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Tunnels, tome 2 : Profondeurs
la suite des trois autre tomes
le livre qui clôture l'histoire
donc oui il est à lire
Tunnels, tome 4 : Plus proche
L'histoire continue, Will doit surmonter les drames vécut.
Il continue de descendre toujours plus profond, et fait une nouvelle rencontre, mais qui peut s'avérer dangereuse..
Il découvre aussi un nouveau monde, ignoré de tous depuis fort longtemps..
Tunnels, tome 3 : Chute libre
Tunnels
Tunnels
Tunnels
Ca fait maintenant deux mois que j'ai abandonné ce livre, et je pense que je vais essayer de le relire.
Tunnels
Tunnels
Tunnels, tome 3 : Chute libre
Histoire originale et très intéressante.
Tunnels, tome 2 : Profondeurs
Tunnels, tome 3 : Chute libre
Un monde terrifiant s'ouvre alors à eux. Des araignées géantes et carnivores, de dangereux Lumineux...
Et, pire encore, des jumelles démoniaques qui veulent leur régler leur compte une fois pour toutes.
Tunnels, tome 3 : Chute libre
Will et ses amis sont en Chute libre dans ce troisième tome de Tunnels. L’affrontement avec les Styx les a précipités dans les profondeurs du Pore, mais contre toute attente, leur heure n’est pas encore venue. Un gigantesque champignon les réceptionne au cœur du vide… à l’instar de leurs ennemis.
Il y a beaucoup à dire sur ce tome et, contre toute attente, pas que du mauvais. Si, si, je vous jure ! J’en suis même la première surprise ! D’autant que le roman commençait… Eh bien, aussi mal que le reste. J’ai cru que j’allais mourir d’ennui durant les cent premières pages que l’on passe (littéralement) englué à la surface du champignon, en compagnie d’un Will et d’un Chester plus débiles que jamais.
« Eh, et si on essayait d’envoyer une fusée de détresse vers la surface, où il n’y a que ceux qui veulent notre peau qui sont susceptibles de la voir et de comprendre qu’on a survécu, juste pour vérifier jusqu’où elle peut monter avec la faible gravité ?
— Ouais, cool, lançons-la et ne prenons pas du tout en compte le fait que ton demi-frère vient de crever après avoir reçu trois balles dans le ventre ! »
Car oui, Cal est bien mort. Pour de bon, cette fois. Encore heureux, j’ai envie de dire, parce qu’après nous avoir déjà fait le coup de le « ramener » à la vie, c’aurait été la goutte de trop. Nous pouvons donc lui accorder une minute de silence, en pensant à la place qu’il occupait dans cette saga et dans nos cœurs, et… Non, je déconne, ça fait un boulet en moins.
Rapidement remplacé par… Papa Boulet ! Vous savez quel est le meilleur moyen de rendre un personnage stupide et détestable soudain sensé et supportable ? Améliorer son écriture ? Naaan, ça, c’est surfait ! Le mieux, c’est de lui coller dans les pattes un père encore plus stupide et détestable (coucou Ruby et le tome 2 de The Rain !)
Après une looongue séparation, Will retrouve enfin son père. Et dès l’instant où le scénario les réunit, tout ce que l’on souhaite, ce n’est pas une étreinte affectueuse, mais un bon coup de pioche de la part du fils dans la caboche paternelle. Vu qu’elle n’a pas l’air hyper remplie, ça ne devrait pas avoir trop de mal à rentrer.
Le Dr Burrows est menteur, manipulateur, égoïste, idiot, et je ne suis même pas certaine de pouvoir affirmer qu’il aime Will. Pas autant que ses propres intérêts, son ambition et sa soif de découvertes, en tout cas. C’est bien simple, il ne se rappelle qu’il est un père que lorsque quelqu’un remplit cet office mieux que lui (coucou Drake !)
