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Commentaires sur ses livres

Ange Beuque

Par Philo18 le 24 Mars 2024 Editer
Philo18
Le père Noël est comme chaque individu, il doit avoir une attestation pour avoir le droit de sortir distribuer ses cadeaux. Petit roman avec beaucoup d'humour sur cette période plutôt sinistre, le père Noël doit se battre pour redonner le sourire aux enfants, et tout ça sans contaminer aucune famille mais lui.....
A propos du livre :
Dérogation : Noël
Dérogation : Noël
Par diamelee le 13 Octobre 2023 Editer
diamelee
Gaïa. La terre-mère. Peu importe le nom qui lui est donné à travers le monde, la Terre a toujours fasciné l’humain. Adorée, idolâtrée, respectée par les peuples dits primaires, elle a été exploitée, détruite, par les peuples dits modernes. Pourtant, elle continue à nourrir les humains, à les accueillir en son sein. Malheureusement, l’humain dit moderne ne fait rien pour lui être reconnaissant. Au contraire. Il semble prendre plaisir à la détruire au nom de la modernité. De la technologie. Cette anthologie est superbe. Les nouvelles présentent la terre-mère dans le monde entier. Dans des situations post catastrophes. En tant qu’objet d’adoration. Les humains ont-ils réfléchi à tout ce que la nature a subi et subit encore par leur faute? Quand prendront-ils conscience de la fragilité de cette dernière?

La terre, la faune, la flore souffrent, dans un bruyant silence, de ce que l’humain lui fait jour après jour. Année après année. Les différents auteurs de cette anthologie nous racontent la nature blessée, saignée, violentée par la cupidité humaine. Ces humains, face à la réalité de la destruction, tentent de recréer une nature qui s’adaptera à leur nouveau monde réduit à néant. Que leur reste-t-il? La nature devient l’objet d’une grande vénération qui, à son tour détruit l’humain. Plutôt, elle pousse l’humain à se détruire lentement mais sûrement. Les peuples dits primaires préfèrent s’ancrer dans leur mode de vie qui a toujours respecté la nature. La cacophonie s’installe.

Ce recueil de nouvelles est écrit comme un cri du cœur. Un cri d’alarme. Il veut réveiller les consciences. Il appelle à un rapide changement du mode de vie, avant la grande catastrophe écologique. Le temps n’est plus à la parole, mais à l’action. Il faut tenter de ne pas passer d’un extrême à l’autre : vénérer la nature au point d’aliéner l’humanité. Il faut trouver un juste équilibre. Les auteurs humanisent la nature. Ils montrent les conséquences de l’inconscience humaine sur la nature qui n’est plus et ne sera plus jamais. Les messages sont forts. Durs. Parfois inquiétants. L’humanité entendra-t-elle leurs messages ou est-ce trop tard? C’est un superbe recueil à lire de toute urgence.
A propos du livre :
Terre Mère
Terre Mère
Par Zamy le 8 Novembre 2021 Editer
Zamy
Ce recueil de 14 nouvelles place la nature, l’environnement, le changement climatique et bien d’autres thèmes au cœur de chaque histoire, dans des styles très différents.

L’Auberge des Quatre Chemins – Minuit
Intrigue : Alors que l’hiver ne semble pas vouloir venir, une mamie et son chat demandent le gîte et le couvert dans une auberge déserte. Le lendemain, l’hiver survient au plus grand bonheur de l’aubergiste.
Un texte magnifique où nous attend une surprise à la fin ! Les personnages sont très vite attachants (le neveu de l’aubergiste et son bon cœur surtout) ou énigmatiques (la mamie). Écrit sous forme de conte, ce texte riche est l’un de mes préférés.

Un os à graver – Christophe Germier
Intrigue : Un étranger arrive dans un clan maori et sème peu à peu la discorde.
On en apprend un peu plus sur la Nouvelle-Zélande, et surtout sur les Maoris, leur langage, leur culture, leurs légendes et leur lien à la terre. Ici, c’est le taniwha (une créature métamorphe) qui nous est présenté ainsi que la confrontation entre deux cultures.

Cellulose – Lina Lepetit
Intrigue : On suit la vie d’un arbre jusqu’à sa transformation en feuille de papier.
Le génie de cette nouvelle, c’est d’avoir fait parler l’arbre puis la feuille de papier à la première personne, de leur avoir inventé une sensibilité si différente de la nôtre, et de leur avoir fait porter un regard sur les hommes. Il n’y a pas vraiment d’intrigue ou de suspense, mais on se laisse prendre très facilement à ce qui nous est raconté.

