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Plonger dans les pages de "May et Chance" de Jim Fergus, c'est s'immerger dans une épopée envoûtante à travers les vastes étendues sauvages de l'Ouest américain au 19ᵉ siècle. L'histoire de May Dodd, l'héroïne de la trilogie "Mille femmes blanches", se dévoile dans ce dernier tome avec une intensité captivante.
Wyoming, 1876. Le récit débute avec une phrase aussi percutante que mystérieuse : "Être décédée présente certains avantages", nous plongeant instantanément dans le monde intrigant de May Dodd. Son journal intime reprend, et avec lui, les souvenirs d'une vie tumultueuse. May, que tous croyaient morte, a survécu à l'asile d'aliénés où sa famille l'avait enfermée, et à sa fuite désespérée dans le désert, qui l'a conduite à un mariage inattendu avec un puissant chef cheyenne.
Ce roman nous entraîne alors dans le sillage de May et Chance, dans leur quête pour retrouver ses enfants, dont elle a été séparée. Le périple les mène à Chicago, où le monde des Blancs les attend avec ses défis et ses dangers, incarnés notamment par la figure emblématique de Buffalo Bill.
Je me suis retrouvée happée par l'écriture de Jim Fergus, qui nous transporte magistralement à travers des paysages à couper le souffle, des plaines arides aux forêts verdoyantes. La prose de l'auteur nous plonge au cœur des massacres et des injustices subies par les natifs américains, nous confrontant à l'ampleur tragique du génocide orchestré à leur encontre.
Malgré le fait que ce soit le dernier tome d'une trilogie, ce qui m'a parfois laissée un peu perdue quant aux références des événements passés, cela n'a en rien entaché mon plaisir de lecture. Au contraire, j'ai été profondément touchée par l'histoire poignante de May et Chance, deux personnages remarquables aux destins entrelacés, dont le parcours hors du commun m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page.
En conclusion, "May et Chance" est bien plus qu'un récit sur l'Ouest américain et la tragédie des peuples autochtones. C'est une histoire de vie et de mort, d'amour et de courage, portée par une belle plume qui nous laisse le cœur rempli d'émotions et le souvenir indélébile de cette épopée inoubliable.
May et Chance
l'histoire ressemble au tome précédent
La Vengeance des mères
May et Chance
Les Amazones
La Vengeance des mères
Nous retrouvons ces femmes blanches "recrutées" dans les hôpitaux psychiatriques, les prisons, par le gouvernement américain afin de favoriser les relations avec les indiens Cheyennes.
Elles ont fait souche et pris fait et cause pour leurs maris, en véritables machines de guerre, contre leur ancienne nation.
Portraits de femmes libres et fortes, qui n'ont rien à perdre.
Les Amazones
Ce tome 2 fait mention du massacre et des suites qui ont eu lieu malgré l'accord entre gouvernement et indiens.
Il reste peu de ces 1000 femmes. Des carnet de récit viennent nous raconter l'histoire.
Si l'introduction m'enchantait beaucoup, j'ai moins accroché sur l'écriture présente dans les carnets. Pas au point ceci dit de laisser tomber l'ouvrage qui attise beaucoup la curiosité.
Beaucoup aimé dans l'ensemble, dépaysement garanti. Je recommande toutefois de passer par le premier tome avant pour mieux profiter de celui-ci.
La Vengeance des mères
Les Amazones
La Vengeance des mères
Mille femmes blanches
Cette nouvelle génération de femmes est tout aussi touchante et inspirante que la première, en particulier Molly et Pretty Nose. J'ai trouvé l'évolution des jumelles, de Phemie et de Martha très bien menée.
La Vengeance des mères
J'ai ri, espéré, pleuré, eu peur et aimé avec May, qui est une superbe héroïne. Elle et ses amies resteront longtemps dans ma mémoire !
