Carl Barks
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Note moyenne : 8.6/10Nombre d'évaluations : 217
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Je reviens à la série des Donald Duck que j'avais commencée il y a quelques années. Chaque tome est une intégrale avec une multitudes d'histoires de longueur très variées et avec une bonne partie de pages consacrées à leurs analyses ou à des entretiens avec l'auteur, ou à des anecdotes sur l'écriture, sur l'édition, des fiches sur les personnages, des histoires inédites, etc. Les personnages secondaires ont plus retenus encore mon attention dans ce tome : Daisy (notamment la petite histoire "Guenilles party" m'a bien plu, elle a bien clouée le bec à tous les autres), Géo Trouvetou et Filament qui me fascine et finalement Grand-Mère Duck si travailleuse que j'adore !
Afficher en entierLe 11e tome était encore très riches en bonnes histoires : l'histoire longue "La fontaine de jeunesse" était originale par rapport au traitement du sujet et à la fin, cela m'a rappelé le dessin animé, il y avait les planches de Barks sur le Noël d'Oncle Picsou qui préfigure le Noël de Mickey, inspiré d'un Chant de Noël de Dickens - les illustrations très travaillées sont magnifiques.
Afficher en entierLe 12e tome recèle aussi de bonnes surprises avec l'arrivée de Miss Tick, la sorcière, mais aussi et c'est plus personnel, de l'histoire : "Le Roi de la fourrière" mettant en scène Donald capturant tous les chiens sans collier et qui s'en occupe très bien, mais qui fait de l'excès de zèle comme d'habitude - je suis sûre de l'avoir déjà lue dans un Picsou magazine ou autre !
Afficher en entierJ'ai tellement peu à critiquer que je ne sais qu'ajouter de plus, car j'aime toujours autant, mais il y a peu de choses à ajouter d'un tome à l'autre (preuve que l'auteur reste fidèle à lui-même et qu'il est constant). Alors, nouvelle petite parenthèse de ce tome-ci : j'aime bien la façon dont s'y prend l'auteur pour que Gontrand, le cousin hyper-chanceux de Donald, garde toujours sa chance du début à la fin, mais sans toujours faire en sorte que les autres soient malchanceux pour autant (et c'est pas gagné avec un personnage comme lui)
Afficher en entierSi j’ai bien compris le choix éditorial de ce tome et du précédent, c’est ici de nous donner les débuts de Barks avec Donald, mais dans d’autres maisons d’éditions. Le tome précédent, plus comme scénariste pour les films d’animation, et ici, pour une autre maison d’édition de 1944 à 1946. C’est donc le Donald et les neveux des débuts qu’on retrouve. C’est très étrange, plus « violent », plus libre aussi peut-être. Donald est plus terrible, plus injuste, plus mauvais-perdant, et plus prompt à la colère… et ses neveux sont beaucoup moins sages^^. J’ai bien aimé voir la 1e apparition de Grand-Mère Duck et aussi, Barks qui s’essaie à Mickey (car oui, on le retrouve le temps d’une petite histoire) – mais, il n’en a fait que le dessin, pas le scénario – c’était bien sympathique tout de même.
Afficher en entierComme d’habitude, j’ai envie de dire : j’ai aimé ce tome de Barks. D’abord, pour les retrouvailles avec Radio quiz que j’ai dû lire quand j’étais petite, mais dont je me souvenais à peine (excepté que ça me stressait de voir ce que Donald étudiait, et que je ne connaissais pas et que je me disais que je devrai un jour étudier à l’école (mais non : quelle enfant stressée j’étais !). Ensuite, pour le retour de Picsou, avec Bombie le zombie, un peu spécial celle-là. Finalement, pour les autres histoires d’une dizaine de pages (que chez Barks, je préfère souvent aux histoires longues, allez savoir pourquoi !), comme par exemple : Police buissonière
Afficher en entierCe tome ressemblait bien moins à tous les autres, mais difficile de ne pas en voir l’intérêt : il contient un inventaire de tout ce qu’à fait Barks, les histoires, les scénarios, les dessins, les peintures, de la correspondance, etc. Donc, l’édition prenait une grande plage sur les planches BD de ce tome. Le peu qu’il en reste dans ce tome est très sympa, notamment les histoires avec Gontran qui apparaît plusieurs fois, avec sa chance insolente acquise, mais pas infaillible, et c’est justement pour cela, qu’elles me plaisent.
Afficher en entierBon recueil, beaucoup d’histoires autour de Donald et de ses neveux « microbes » comme il les appelle, pas encore de Picsou en vue et peu d’autres personnages récurrents. Mes préférées sont Canin malin ou taré racé ? qui finit bien pour tout le monde, Second souffle et Rentrée buissonnière qui malgré des énièmes compétitions entre Donald et ses neveux finissent à égalité en quelque sorte, et Pique-nique et patatras ! où l’on retrouve Daisy.
Afficher en entierQuand Donald réussit un test d'intelligence, on se doute rapidement que la conception du test a un léger problème. Dans une autre aventure, Picsou lui confie à nouveau la gestion d'un hôtel mais l'expérience ne sera guère plus concluante ! Et toujours les chasses au trésor à travers le monde, ainsi que les Rapetous et Miss Tick qui débordent d'ingéniosité.
Afficher en entierJe dirais que l'histoire la plus originale est celle où Donald et Picsou prennent chacun l'apparence de l'autre pour échapper à quelqu'un... et bien sûr sans que l'autre soit au courant ! Lors d'une exploration sous-marine, la bande tombe sur des martiens qui exportent du fer sur leur planète grâce à un procédé ingénieux, mais l'employeur du moment de Donald - rédacteur en chef - n'apprécie guère qu'on se moque de lui.
Afficher en entierOn parle de Carl Barks ici :
2016-03-30T20:22:28+02:00
2016-03-22T17:11:36+01:00
2012-01-30T19:41:17+01:00
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Editeurs
Glénat : 29 livres
Disney Hachette Presse : 18 livres
Dargaud : 10 livres
EDI-Monde : 4 livres
Le livre de Paris - Hachette : 1 livre
Biographie
Carl Barks est un dessinateur et scénariste américain né le 27 mars 1901 à Merrill (Oregon) et décédé le 25 août 2000 à Grants Pass (Oregon). Employé par Western Publishing1, un éditeur de "comics" américains pour Disney, il dessina pendant de nombreuses années des bandes dessinées mettant en scène le personnage de Donald Duck et ses proches.
En 1935, il commence à vendre ses dessins à d'autres journaux que le Calgary Eye Opener. En novembre 1935, il apprend que Walt Disney recherche des dessinateurs d'animation. Il entre dans la compagnie plus d'un an après la création du personnage auquel il est le plus lié, Donald Duck créé en juin 1934. Ayant un caractère aussi colérique que Donald quand son travail est critiqué, Barks démissionne des studios Disney en 1942. Barks est engagé par l'éditeur de L'or des pirates, Western Publishing. Pendant trois décennies, Barks ne cesse d'écrire et de dessiner autour du canard Donald. Il crée Picsou le canard le plus riche du monde en 1947 avec l'histoire Noël sur le mont Ours (Christmas on Bear Mountain)2, Gontran Bonheur le canard plus chanceux du monde, l'inventeur Géo Trouvetou, la sorcière Miss Tick, les Rapetou, l'organisation des Castors Juniors et le voisin Lagrogne
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