Méfie-toi de l’eau qui dort – Elsa Couderc
Intrigue : Un groupe d’ados cherche à sauver leur marais de l’implantation d’une éolienne.
Une histoire qui se passe de nos jours avec une bande d’ados qui agissent et trouvent des moyens à leur niveau alors que les adultes ne font que parler. Une bonne chute (littéralement),
Spoiler(cliquez pour révéler)
plus douce que le final explosif que laissait prévoir la trame
.

J’ai la fièvre – Pauline Vetter
Intrigue : Un homme prend le train, perdu dans la foule.
Déroutante de prime abord de par la mise en page et les pensées du narrateur qui fusent sans trop de cohérence, cette nouvelle prend tout son sens peu à peu. Ici, la Terre Mère est plutôt vue comme un retour aux sources, à l’essentiel.

Une autre vie – Anaïs Hay
Intrigue : Icare, fils d’un riche entrepreneur, est emporté par une vague. Une baleine le sauve et le transforme en animal marin afin qu’il constate les ravages de l’Homme sur l’océan.
Un texte beau et subtil, qui parle de la prise de conscience face à l’impact de l’Homme sur le milieu aquatique. Je ne m’attendais pas à cette fin,
Spoiler(cliquez pour révéler)
avec la tempête Icare
, une belle surprise. Cette nouvelle montre que l’on peut tous contribuer à rendre le monde meilleur.

Sécession – Antonin Sabot
Intrigue : Des Amérindiens donnent six mois au reste du monde pour change de mode de vie et être respectueux de la nature, sans quoi ils feront sécession.
J’ai beaucoup aimé cette histoire, notamment la réaction après l’ultimatum, tellement crédible et réaliste (les dirigeants qui se voilent la face et détournent le problème). La fin donne envie d’être du bon côté de la balance.

Champ d’hellébores – Jeanne Leclère
Intrigue : Sur une terre qui se meurt, deux enfants fuient un terrible tsunami. Leur voyage chaotique commence.
Un rythme haletant, saccadé, comme un souffle court, des phrases percutantes, où l’on sent toute l’urgence et tout le tragique de la situation. La fin est à la fois triste et pleine de vie.

Sous la ferraille, la vie tranquillement pousse – Matthieu Clerjaud
Intrigue : Dans la Ville, un homme chargé de nettoyer les tags découvre une fleur dessinée, ce qui l’intrigue.
Superbe et poétique ! Une idée simple (taguer des fleurs pour rendre le monde plus beau) qui fonctionne. La fin reste ouverte et mille scénarios possibles pourraient suivre cette nouvelle.

Hôpivégétal – Raven Blacky
Intrigue : Cybèle, chirurgienne pour végétaux, aide aussi l’inspecteur Pluton dans ses enquêtes. La piste qu’ils suivent sur l’affaire Ginkgo tourne au cauchemar.
Du genre policier, cette nouvelle se détache des autres avec cette idée originale d’hôpital pour végétaux et de crime végétal. Un très bon texte, avec quelques anagrammes cachées dans les noms de certains personnages.

Le Chercheur – Julia Pinquié
Intrigue : Un groupe de chercheurs se met en quête du paradis.
Une mise en page spéciale, mais que l’on apprivoise facilement. J’ai aimé me plonger dans cette quête qui se transforme en course-poursuite avant de terminer sur une fin noire,

Oraison terrestre – Audrey Bergerat
Intrigue : Lorsque la Gaëlle choisit qui lui succédera, son choix provoque la stupeur : Victor, un homme, alors que ce poste est tenu traditionnellement par des femmes.
Un renversement des clichés hommes/femmes intéressant (les femmes aux pouvoirs, les hommes tenus loin des postes décisionnaires), mais qui montre tout le danger de catégoriser des personnes en fonction de leur sexe. Le postulat de base (on s’intéresse à ceux qui n’ont pas pu partir sur Mars pour fuir la Terre) est lui aussi une bonne idée, qui a permis la construction de cette société matriarcale. Bien écrite, cette longue nouvelle se lit toute seule.

Mère éternelle – Marine Gaulin
Intrigue : Dans un monde bétonné où les hommes expient leurs crimes contre la nature, un vigile découvre que le temps d’avant n’est pas si loin.
La société décrite donne froid dans le dos. La nature y est absente, à l’exception des chevaux octroyés seulement aux vigiles. Et soudain, une plante apparaît, lueur d’espoir, mais aussi de crainte.