Mille femmes blanches
Souvenir de l'amour, c'est avant tout un hommage à la défunte épouse de Jim Fergus, Mary, décédée d'un cancer il y a plusieurs années et qui, un jour, est tombée amoureuse d'un tableau nommé 'Orgie' de Chrysis Jungbluth, découvert en France chez un antiquaire. Une toile qui lui aura offerte et qui a non seulement un intérêt sentimental mais qui exprime beaucoup plus que cela. Il se décide alors à faire des recherches sur la fameuse peintre, un travail de terrain, à aller à la rencontre de certaines personnes et c'est ainsi qu'est née cette fiction, bien qu'il y ait des éléments, événements véridiques. Pour le reste, il a imaginé la vie de cette femme et l'histoire de ce tableau, a ajouté un autre protagoniste masculin et a su jouer avec ses références habituelles.
Nous suivons donc deux personnages principaux. Au début, chacun séparément, jusqu'à leur rencontre. D'un côté, il y a Gabrielle Jungblunth _ dites Chrysis, une jeune femme, fille de militaire conservateur, qui a un grand talent pour le dessin et la peinture, pour l'art en général. Elle prend des cours auprès d'un professeur, se libère des carcans de la société et de la place de la femme, découvre la sexualité et ses plaisirs, fait de folles expériences et des rencontres qui changent une vie. D'un autre côté, nous avons Bogart Lambert _ dit Bogey, un jeune américain, parti avec son cheval en France pour combattre pendant la Première Guerre Mondiale dans la Légion étrangère, en tant que coursier. Ce cowboy aura fait forte impression aux deux camps pendant ces quatre années de guerre. Après la guerre, grièvement blessé, il mettra du temps à se remettre, continuera de pratiquer la boxe parfois, fera différents petits boulots (serveur, barman, videur) et il est aussi écrivain pour lui-même. C'est au détour d'un café, et d'un seul regard, que ce fut le coup de foudre pour Juliette et un peu plus tard pour lui. Le premier amour l'un de l'autre !
Je suis vraiment très surprise d'avoir autant apprécié ma lecture. Effectivement, elle me sort de ma zone de confort, parce que même s'il y a des faits historiques et que cela s'est passé dans les années 20, on est plus sur un contemporain. Je dois dire que c'est plus les parties sur Bogart qui m'intéressait, sa vie ayant été bien mouvementée et je l'ai trouvé fascinant. C'est de lui dont je suis le plus proche. Il faut dire que je ne maîtrise pas vraiment le monde de l'art et que les découvertes de Juliette ne m'ont pas hypé même si j'ai apprécié voir une femme s'émanciper. Plus que tout, j'ai aimé retrouver le style de l'auteur dans son écriture. Avec Bogart, cowboy, son cheval Crazy Horse... j'avais ce petit côté typiquement américain, cher à Jim Fergus et bien sûr, cela m'a rappelé Mille femmes blanches. Et à ma grande surprise, il a même inséré un personnage en lien avec cette saga que j'aime tant : le fils de May et Chance (du roman bonus May & Chance) devient l'ami de Bogart ! J'ai deviné tout de suite à la mention du Wild West Show, de ses parents établis en Camargue. Pas de doute possible et j'ai trop aimé ce clin d’œil ! C'est aussi un très bon roman d'amour, mais un amour impossible, dont je connaissais la finalité longtemps à l'avance et un roman aussi très émouvant par certains côtés, j'ai aussi versé quelques petites larmes par moment. J'ai lu un roman plein de couleurs, d'expériences, de diversité, de rencontres !
En bref, une agréable surprise ! Je ne pensais pas que j'allais l'apprécier autant ! Cela me change de ce que je lis d'habitude, on est quasiment sur une biographie, quoique principalement fictive, mais qui a du sens. J'ai aimé suivre ces deux destins qui se rejoignent à un moment pour finir par s'éloigner. Ce fut le choc des cultures et j'ai aimé toutes les références à MFB. Une jolie lecture !
Chrysis
L’histoire de la fille sauvage « la Nina Bronca » est vrai, même si l’auteur avoue ne pas savoir ce qu’elle est devenu. J’ai été bouleversé par son calvaire, le fait d’être emprisonné et d’être observé par la population comme un animal sauvage.
Les personnages sont tout de même attachant, mais il manquait un côté réalité, un récit peu profond par rapport aux « mille femmes blanches ».
Je suis donc déçu comme vous pouvez le constater.
Je lirais d’autres romans de cet auteur puisque ma pal en est submergé…
Bonne lecture !
La fille sauvage
Marie-Blanche