Commentaires sur ses livres

Atlantis....un mythe, une fable pour certain, un possibilité historique pour d'autre. Je suis loin d'être un spécialiste du sujet mais je trouve que l'auteur a plutôt bien travaillé son sujet. ça semble plausible du début à la fin. L'auteur nous entraîne dans une chasse aux trésors où se mêle à la perfection indices, déductions, découvertes, technologies et suspense dans une alchimie presque parfaite. J'ai trop eu envie d'y croire !! Ce n'était plus une légende mais l'une des plus grande découverte archéologique qui nous montre tout simplement que nous sommes tous frères peu importe nos croyances. Un lien est fait entre toutes et tous et cela m'a fait rêver car j'y crois. C'est le premier GIBBINS que je lis et je pense m'attaquer à ces autres romans. Seul petit défaut (si je peux appeler ça un défaut), l'auteur utilise un vocabulaire assez précis sur tous les sujets: archéologie, technologie etc... et ça m'a un peu perdu dans les descriptions mais ça fait parti du réalisme de ce genre de fiction.

Je l'ai abandonné. Je n'aime pas du tout m'arrêter en plein milieu d'un livre. C'est soit je le met en pause et cette pause peut durer des années mais le maque-page reste (bien sûr faut que je le recommence depuis le début), soit je le termine. Mais là, au lieu de commencer le chapitre 24, j'ai lu directement le dernier chapitre ainsi que l'épilogue. Pour moi, ça n'a rien changé. Je n'ai rien compris. Les deux premiers chapitres étaient super intéressants. 9a m'aurait parfois plu d'être archéologue, de faire des découvertes et tout ça. Je partais dans cette lecture en me disant ça devrait me plaire. Et au bout du 3ème ou 4ème chapitre, l'auteur m'a complètement perdue avec ses termes trop scientifiques, je n'y comprenais plus rien. Pour lui ou pour un grand scientifique, il y a peut-être une logique dans ce qu'il dit mais pour moi il n'y en a aucune et pourtant à la base j'ai fais un cursus scientifique. Il manque des explications à mon goût. A chaque fois j'étais obligée de le croire en me disant c'est lui le scientifique, il s'y connait, moi je n'ai toujours pas compris de quoi il parle. C'est comme un dictionnaire où dans la définition il faut encore aller chercher la signification d'un autre mot...
Je lisais presque tout le temps sans lire. Je tournais les pages, je ne savais même pas ce qu'il s'y était passé. Quand je commençais à lire j'essayais de lutter et puis hop, je partais dans mes pensées. Comme il fait plus de 500 pages, je me voyais mal le finir, du coup je passais directement à la fin. Et je ne regrette toujours pas.
J'avais peur d'être en panne de lecture comme ça le fait parfois. Donc entre-temps j'ai lu un autre livre. Et ce n'était pas du tout une panne, c'est le livre qui ne me convenait pas du tout. Je ne pourrais même pas vous raconter l'histoire à part qu'ils découvrent une carte et des énigmes qui leur permettent de trouver Atlantis. Mais je ne savais jamais s'ils étaient dans l'eau, dans le sous-mari, sur le bateau ou ailleurs. Je n'étais pas du tout dedans. Ce n'était définitivement pas la peine que je perde mon temps plus longtemps.

Pour un premier livre c'est lourd ennuyeux avec une tonne d'explication (dans les détails le plus minutieux) sur le matériels de plongée, les différents secteurs de recherches non seulement décrit une fois mais aussi 2 fois....Pfff que c'est lourd et c'est bien dommage car le sujet était bien il aurait pu en faire une histoire palpitante.
Je lui ai donné pourtant toutes ses chances j'ai lu 173 pages sur 530.
Désolé pour les fans de cet écrivain mais pour moi c'est zéro pointé ;-(
Commenter J’apprécie

Très bon roman !
C'est palpitant même si au début, il faut se remettre dans le bain et se souvenir de ce qui a été dit dans Pharaon, le tome précédent.
Encore une fois, Jack, Costas et leurs amis se lancent dans une course contre la montre pour sauver des preuves archéologiques face aux mahdistes, des extrémistes musulmans.
J'ai retrouvé avec plaisir le rythme soutenu des romans de David Gibbins. J'ai vraiment eu du mal à lâcher le livre sur la fin pour reprendre le boulot. David Gibbins m'a mené de découvertes en découvertes, plus fantastiques et fascinantes les unes que les autres.
En lisant le roman, j'avais l'impression que c'était le dernier. De part les nombreuses références à Atlantis (le premier tome de la série), je pensais que la boucle était bouclée mais maintenant que j'ai lu les dernière lignes, je n'en suis plus si sûre... A voir !

Petite dédicace à mon travail d'archiviste avec mon extrait !