Et le Ciel t’écoutera – Ange Beuque
Intrigue : Un message de la Terre sous forme de testament est envoyé dans l’espace et capté par des extraterrestres qui parviennent à le traduire.
La forme de cette nouvelle est originale. On alterne entre des fragments du message et les questionnements des extraterrestres. Une chute pleine de sagesse.
A propos du livre :
Terre Mère
Terre Mère
Par Zamy le 4 Décembre 2020 Editer
Zamy
Recueil de 23 nouvelles, cette anthologie athématique regroupe surtout des textes de fantastique et de science-fiction. Ce recueil m’a bien plu dans l’ensemble, mais je ne parlerai que de mes textes préférés (chroniquer les 23 serait trop long).

Si tu vas à Bélèfroi, prends garde à toi ! – Chris B. Honspacq
Intrigue : À Bélèfroi, les choses et les personnes reviennent… ils reviennent alors qu’on s’en est débarrassé, qu’on les a perdus ou qu’ils sont morts. Un enquêteur est dépêché pour résoudre ce mystère.
Super riche en imagination, le surnaturel est à chaque coin de rue et l’enquêteur que nous suivons et qui ne connaît rien à la ville aura plusieurs fois des sueurs froides. La résolution de l’affaire a un côté humoristique et imprévu. Une bonne balade à Bélèfroi !

SOS – Dumè Antoni
Intrigue : Un vaisseau spatial reçoit un appel à l’aide particulier. En effet, son auteur n’est autre qu’un des membres de l’équipage…
Paradoxe temporel très bien mené, le lecteur n’est pas perdu dans les termes techniques, l’intrigue tient en haleine… Une super histoire S-F !

Vacances de rêve – Gilles Massardier
Intrigue : Une entreprise, dans le futur, propose d’intégrer le corps de personnes dans le passé afin de vivre l’histoire au plus près. Un historien choisit un homme vivant dans l’Antiquité romaine.
L’idée de base est géniale ! J’ai adoré la chute (prévisible certes, mais qui fait que le lecteur en sait beaucoup plus que ce pauvre historien coincé dans l’Antiquité). Ajoutons à cela un style riche et vivant, et voici un excellent texte !

Le Silence pesant de Soizic Leroy – Gillian Brousse
Intrigue : Soizic est une petite fille étrange : elle ne parle pas, ne sourit pas, ne joue pas et vous fixe avec intensité…
Un suspense qui monte au fil des pages. On pressent le délitement de cette famille à l’enfant atypique. La chute imprévue fonctionne à merveille ! Une nouvelle aussi retorse que Soizic.

Base 100 – Tim Corey
Intrigue : Les nuits se mettent soudainement à rallonger. Imaginez la nuit durant une centaine d’heures ? C’est vite la pagaille dans le monde !
Génial ! On commence le texte par une partie angoissante, pleines de questions, pour finir sur une note plus légère et humoristique. Une nouvelle plaisante à lire et à la fin inattendue.

Tout pour votre bonheur – Thierry Fauquembergue
Intrigue : Une jeune femme possède une maison avec une domotique (un peu trop) à la pointe.
Courte nouvelle à l’écriture originale, on pressent le drame de la fin qui est bien amené. J’ai bien aimé le côté domotique et objets intelligents à l’extrême… mais dont l’intelligence n’est pas celle des humains.