Le point positif, vous l’aurez compris, c’est que, en comparaison, il a permis à Will de remonter dans mon estime. Car puisque deux abrutis ensemble n’auraient pas pu aller bien loin, il fallait bien qu’il y en ait un qui se dévoue, en l’absence d’autres personnages, pour devenir la tête pensante du groupe. Et c’est donc au garçon qu’échoie ce rôle.
De même, sitôt qu’ils commencent tous à bouger de leur champignon, le récit revêt une bien meilleure dynamique qu’il ne l’a fait jusqu’à présent. Bon, on passe quand même toujours trop de temps à tourner en rond, mais dans l’ensemble, on avance un peu plus que dans les précédents opus.
Pour autant, je ne suis pas fan des multiples rebondissements de ce tome. Les bateaux coincés dans les entrailles de la Terre… Mouais, à la limite, pourquoi pas ? Mais le bunker ? Bâti au temps de la guerre froide ? Comment est-ce qu’on a pu bâtir un bunker à cette profondeur, et ne jamais découvrir / détruire la colonie ? Comment une telle installation a même pu être ne serait-ce que possible, à cette époque ?
Et je ne parle pas du fleuve souterrain que les protagonistes remontent jusqu’à la surface pour déboucher à… quoi ? Quelques dizaines de kilomètres de leur point de départ ? Alors qu’ils se trouvaient à mi-chemin (voire plus) du centre de la Terre ? Ils ont fait quoi, une ascension verticale avec un hors-bord ? Chapeau, vraiment…
M’enfin, ça, ce sont des reproches secondaires en comparaison de ma plus grosse déception. Dans ma dernière chronique, j’avais écrit que le seul élément à m’intriguer un tant soit peu, c’était l’énigmatique civilisation antique pistée par le Dr Burrows, or j’aurais mieux fait de me casser le clavier.
D’abord parce que les vestiges qui défilent dans ces pages sont essentiellement ceux de la guerre froide plutôt que ceux d’un peuple ancestral, et surtout parce que quand, enfin, le fameux jardin du deuxième soleil revient au centre de l’histoire…
Voilà. Il n’y a pas grand-chose à en dire, et l’ultime coup de théâtre m’effraye beaucoup. Dans l’ensemble, cette dimension mi-cité perdue mi-technologie plus avancée me rappelle désagréablement L’énigme John Foggart : Expédition au-delà du cercle polaire (César Mallorquí), que j’avais beaucoup apprécié jusqu’à ce que le récit vire au délire futurico-steampunk, me gâchant alors tout le plaisir.
C’est donc avec un sentiment très mitigé que j’ai achevé ma lecture, mais il reste plus positif que l’opinion que j’avais de Tunnels jusqu’ici. Le mot « calvaire » serait un euphémisme pour décrire ce que m’ont inspiré les deux premiers volumes, et c’est avec un peu moins de réticence (je n’irais pas non plus jusqu’à parler d’enthousiasme) que je poursuivrai cette aventure souterraine.
Tunnels, tome 3 : Chute libre
Tunnels
Après avoir retrouvé Chester, Cal, Will et lui font route vers les Profondeurs dans ce deuxième tome de Tunnels, tandis que les Styx, menés par Rebecca, planifient une opération de grande envergure à la surface.
On prend les mêmes défauts et on recommence… en pire ! Maintenant que Tam n’est plus là (mais n’est-il vraiment plus là ? J’y reviendrai plus bas), il ne nous reste que la joyeuse bande des Boulets, dotés de la capacité de réflexion et du bon sens d’un concombre sans -bre.
Will, Cal et Chester sont toujours aussi stupides, toujours aussi incompétents, toujours aussi immatures que c’en est au-delà du pathétique. Ils sont perdus au milieu de nulle part, avec des provisions limitées, et des dangers et des ennemis partout, mais ils se prennent la tête pour des broutilles, et agissent avant de réfléchir (quand ils réfléchissent).