Une déception…

Mais c’est une déception particulière. J’aurais vraiment pu aimer ce roman. C’est un bon roman à la base, très bien écrit, bien dosé, de bons personnages attachants, une histoire forte et de l’historique dans la fiction. Mais ce qui m’a dérangée et ennuyée, c’est que ce livre parle trop de guerre. Vous allez penser que j’aurais du m’en douter avec le titre du livre, je le savais, mais je ne pensais pas que les détails sur la guerre allait m’embêter, car je n’ai lu de livre sur la guerre auparavant. L’auteur s’est énormément concentrée sur les batailles, les stratégies militaires et les monstruosités de la guerre, et en a un peu oublié les relations des personnages. Ca peut plaire aux fanatiques de guerre. Mais moi, ça n’a pas passé.

Scipion, petit fils adoptif du célèbre Scipion l’Africain et fils du puissant Paul-Emile, est un jeune homme romain qui sait dès sa plus tendre enfance que sa vie sera sur les champs de batailles pour la gloire de Rome, ainsi qu’à été les vies de son grand-père et de son père. Accompagné de fidèle ami Fabius, il va devoir renoncer à tout ce qui lui était cher – dont son amour pour la belle Julia – afin de devenir l’un des plus grands guerriers qui soit et détruire la ville qui résiste depuis tellement d’années à Rome : Carthage…

Comme je l’ai dit plus haut, les personnages sont travaillés et attachants. J’ai bien aimée Fabius et Scipion, ils ont une belle relation fraternelle et une grande force pour supporter tout ce qu’ils vivent depuis tellement d’années. Polybe, philosophe grec, est aussi intéressant comme personnage. Niveau femme, on à Julia, qui est hélas peut travailler, voir complètement effacée, l’amour de Scipion. Si leur romance avait été plus présente dans le livre, j’aurais pu vraiment l’adorer.

J’ai découvert avec ce livre que je n’aimais pas lire des romans sur la guerre. Mais ceux qui aiment ça où que ça ne les dérange pas peuvent adorer ce livre, car je reconnais qu’il est d’une grande qualité, écrit un par un archéologue/historien, spécialiste de l’Antiquité. Mais ce n’est pas mon genre de romans, voilà tout. Je me suis mise aux livres sur l’Antiquité il y’a un moment, et je n’ai jamais été déçue jusqu’à maintenant. Fallait bien que ça arrive un jour. Mais je pense vraiment que ce livre peut plaire à ceux qui aiment lire sur la guerre. Ce n’est pas mon style de lecture mais je ne pouvais pas le savoir avant d’essayer. Maintenant je le sais, je m’abstiendrais d’acheter des romans qui tournent uniquement autour de la guerre.

Je pense cependant lire les tomes suivants. Je suis curieuse de voir ce qui va arriver à Fabius et Scipion. Où au autres.

Des thèmes tels que Archéologie, Homère, Guerre de Troie, Secrets nazis mêlée dans un aventure à la Indiana Jones. Palpitant, très instructif! A lire absolument!

Le mythe de l’Atlantide est source de nombreuses théories, entre ceux qui pense à la fiction et d’autres à sa potentielle existence. Dans son premier roman, David Gibbins propose d’interpréter le mythe d’un point de vue archéologique, et cela n’a pas du tout marché avec moi. J’ai abandonné à la 315ème page pour lire la suite en diagonale.

Le roman se voulant le plus réaliste possible en ce qui concerne l’Atlantide, on trouve une tonne d’explications et de théories archéologiques. Je pense que si on ne possède pas un minimum de connaissances ou de vocabulaires, on peut facilement être perdu, surtout que la surdose d’information rend la lecture pesante et répétitive. Pourtant la théorie exposée par l’auteur peut être intéressante,

Spoiler(cliquez pour révéler)

en faisant d’Atlantide une sorte de berceau de l’humanité d’où proviennent toutes les connaissances des peuples est plutôt sympa, mais voilà comme dit précédemment, les informations sont trop lourdes.
Par contre le réalisme n’est pas poussé jusqu’au bout puisque que toute l’intrigue d’à côté ou même leur exploration me semble tout de même exagérées. (Je n’ai pas fait de recherche, mais je ne suis pas sûr que rester 12h sous l’eau soit une très bonne idée.) D’ailleurs cette intrigue ne sert vraiment à rien. Elle nous offre une histoire pauvre et clichée, avec le méchant contrebandier présenté comme impitoyable, répugnant et égocentrique (et qui finit de la manière la plus je m’enfoutisme du monde.)

L’écriture ne va pas aider à rendre le tout plus clair. Je l’ai trouvé pauvre et trop concise. On a très peu d’ambiance ou de détail sur l’environnement où circulent les personnages principaux. L’Atlantide est bien sûr décrite, mais étant immergées, les protagonistes doivent la visiter sous l’eau, chose qu’on ne ressent absolument pas. (Peut-être que je n’étais pas assez concentrée lors de ma lecture, mais je me suis souvent posé la question de savoir s’il était dans l’eau ou non.). Pour finir, je suis désolé d’écrire ça, mais la phrase finale sonne comme la fin d’un épisode de Père Castor.