Dernier arrêt pour Verivik – Tom Newry
Intrigue : Le jour où une femme disparaît inexplicablement dans le métro, le narrateur enquête pour la retrouver.
Légende urbaine, celle d’une station de métro cachée qui n’apparaît qu’à certains, cette nouvelle nous emmène à la découverte de Verivik, une ville accueillant les dépressifs… pour le meilleur ? Pas sûr. Très bien construite et intrigante, cette nouvelle clôt à merveille ce recueil.
Par regi80 le 18 Septembre 2020 Editer
regi80
Les éditions Ex-Aequo nous proposent dans sa collection rouge le prix Zadig 2019 de la nouvelle policière.
Ce prix a donc été attribué à Ange Beuque pour sa nouvelle « Les Leurres de l’Ephémère ».
Notons que l’auteur n’est pas inconnu. On a pu lire sous sa plume diverse, notamment dans le domaine de l’Imaginaire : aux éditions Arkuiris dans diverses anthologies comme « Villes du Futur » ou dans des revues comme « La Revue des Cent Papiers » ou « Gandahar ».
L’auteur nous démontre en tout état de cause avec ce récit qu’il sait adapter sa plume au genre policier.
L’intrigue de cette nouvelle qui aborde le sujet du harcèlement scolaire qu’il soit physique ou numérique est étudié ici avec maîtrise. Le résultat est assez bluffant : Le court récit de Ange Beuque fait froid dans le dos.
L’auteur, impitoyable n’épargne personne que ce soit des enseignants au mieux aveugles, des parents qui ajoutent l’irresponsabilité à la cécité, des policiers inadaptés à ce problème et des adolescents qui pratiquent la loi du silence.
Au début du récit, un adolescent est retrouvé pendu à la grille du collège. Son suicide apparent a fait l’objet une vidéo vite inaccessible(sur Snapchat) auprès de ses camarades.
Evidemment l’enquête trouvera une autre conclusion.
Ange Beuque conduit son récit sans fioritures. Son style est clair, parfois sec mais constamment empreint d’empathie envers des personnages totalement dépassés par les codes sociaux et numériques d’u onde qu’ils peinent à comprendre où la seule solution est de « faire semblant ».
Les personnages sont criants de vérité. Les parents retrouveront dans les différent portraits d’ado, leur propre progéniture. Et les ados aux-même risquent de reconnaître leurs petits camarades dans ces collégiens en apparence insouciants, mais en fait dans l’angoisse quotidienne de l’exclusion du groupe.
La façon dont les opérations de harcélement sont effectuées sttout simplement glaçante?
Mention spéciale aux portraits de Gabriel et de Sarah, tellement ordinaires qu’ils effraient par leur normalité même.
Les adultes font l’objet aussi de beaux portraits comme celui du prof de Maths ou de la policière obstinée.
A côté d’une intrigue au cordeau que vous ne pourrez pas lâcher avant la fin, l’auteur délivre plusieurs messages.
Certes Ange Beuque pointe du doigt les diktats du numérique et les paris idiots proposés aux ados qui doivent exécuter sous peine de mort sociale ; Certes, il démontre les ravages du harcèlement scolaire mais ce n’est pas là son principal propos.
Il ne s’agit pas seulement d’une dénonciation mais bien d’un cri d’alarme. Plus de solidarité et de compréhension entre les générations et les individus devraient pouvoir éviter des tragédies comme celle que raconte ce livre.
Un livre, à lire, à relire et à étudier. Une nouvelle pour tous les publics : Ados, Enseignants, Parents, Policiers…
Et Merci à l’auteur pour son Service de Presse et pour ce livre formidable
A propos du livre :
Les leurres de l'éphémère
Les leurres de l'éphémère
Par regi80 le 14 Septembre 2020 Editer
regi80
Voici une revue qui n’a pas souvent les honneurs de la presse spécialisée. « Bifrost » n’ pas encore chroniqué cette revue( Qui a dit « Heureusement ! » ?).
Et pourtant voici un magazine qui se donne pour but de promouvoir la SF francophone. IL se retrouve sur le site de la revue (téléchargement gratuit) ou en format livre papier.
C’est un bel objet de 200 pages avec une superbe couverture de Mari Capriata et une poétique 4éme de couve due à Beezk ; Ot.
Les illustrations sont d’ailleurs une des forces de « La revue des Cent Papiers ». Soignées, elles dispensent poésie, exotisme ou terreur et illustrent souvent de très belle maniéré les récits.
« Des fantômes dans la cité » de Ange Beuque inaugurent de la meilleure des façons cette anthologie sur les créatures mêle fantastique et science-fiction par un biais assez inattendu. Le style sans fioritures nous emmène sans faiblir jusqu’ à une conclusion qui introduit une pointe de satire politique grinçante et surprenante.
« Orages » de Marc Legrand st une histoire de baby-sitter qui commence comme un thriller pour se terminer dans un fantastique gore qui vous suffoque de peur. Là aussi une histoire très bien menée dont la conclusion s’écarte des sentiers classiques.
« Les Fourmis » de Joan Sénécal, un conte que n’aurait pas renié Maupassant ou l’on se mande qui de la Folie, ou du Fantastique correspond à la vérité. Bravo à l’auteure de nous laisser dans le doute.
« Mobilisation des sentiments » est l’œuvre d’Anthony Boulanger qui nous a déjà offert bien d’autres facettes de son talent. C’est une espèce de fantasy horrifique avec un soupçon de feelgood. Très Bon et curieux.
« Les Planches. » de Aude Berlioz est très court mais vous aurez du mal à vous remettre de la conclusion.
« Des fleurs et des mots » de Nicols Parisi est une histoire de fantastique végétal et bibliophile assez flippante. Très originale, elle nous emporte vraiment ailleurs.
« Le Pays des Monstres » de Cedric Bessaies ressort de la fantasy et de la nouvelle d’apprentissage. Bien menée, c’est une touche d’optimisme de ce numéro.
Avec « Au crépuscule, l’ablaton » signé par Thomas Pinaire nous voici dans un récit post-apocalyptique aux résonnances philosophiques. Personnellement, c’est le récit qui m’a le plus angoissé.
« La revanche de l’horloger » de Cédric Teixeira est une très curieuse histoire de voyage temporel « so british ». On s’y amuse bien et le style de l’auteur nous emmène sans problème vers une conclusion un peu inattendue.
« La bête » est du renommé Sylvain Namur est totalement gore et horrifique. A ne pas lire le soir ou avant un bon repas…
« Eaux Troubles » De la romance, de l’humour noir sont au programme de la nouvelle d’Amelie Sapin. On est loin de chez Disney dans le traitement du thême.
Avec « La grosse Carpe » Claire Garand signe le deuxiéme sommet du recueil, une histoire de pêche raconter à vos amis qui s’adonnent à ce loisir ; Les goujons devraient y gagner un peu de tranquillité. Une merveille de situle et d’écriture.




