Damien Marie
Auteur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.08/10Nombre d'évaluations : 66
0 Citations 45 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Belle BD, qui se lit très vite. Les dessins sont jolis, l'écriture nous permet d'être aussi déstabilisé que le personnage principal. Même si ce n'est, au fond, pas le sujet, Spoiler(cliquez pour révéler)on regrette de ne pas savoir où ni comment il a retrouvé sa fille sur le bateau, c'est assez frustrant. C'est sûrement fait exprès d'ailleurs.
Une belle illustration de ce que peut être la maladie d'Alzheimer. J'ai seulement peur de l'oublier (c'est un comble) aussi vite que je l'ai lue.
Afficher en entierDommage. Pourtant c'est une thématique qui me touche mais je n'ai pas apprécié les graphismes. La succession des retours dans le passé est aussi faite bizarrement.
Afficher en entierToute une oeuvre! Dessins, scénario, thèmes abordés et suspense... tout y est!
Afficher en entierCe roman graphique est très percutant. Tout se mélange, comme les souvenirs de Florent atteint d'Alzheimer
Les dessins et la coloration aident. Ils deviennent brumeux quand les souvenirs s'emmêlent, s'eclaircissent quand son esprit retrouve le fil. Les teintes sont pastel, seule Lilie est jaune fluo et cela accentue la recherche de Florent qui ne la voit pas (malgré le fluo), ne la trouve plus a travers sa maladie. Tout s'enchaîne très vite, pas beaucoup de texte, les pages défilent et ... la fin. C'est beau et déchirant. Je pense que c'est très dure de vieillir comme ça en ayant conscience qu'on perd et mélange tout ces souvenirs. Mais aussi pour la famille de voir l'être cher disparaître. On n'apprendd que ce n'est pas le premier drame de cette famille. Le deuil c'est compliqué. Le pardon aussi. C'est quand même très bienveillant. Belle lecture...
Afficher en entierTrès Déroutant. Très glauque. J'ai aimé et j'ai pas aimé. Difficile de ne pas être atteinte par cette lecture. J'ai entrevu un espoir ... puis il y a eut la fin. Brute. Et pourtant ça parle de rêves, de changements pour une meilleure vie...
Nous suivons Fabien qui enchaîne les heures dans un abattoir de cochons et qui le supporte de moins en moins. Sa femme travaille dans un hôpital et n'a pas non plus un quotidien facile. Et au milieu de tout ça, leur petite puce Elisa de 5 ans insouciante aime dessiner et inventer des histoires. On ressent l'échappatoire pour ce papa d'être avec sa petite fille, et cela se ressent même dans la colorisation avec des teintes beaucoup plus chaude. A plusieurs reprises sa fille reste sa bouée de sauvetage, son ancre pour ne pas céder a la lassitude.
Je ne préfère pas trop en dire, mais grâce à l'histoire de sa fille il va se confronter à des coïncidences desquelles découlera certains choix discutables.
L'auteur nous emmène dans plusieurs réflexions tout au long du récit : l'élevage intensif, l'abattoir, les sans abris, la précocité et c'est très déconcertant de réalisme.
J'avais déjà lu Ceux qui me restent de ce duo et ce roman graphique est tout aussi bouleversant. J'ai quand même été déroutée par celui ci qui est plus sombre, plus dur que le précédent ou j'avais trouvé de la justesse et de l'espoir en fin de tome.
Les graphismes sont toujours très prenants, ils donnent une ambiance particulière. Le côté brouillon un peu gribouillé aide beaucoup, cela donne envie de tourner les pages encore et encore.
Encore une belle réussite même si j'ai une préférence pour le précédent (sans doute dû au thème principal qui m'a plus touchée) ^^
Afficher en entierAujourd'hui, on se retrouve pour une nouvelle Masse Critique, pour un roman graphique cette fois-ci ! Signé Damien Marie au scénario et Laurent Bonneau aux dessins, cette histoire contemporaine saura vous transporter et vous émouvoir !
Je tiens à remercier Babelio et les éditions Grand Angle pour leur confiance et l’envoi de ce Service Presse.
Grâce à des dessins entre aquarelle et noir profond, nous faisons la connaissance de Fabien et de sa famille, composée de sa fille, Élisa, et de sa compagne, Aude. Une famille moderne, une famille qui nous ressemble, avec ses galères et ses joies. Même ses jolies petites histoires du soir pour endormir la petite Élisa. Avec son père, ils coconstruisent un mode rempli de licornes, de zombis, de cochons, de chatons et de princesses en détresse. Jusqu’au jour où ce qui se passe dans l’histoire se déroule aussi dans le quotidien morne de Fabien. Avide d’une autre vie, il prend cela comme une invitation au changement… mais tout changement est-il bon à faire ?