Quant aux personnages, est-ce qu’on peut vraiment parler de personnages tellement ils sont vides ? C’est vraiment ce qui m’a le plus déplu dans le roman. Ils n’ont aucune caractéristique ou alors deux ou trois qui restent artificielles. Même le héros, Jack, n’a aucune personnalité. À la limite, Katya est plus identifiable. Elle est la femme belle et brillante par excellence, mais dès la première apparition, on sent qu’elle cache un truc.
Il n’y a rien qui donne envie de suivre les personnages, puisqu’il n’y a ni développement de leurs relations ni développement de leur personnalité. À croire que la seule chose qu’ils sachent faire, c’est d’être enthousiastes.

Je n’ai pas vraiment fini le livre, pas parce qu’il était mauvais, mais parce que je ne prenais plus de plaisir à le lire au fur et à mesure de ma lecture. Il me blasait rien qu’à l’idée de l’ouvrir. Si les théories sur l’Atlantide restent intéressantes, le reste de l’intrigue est pauvre et cliché, tout comme les personnages et l’écriture. Ça reste un roman très répétitif à lire et où l’on peut vite se lasser. Il est clair que je ne lirai pas les autres livres de cet auteur et même de la série en général, surtout s’ils se révèlent être comme ce premier tome.

Ce livre m'a vraiment marqué.
J'étais dans une période où les horreurs Nazis commençaient réellement à me dégoûter (j'avais lu le Réseau Corneille de Ken Folett avant).Du coup, j'ai eu du mal à le terminer.
Mis à part ce point de vue très personnel, l'histoire est encore une fois très bien tournée. Les personnages principaux sont sympathiques au possible. Je ne me suis pas ennuyée puisque que l'on va de révélations en révélations et qu'il y a de nombreux rebondissements. Un très bon David Gibbins !

J'ai retrouvé avec plaisir le style de l'auteur. Il y a toujours des descriptions complexes de matériel ou de grandes tirades sur l'histoire. J'ai l'impression d'apprendre plein de trucs mais c'est vrai que la plus part du temps, j'oublie presque tout. Mais c'est tout de même très bien écrit et très complet, notamment grâce aux notes de l'auteur, en fin de roman.
Il s'agit ici de la suite du roman "Le Masque de Troie". Autant j'ai eu du mal avec ce dernier tome, autant celui-ci est mieux passé. J'avoue que je sature un peu avec toutes les horreurs commises par les nazis. De ce fait, j'ai eu du mal à me plonger dedans. Mais finalement, je ne le regrette pas. Costa est toujours aussi sympa et amusant.

J'ai moins apprécié ce nouvel épisode des aventures de Jack Howard, j'ai trouvé cela très long....

J'ai beaucoup aimé cette histoire. Dès les premières pages j'ai été plongée dans le mystère de l'Atlantide. J'ai suivi avec plaisirs les découvertes de Jack et de son équipe. J'ai apprécié les nombreux détails scientifiques donnés au fur et à mesure du récit, cela m'a permis d'imaginer plus concrètement la plausibilité de ces découvertes. Autant dire que la description de l'Atlantide donnée dans ce livre m'a faite rêver.
Le style de l'auteur est sympa, l'introduction de "méchants" est faite pour donner un peu plus de rythme au récit - ce qui marche plutôt bien - même si à mon avis cela aurait mérité d'être un plus approfondi.
Les notes de l'auteur à la fin du livre, remettant en perspective les faits réels et ceux inventés, sont très intéressantes. Cela permet bien de prendre du recul sur le récit et de savoir ce qui était réellement plausible dans le récit.

Un premier tome qui nous propose une belle histoire pleine de rebondissements, de suspens et d'histoire du monde. J'en ai beaucoup appris en lisant ce roman. Bien sûr, on ne peut pas tout retenir mais on voit que l'auteur va au fond des choses !
Les notes que David Gibbins laissent en fin de livre sont également particulièrement instructives et nous permettent de démêler le vrai du faux, le réel du fictif.
Jack Howard et son acolyte sont aussi des personnages attachants qu'on a envie de retrouver dans d'autres aventures !

Encore un peu de l'histoire familiale de Jack Howard qui se dévoile. J'aime beaucoup ce personnage et son fidèle partenaire, Costa.
David Gibbins nous emmène une nouvelle fois dans une aventure qui ne manque pas de rebondissements.

JE VEUX LA SUITE !!!! ;-)
Non sérieusement, un livre comme je les aime chez David Gibbins. Je n'ai jamais été déçue avec cet auteur et encore moins avec ce roman. J'ai hâte de découvrir la suite des aventures de Jack et Costa !

Ayant lu « Les bienveillantes » de Jonathan Littell, je n’ai pas eu du mal à lire ce livre. Je comprends les critiques sur la longueur quoique la démonstration soit assez claire. Dans le même genre mais plus « rapide » : Clive Cussler.