Lisez « Poursuite » de Marie D et vous aurez un récit d’horreur très court et bluffant.
« Rencontre cosmique » de Thierru Fauquemberge est un hilarant conte de science-fiction humoristique. Absurdité et nonsense font merveille et le ton très flegmatique du récit aggrave les choses n’est pas loin.
« Ne pas bruler en vain » permet à Patrick Ugen de nous faire rêver en nous disant » Si ca pouvait être vrai !
« le Knodal » de Lanfeust et « Science sans conscience de de Lancelot Sablon concluent ce recueil de la meilleure des façons . Leurs chutes sont parmi les meilleures de ce numéro 2 d’un excellent niveau de La revue des Cent papiers.
Le thème « Créatures » est très bien respecté et décliné avec des textes souvent très bons qui nous font découvrir de très grands talents dont on espère retrouver bientôt la plume.
Donc à se procurer de toute urgence
Par enami_books le 1 Septembre 2020 Editer
enami_books
Tout d'abord je remercie l'auteur qui m'a permis de découvrir son roman qui se lit via la plate-forme readiktion.
Petit particularité c'est un roman interactif . Oui oui messieurs dames , ici vous ne vous contentez pas de lire, mais vous participez également au déroulement de l'histoire grâce à vos choix !

Il m'est arrivé dans ma jeunesse de lire des livres jeux, livre interactif mais celui-ci n'a absolument rien à voir!

Tout d'abord nous sommes loin du roman jeunesse simpliste. C'est l' histoire d'un héros qui après avoir pris sa retraite, rempile pour se retrouver au coeur d'une affaire de malédiction. Qu'est-ce que la malédiction? Pour faire court , les personnages disparaissent au bout de 21 chapitres et personne ne sait pourquoi ni comment .
Et nous voici tenu d'aider notre personnage principal a comprendre et déjouer cette malédiction avant qu'il ne soit trop tard !

Parlons-en justement du personnage principal , personnage tout d'abord solitaire et sûr de lui , il évolue au court de l'histoire , il rencontre, entre autres, un personnage que j'ai particulièrement apprécié mais que je vous laisse découvrir (Cid c'est pour toi!)

De plus, il est tellement plaisant de voir notre protagoniste décortiquer ce qui compose un roman, tout ce fond parfaitement dans le récit. Il navigue à travers les pages comme si le livre était un jouet entre ses mains et qu'il pouvait le manier comme bon lui semble .

Ce récit est unique en son genre, il ne se place pas dans un genre précis, l'intérêt ne se limite pas uniquement au scénario.
L'auteur est un réel virtuose de la langue française , il manie les mots à merveille ! Il nous ébloui par son phrasé, par la tournure de ses phrases , ses jeux de mots...

J'ai particulièrement aimée ma fin (car oui il y a plusieurs scénario et je ne sais pas où chacun mène pour le moment ) , j'ai surtout appréciée la réflexion derrière cette fameuse malédiction.

Je pourrais tenter de vous résumer davantage du roman mais la vérité est que tout est dans la plume de l'auteur , rien de ce que je ne dirais ne pourrais retranscrire l'impact que ses mots ont , c'est drôle , intelligent , sarcastique...bref c'est du Ange Beuque.
A propos du livre :
La Malédiction
La Malédiction
Par enami_books le 13 Août 2020 Editer
enami_books
Je ne lis pas souvent de nouvelles mais celle ci est bien différente de celle que j’ai pu lire .

Nous suivons ici la lieutenant Audrey Krawjcek chargée de l’enquête suite au décès du collégien. Que s’est il passé? Qu’est ce qu’il se cache derrière le silence de ces jeunes?