Si encore ils apprenaient de leurs erreurs et de leur bêtise, ce serait pertinent, mais non, ils ont beau avoir atteint les Profondeurs, ils creusent encore (au sens figuré), et ne doivent leur survie qu’aux nouveaux venus.
Vous allez me dire, mais du coup, les nouveaux venus, ils s’en sortent un peu mieux ? Et oui, Drake est en quelque sort le Tam de ce tome, quelqu’un de débrouillard, qui sait ce qu’il fait et comment le faire. Elliott… Elliott, j’aurais pu lui adresser le même compliment, mais elle a fini par m’agacer.
Elle est toujours énervée, ne répond jamais aux questions qu’on lui pose, et commet elle aussi son lot d’erreurs grossières. Néanmoins, celle qui remporte la palme à ce niveau, c’est Sarah. Oui, on fait enfin la connaissance de Maman Boulet, et inutile de chercher plus loin de qui ses enfants tiennent…
Bon, à sa décharge, elle se demande elle-même comment elle a pu survivre aussi longtemps à la surface, une question qui ne m’a pas quittée tout du long, tellement elle est idiote et crédule. À côté d’elle, Mme Burrows prend des airs de Sherlock Holmes en puissance (et je pèse mes mots, c’est ironiquement, à l’exception de Drake, le personnage le plus lucide de ce tome). C’est dire…
Et pour en revenir à Tam… Eh bien, a-t-il vraiment trépassé ? Non, parce qu’au niveau des morts mais en fait non, ce livre arrive à rivaliser avec Le pays du soleil rouge, et ce n’est pas un mince exploit ! Dommage que ce ne soit pas non plus un compliment.
Je mentirais en prétendant que les différents pseudo-décès m’ont inspiré la moindre tristesse, mais quand en plus ces personnages que j’affectionne teeellement se sont révélés bien vivants… Sérieusement ? Ça n’a fait que donner un grand coup de pioche supplémentaire à la crédibilité du récit. Et surtout, ça apportait quoi ?
Pardon… Le roman entier apporte quoi ? Pour reprendre les propos de ma première chronique, on s’attarde sur les aspects les plus inintéressants alors que ceux qui pourraient se révéler un tant soit peu passionnants sont survolés.
Je pense notamment au Dr Burrows et à ses découvertes, c’est-à-dire le seul pan de l’œuvre qui a su m’intriguer. Voilà ce que je veux ! Des Coprolithes, des civilisations antiques, du mystère, du pourquoi, du comment, de la mythologie, de l’Histoire avec un grand H (même fictive)… Sauf qu’on en a quoi ? Quatre chapitres, cinq ?
Les quatre cent cinquante autres pages, on les passe à courir dans les Profondeurs dans un sens, puis dans l’autre. Et qu’est-ce qu’on en apprend, concrètement ? Euh… Y a des espèces disparues. Qui sont très grosses. Soient des informations hautement captivantes, surtout quand on a lu Voyage au centre de la Terre quelques mois plus tôt.
Et pourtant, ce ne sont pas les descriptions qui manquent. Des descriptions que je trouve toujours aussi confuses, peut-être parce que je les lis en diagonale, toujours aussi creuses, toujours assommantes. Voilà comment je résumerais Tunnels : plein de vide. Des paragraphes vides, des personnages vides…
À moins que ce ne soit tout simplement moi qui ne décèle pas dans cette saga ce que j’aspire à y déceler, comme lors de ma lecture de la trilogie canonique d’Alien. J’imagine que cela joue sur mon ressenti, sans pour autant en être l’unique cause.
J’ai la série complète dans ma PAL, mais bien qu’une part de moi souhaite en apprendre davantage sur l’énigmatique civilisation découverte par le Dr Burrows, la perspective de devoir endurer encore quatre centaines de pages barbantes pour que seule une dizaine se révèlent intéressantes me rebute. Je continuerai très probablement, parce que c’est ce que je fais à chaque fois, mais vraiment, je ne suis pas motivée.
Tunnels, tome 2 : Profondeurs