François Dermaut
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.03/10Nombre d'évaluations : 101
0 Citations 83 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Assez curieusement, la série est moins convaincante lorsqu'elle se frotte à la grande histoire alors qu'elle avait tout son sens sur le premier album qui se cantonnait au quotidien des petites gens. Peut-être est-ce dû à la difficulté de rendre une figure historique aussi imposante que Henri IV, ou alors cela tient au côté très complexe voire alambiqué des machinations en cours. Reste à voir comment les auteurs vont tenir la distance dans les albums suivants.
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Les deux héros, pourtant habituellement bien prosaïques, font preuve dans ce tome d'une solide naïveté et d'une totale inconséquence. Ils subissent complètement l'action et le lecteur aussi, un peu perdu dans les machinations de l'Archange. Espérons que la barre soit redressée dans la suite.
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Même s'il reste trop bavard (la longueur des bulles au début !!!) c'est un tout bon tome grâce au rôle-titre. Face-de-suie est un superbe personnage multi-facettes plein de verve, d'astuce et de cruauté. Toute l'intrigue repose sur ses petites épaules, car Gunther et Pritz sont une fois encore (ça devient un peu systématique) chaque fois une guerre en retard. L'Archange à quelques errements qui étonnent, mais le dénouement est poignant et intense. Peut-être le meilleur album de la série.
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Un thème intéressant et méconnu, le trafic du sel et sa grande valeur, pour terminer ce cycle consacré à Face-de-suie qui constitue peut-être la meilleure période de la saga. La précision de la reconstitution des décors et des costumes est au rendez-vous, l'histoire comme toujours parfois un peu complexe à suivre tant il y a des allez-retours dans les rebondissements. Mais ce tome n'est pas avare en révélations. Une lecture agréable.
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Changement complet de cadre pour ce sixième tome (dont je m'épargnerai d'épeler le titre...) qui confirme cependant la tendance de "L'or blanc" d'ancrer les péripéties rencontrées par Gunther et Pritz dans des cadres locaux méconnus. Les deux reîtres ont ici fort à faire pour faire face à l'obscurantisme et l'esprit de clocher d'un patelin perdu dans les Alpes suisses. Une histoire angoissante à souhait, parfois un brin longuette, mais une des plus originales de la série. Un bon volume.
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Gunther et Pritz retrouvent ici un cadre plus classique que dans "Tschäggättä" mais Dermaut et Bardet n'en continuent pas moins à explorer l'histoire régionale de France en s'attaquant ici à une anecdote apparemment avérée de l'histoire de la ville de Langres. On retombe dans le conflit entre ligueurs et royalistes et les deux héros sont embarqués dans un complot à multiples tiroirs. L'intrigue est habile et prenante, complexe sans être compliquée. C'est un très bon tome de la série.
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Nous continuons notre petit tour de France avec Gunther et Pritz, une belle visite guidée des paysages et bâtiments d'époque, ainsi que des filles les plus aguichantes... Qui soit dit en passant se font torturer plus qu'à l'envie. L'intrigue est un peu prétexte et embrouillée, on ne comprend jamais vraiment les impacts que peut avoir l'herbe de l'oubli du titre, et les les principaux intervenants ont également l'air d'avoir un peu du mal à le saisir. Le tome reste néanmoins plaisant grâce au contexte et aux rebondissements.
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Un dénouement relatif de ce cycle assez embrouillé et difficile à suivre. Les personnages principaux sont plus spectateurs qu'acteurs de l'intrigue, un défaut récurrent de la série qui vaut surtout par la peinture d'une époque et de très beaux paysages, les personnages souffrant également parfois d'une certaine faiblesse du trait. Ce n'est pas le meilleur des "Chemins de Malefosse."
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Un album trop : trop d'embrouilles alambiquées, trop de rebondissements inattendus, trop de perrsonnages avec des identités secrètes, trop de blagues meta, trop de scènes de cul (je suis toujours un peu surpris par la manière dont Marion se fait violer à tour de bras sans jamais trouver à y redire...) Au moins pour un fois Gunther et Pritz prennent une part active à l'action, mais en dehors des contextes, il n'y a plus de renouvellement. Je pense que c'est ici que je vais quitter le chemin de Malefosse...
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J'ai bien aimé la lecture. Les dessins sont réalistes. L'histoire est bien ficelée. J'ai bien apprécié l'écriture, en effet, tout au long du récit, nous apprenons certains mots de la langue française qui ne sont plus usités et je trouve cela bien enrichissant.
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Glénat : 30 livres
Biographie
Né en 1949, François DERMAUT étudie le dessin à l'Institut Saint-Luc de Tournai. Retoucheur chez Aredit, il publie ses premières bandes dessinées dans les magazines des éditions de Fleurus sous le pseudonyme Franjacq. Il y adapte Oliver Twist en 1974, Les Misérables en 1975, Jacquou le Croquant en 1976 et Colombe la Vilaine en 1977, dans l'hebdomadaire "Djin". Tout en poursuivant ses travaux dans "Fripounet" et "Triolo" , il crée avec Daniel Bardet en 1982 Les Chemins de Malefosse dans "Circus" aux éditions Glénat. En 1985, il écrit et dessine Charlotte et le Trésor des Templiers dans "Okapi". En 1989 il débute Souvenirs de Toussaint sur un scénario de Didier Convard, toujours chez Glénat. Illustrateur, il signe en 2003 Carnets de Saint-Jacques de Compostelle chez Glénat, puis La Route de la Soie chez Phébus en 2005.
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