Cette histoire , courte en page mais longue en réflexion , vous plongera au coeur de sujets d’actualités tels que les réseaux sociaux et autres que je préfère vous laisser découvrir par vous même pour ne rien vous spoil.

J’ai appréciée cette plume où se melent simplicité et maîtrise .
Il existe de bon auteurs, agréable à lire , et d’autres d’un talent certain . Nous en avons ici la démonstration!
A propos du livre :
Les leurres de l'éphémère
Les leurres de l'éphémère
Par thereadingsession le 12 Avril 2020 Editer
thereadingsession
Une nouvelle aventure s'offre à moi lorsque je débute la lecture de ce recueil : je ne lis que très peu de nouvelles, et surtout, m'engager dans une poursuite avec le temps est tout nouveau pour moi. Ce que j'en retiens, c'est que Nutty Sheep a réussi à regrouper neuf plumes talentueuses qui m'ont emmené avec elles dans leur voyage dans le temps. Ce recueil, il allie la science fiction, la mythologie, la fantasy, doux mélange d'une multitude de sujets hétéroclites circonvoluant autour de cette temporalité.
Si ce n'est la rapidité de lecture que nous offre ce format, ce recueil aborde bon nombre de sujets qui se veulent moralisateurs ou légers, durs ou bien gais, en passant par l'horreur et le dégoût ("Pour un fugace instant" m'a autant surprise que légèrement dégoutée). Le temps peut tout influencer, altérer, manipuler et on le ressent tout au long du livre, avec une réflexion éthique, physique et philosophique sur la manipulation de ce dernier et les conséquences qui sont engendrées (notamment dans "Aéropôle 1).
Au final, la description du temps y est hétéroclite : des fois apathique, qui malgré les obstacles continue à avancer selon son bon vouloir, écoulement du temps inexorable ; espiègle et malicieux, notamment dans le nouvelle "La ligne quarante-deux" où le temps aime se jouer de nous. Le temps nous modèle, nous abime, nous fait grandir... Et quand le temps s'arrête : la mort, car malgré nos artifices et nos tentatives de la contrer temporellement, elle est immuable, notamment dans la nouvelle "Juste une seconde".
J'ai beaucoup apprécié ce recueil, tant par les sujets abordés que par l'écriture, car les neuf auteurs maîtrisent très bien leur exercice, nous amenant chacun dans leur propre univers, si bien que chacune des nouvelles est unique et la lecture n'est pas le moins du monde redondante, donnant envie de la finir au plus vite (enfin si le temps nous le permet).
C'est pour moi un sans fautes que cette anthologie et je suis ravie d'avoir pu la découvrir ! Un véritable plaisir à lire.
A propos du livre :
Time Travel (Anthologie)
Time Travel (Anthologie)
Par AJCrime le 7 Mars 2020 Editer
AJCrime
On trouve dans ce recueil l’ensemble des textes opposés lors du 7e tournoi des nouvellistes. C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai retrouvé la plupart de ces nouvelles légèrement relookées. Il y en aura pour tous les goûts de genre et de style. Perso, je suis allé du bof au « terrible » « génial » « glaçant » ou « j’adore ».
Les dernières sont inédites, romantiques, horribles, surprenantes mais toujours fantastiques. Avec une mention spéciale pour le dernier texte qui est une magnifique allégorie au génial 1984 et trouve des développements à la fahrenheit 451. Très beau final, rien que pour ce texte ce recueil mérite d’être lu.
A propos du livre :
7e tournoi des nouvellistes
7e tournoi des nouvellistes
Par Fenkys le 4 Mars 2020 Editer
Fenkys
La revue du faune, dont j’avais chroniqué le numéro précédent, a fait peau neuve en adoptant un nouveau nom : « La revue des Cent Papiers du Faune – Arts et Littératures d’Outre-Mondes », plus communément abrégé en « La revue des cent papiers ». C’est une publication périodique consacrée à la littérature de l’imaginaire. Chaque fascicule est constitué de nouvelles et d’illustrations toutes liées par un thème unique, pour ce numéro, Créatures. Ce mot est à comprendre dans le sens de « êtres créés ».

Ce numéro inaugure un partenariat avec Sea Shepherd. Pour chaque numéro acheté, 2 € sont reversés à l’association.

Les histoires portent sur des sujets très variés, mélange de genres oblige, puisqu’elles appartiennent aussi bien à la science-fiction que la fantasy ou le steam-punk. Et les créatures qu’elles évoquent sont toutes également diversifiées. Cela va de l’être artificiel pour réincarner les morts, au golem, en passant par l’ordinateur ultrapuissant, voire les monstres du monde souterrain.