Ce livre est une ode à rompre la monotonie, à sortir de sa zone de confort, à retrouver la part d’enfance et d’imaginaire qu’il y a en nous. Cette part manquante à la vie de Fabien, devenue un enfer à cause de choix subis et non voulus. Ex-artiste, il se sent revivre dans ses nouveaux projets, même si ce n’est pas au goût de tous. Eh oui, le changement fait peur. Sortir des habitudes que l’on a toujours connues effraie. Celui qui ose inspire la méfiance et le mépris… jusqu’à ce qu’il réussisse !
J’ai beaucoup aimé ma lecture et me plonger dans cet univers où les chapitres se différencient en fonction de la couleur associée au noir. Tantôt jaune pour le quotidien familial, vert pour l’immonde monde professionnel, rose pour la vie côté plaisirs artistiques, l’histoire se déroule avec fluidité.
Les dessins sont magnifiques, simples, mais très expressifs. Parfois, il n’y a même pas besoin de mots pour comprendre ce qu’il se passe le temps d’un silence. Un très beau coup de crayon !
Pour conclure, je vous recommande vivement cette histoire qui saura, sans nul doute, vous toucher et vous faire réfléchir. Des dessins vivants, une touche d’imaginaire, une intrigue émouvante, des personnages aux valeurs fortes… Cela m’a donné envie de connaître les autres œuvres de ces deux artistes qui, à en croire le dépliant informatif, n’en sont pas à leur première collaboration. À suivre !
Afficher en entierJ'avais découvert ces auteurs grâce à une Masse Critique, avec leur dernière sortie, "Ceux qui me touchent". J'ai donc souhaité poursuivre l'expérience avec ce roman graphique qui aborde des thématiques auxquelles je suis particulièrement sensible.
Tout en douceur, ils abordent la maladie d'Alzheimer du point de vue de celui qui en souffre : Florent. Tantôt au début de sa parentalité, tantôt à la fin de sa vie, il évoque la perte de sa femme et l'éloignement de sa fille à cause de ses choix de vie. Les époques s'entremêlent, tout comme les souvenirs, pour former une tranche de vie touchante et aborder cette pathologie neurodégénérative avec une certaines forme de poésie.
Les dessins, agrémentés de subtiles touches de couleurs, retransmettent beaucoup d'émotions.
Afficher en entierMalgré une couverture et un résumé prometteur je n’ai pas accroché plus que ça à cette bande dessinée. Bien que le graphisme soit magnifique je n’ai malheureusement pas réussi à m’intéresser à l’histoire que j’ai trouvée confuse et brouillonne. J’espère que le tome 2 sera plus prometteur.
Afficher en entierJ’avais eu beaucoup de mal avec le premier tome et malheureusement le deuxième est pour moi une déception.
Je ne suis pas arrivée à m’accrocher à l’histoire. Bien que les dessins soient très bien réalisés j’ai trouvé le scénario un peu trop confus. Le côté vaudou et magie m’a un peu dérangé.
Afficher en entierUne très chouette BD mélangeant faits historiques, art, thriller et fiction.
J’ai apprécié ce récit qui nous projette en 1906 à San Francisco, peu de temps avant le tremblement de terre qui va ravager la ville. J’ai aussi aimé que certains des personnages ont réellement existé comme Enrico Caruso ou le générale Funston.
Dans ce récit nous suivons Judith, une jeune femme de chambre qui va se retrouver mêler à un vol de tableau. Elle va récupérer ce tableau sans se douter des répercussions et du danger à venir.
Nous sommes donc dans une ambiance sombre et également anxiogène (notamment quand le tremblement de terre à lieu). On ressent la stupeur et la peur des personnages. Le scénario est bien mené et ça se lit d’une traite. J’ai aussi aimé les dessins de Fabrice Meddour qui ne lésine pas sur les détails afin de nous imprégner de l’époque. Je rajoute que les quelques pages à la fin concernant l’explication de la partie historique sont très intéressantes, et je trouve que c’est toujours un gros plus pour ce genre de récit.
C’était donc un très bon premier tome immersif et prenant. La fin donne envie de lire la suite qui s’annonce tout aussi mouvementer. Je lirais donc le tome 2 avec plaisir.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Damien Marie
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Bamboo Édition : 13 livres
Vents d’Ouest : 10 livres
Grand Angle : 5 livres
Soleil : 4 livres
Dupuis : 2 livres
Overlook Publishing : 1 livre
Kamiti : 1 livre
Biographie
Scénariste
De sa rencontre avec Vanders naît Règlement de contes (chez Soleil), suivi de La Cuisine du Diable (Vents d’Ouest), puis Kerozen et Gazoleen (Soleil) et Back to Perdition (Dargaud).
Damien devient un auteur incontournable chez Bamboo / Grand Angle avec les séries Welcome to Hope, Ceci est mon corps, Parce que le paradis n’existe pas et Traffic tome 2. Marie est également l’auteur du Guide de survie en milieu alimentaire hostile chez Bamboo, et de Dieu chez Dupuis
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