plus horribles. Mais gagnera-t-elle seule contre tous? Sauvera-t-elle son petit frère des griffes de cette affreuse belle-mère?
Malgré les presque 300 pages, je l’ai lu en une journée. L’histoire est addictive, fluide. Je pense qu’elle est destinée aux enfants d’une dizaine d’années, mais les adultes y trouvent leur compte, ce fut un très bon moment de lecture.
Les quelques illustrations qui agrémentent le livre sont très agréables et l’humour qui ponctuent chaque page est irrésistible.
En bref, une lecture que je conseille aux petits et aux grands.
Ma moche-mère et moi
Pourquoi tu pleures ?
Aux quatre vents
Le bonheur l'emportera
J'ai été bouleversée et remuée !
Raisons obscures
En tant que mère, l'histoire est dure, mais cela existe malheureusement.
Je pense enchaîner avec un autre livre de cette auteure.
Pourquoi tu pleures ?
Malheureusement j'ai deviné certains éléments et je n'ai pas eu le waouh de la fin auquel je m'attendais. Un bon roman mais pas un coup de coeur
Pourquoi tu pleures ?
Ok est plongés dans l’histoire, on a peur avec les personnages…
Émotions fortes - quasiment - garanties ; à lire (mais pas avant de dormir comme je l’ai fait…).
Revi3ns