Mon avis
Pour ce numéro, les créateurs ont pu effectuer leur sélection parmi plus de deux cents auteurs. Inutile de dire qu’avec une aussi importante quantité, ils ont pu conserver les meilleurs (et ils ont dû certainement en rejeter beaucoup d’aussi bons, mais que faute de place ils n’ont pu accueillir). Ainsi, les deux défauts que j’avais relevés précédemment ont disparu. Tous les textes sont excellents, et aucune ne donne le sentiment d’être le début d’un tout plus grand. En revanche, certaines mériteraient davantage de développement, au point d’en faire un roman. Le monde imaginé par leur auteur est si complexe qu’on a du mal à croire qu’il a créé un tel ouvrage pour y situer juste une nouvelle de quelques pages. Et la variété des créatures est tout aussi impressionnante. D’ailleurs, la couverture illustre bien cette multiplicité : cet être mi-biologique, mi-artificiel est un résumé de la revue à lui seul.
Il est difficile de donner un avis global tant les nouvelles sont différentes. Mais en même temps, détailler chacune d’elle est impossible. Elles sont trop nombreuses. Ces nouvelles sur un thème unique, cependant large nous offrent un aperçu des talents existants dans le monde francophone. Aucun genre n’est oublié. On découvrira tour à tour des histoires surprenantes avec des fantômes conçus par ingénierie pour remplacer les morts, touchante avec cette fillette qui veut animer un golem pour prendre le relais de son père, atroce dans le cas d’un sacrifice humain voire marvellienne avec ce superhéros surdoué, mais qui se fera piéger par son propre pouvoir.
Les illustrations complètent ces nouvelles avec une représentation de ces créatures, qui vont de la mécanique à celles issues des enfers, les monstres des profondeurs, voire un "ent".

Une fois de plus, la revue des cent papiers concentre un maximum de talents, pour notre plus grand plaisir.
Par Gillian-1 le 17 Janvier 2020 Editer
Gillian-1
Nutty Sheep nous propose un recueil bien pensé, où se marient les histoires de paradoxes, de réalités alternatives, de voyages temporels tour à tour bienveillantes ou désabusées.
On y retrouve des ambiances que n’auraient pas reniées K.Dick ou Jack Vance. Le point d’ancrage des histoires peut se trouver à notre époque, dans un futur brisé ou encore dans un passé alternatif.
C’est une véritable déclaration d’amour au genre que je conseille vivement !
Les textes qui m’ont le plus marqués :
Aéropole 1 - Wilfried Renaut :
Excellent récit croisé, un mélange prenant de post-apo au parfum de fantasy et de hard SF. Deux histoires s'entrecroisent, belles et tragiques à la fois. L’auteur explore les thèmes de la fin du monde, de l’écologie, ou de l’amour perdu. Une belle idée dont l’ambiance m'a fait penser aux « Maitres du temps », de René Laloux.
Au fil du temps - Judith Pradal :
Une fable onirique et émouvante. On suit un fil tissé de mots juste et sensibles jusqu’à un final implacable, comme seul sait l’être le temps qui passe.
Pour un fugace instant - Nicolas Sick :
« Sick », l’auteur sait l’être en nous comptant ce personnage dérangeant que l’on à tous au fond de nous, mais que peu autorisent à faire surface. L’aliénation moderne du train-train et des responsabilités pousse le protagoniste à franchir les limites troubles entre le lâcher prise et la folie. C’est irrévérencieux, crado et traite le sujet de l’anthologie d’une manière incroyablement originale.
A propos du livre :
Time Travel (Anthologie)
Time Travel (Anthologie)
Par Leonard-2 le 10 Novembre 2019 Editer
Leonard-2
Bon recueil de nouvelles. J'ai surtout lu la nouvelle de Maritza Jaillet. Comme dit le commentaire précédent, c'est à la fin que tout explose dans l'intrigue... Une ficelle qu'elle aime glisser dans ses écrits. J'apprécie.
Par Zamy le 3 Octobre 2019 Editer
Zamy
Une superbe édition illustrée en couleurs ! Le thème de cette anthologie est le voyage et nous embarquons dans 15 nouvelles de tous les genres de l’imaginaire.

La Croisière – Morgan Talatizi

Intrigue : Une famille adepte de voyages a accepté de servir de testeurs d’une croisière spatiale.

Style agréable et plaisant à lire. Bonne chute !

Les Enfants des Bermudes – Cécile Metral

Intrigue : Un père et son fils partent en voyage sur l’océan qui s’avère plein de surprises.

J’ai eu un peu de mal à accrocher malgré une très belle histoire qui parle de famille, de mort et reprend des légendes mythiques
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(les Bermudes, le Léviathan, l’Atlantide…).


Une vie sur le chemin – Marie Tinet

Intrigue : Un homme sans identité marche dans le désert pour sauver des livres.

L’écriture est prenante et rythmée et nous entraîne dans un monde post-apo très pessimiste.

Le Grand Saut – Sébastien Acacia

Intrigue : Une expédition polaire ne comptant plus que trois survivants poursuit sa quête malgré des conditions météo déplorables.

Une nouvelle assez étrange, mais plaisante, qui m’a fait me poser beaucoup de questions tout au long de ma lecture. Une multitude de réponses est possible. Très bien écrite, on ressent énormément l’oppression dans laquelle vivent les personnages au début.

Séraphin – Thierry Fauquembergue

Intrigue : Rencontre entre deux hommes, dont l’un est plutôt mystérieux, dans un wagon-restaurant.

Courte nouvelle qui mérite une deuxième lecture, car on ne comprend qu’à la fin qui était ce mystérieux personnage. J’aime bien.

Rêve de vie – Harley Fox

Intrigue : Un homme réalise son rêve d’enfant : devenir astronaute et partir dans l’espace.

Une bonne chute, quoique prévisible. Belles descriptions de la vie de l’enfant.

L’Infime flétri – Ange Beuque

Intrigue : Un homme quitte tout pour sauver celle qu’il aime.

Une riche histoire, mais dans laquelle j’ai eu un peu de mal à me représenter cette quête
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des lettres (A, M…)
. Très belle fin, touchante et émouvante.

Un monde à sauver – Maritza Jaillet

Intrigue : Des voyageurs dans le temps reviennent en 2019 pour sauver le monde.

Une nouvelle géniale, super bien ficelée et très rythmée ! La fin donne une autre perspective sur l’ensemble du texte et change totalement ce que l’on pensait avoir deviné.

La Caravelle perdue – Constantin Louvain

Intrigue : Une caravelle espagnole part à la conquête du Nouveau Monde.

On ressent tout de suite le travail de recherches de l’auteur pour nous fournir des détails sur les conquistadors, les navires, les gréements… J’ai malheureusement pu prévoir la fin
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(car la nouvelle m’a beaucoup fait penser au film Nimitz)
.

Prendre l’écume – Sarah Delysle

Intrigue : Un jeune homme souhaite devenir Voyageur et s’en ouvre à la Voyageuse de son archipel.

Une nouvelle pleine de poésie, mais le retournement de situation à la fin se révèle glaçant. Bravo ! Maîtrisée de A à Z, cette nouvelle est l’une de mes préférées du recueil.

Ton voyage a déjà commencé – Clémence Chanel

Intrigue : L’auteure reçoit une carte de visite d’un « spécialiste des voyages de l’imaginaire » dans sa boîte aux lettres.

Je ne ferai pas de critique de cette nouvelle, car j’en suis l’auteure.

Il ne faut pas rencontrer le Petit Chaperon rouge – Régis Turlin

Intrigue : Un lecteur est propulsé dans l’histoire du Petit Chaperon rouge et tente d’en modifier le cours.

Très originale ! Cette nouvelle se dévore et on se prend au jeu de savoir si oui ou non le personnage va éviter au Petit Chaperon rouge et à sa grand-mère d’être dévorés. Une modification de l’histoire bien ardue pour notre héros. :)

Le Bout du chemin – Michel Vincent

Intrigue : Une femme a rendez-vous avec un inconnu à Tonnerre.

Une nouvelle intrigante au début. Belle fin même si le sujet est un peu morbide.

Voyages – Bettina Forment

Intrigue : Nous suivons les espoirs, les déboires, les voyages, les rencontres, bref, la vie d’une femme.

Une belle écriture teintée de sagesse bouddhique qui accroche dès le début. On se sent tout de suite proche de cette femme qui m’a émue. Quelques longueurs, mais une belle fin, très lumineuse.

Le Passeur – Justin Hazard

Intrigue : Un passeur, las de son métier, voit un client bien étrange lui demander ses services.

Un très beau conte plein de philosophie pour clore ce recueil. La
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double
figure du passeur est intéressante dans son traitement
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et fait automatiquement penser à Charon
.
Par AJCrime le 11 Août 2019 Editer
AJCrime
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en epub et en PDF
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A propos du livre :
7e tournoi des nouvellistes
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