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Kanoko Sakurakouji

Auteur

1 570 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

Biographie

Kanoko Sakurakouji débute sa carrière avec Raibu ga hanetara, publié dans le magazine Deluxe Bessatsu Shojo Comic 2000. Depuis, elle a créé de nombreux shôjo édités dans les magazines Betsucomi et Deluxe Betsucomi.

2002 - Suzu-chan no Neko (2 volumes) Shogakukan

2002 - Sono Hakui wo Nuide (1 volume) Shogakukan

2003 - Gokko (1 volume) Shogakukan

2003 - Baby, Star (1 volume) Shogakukan

2004 - Yasashii Te (1 volume) Shogakukan

2004 - Gakuyaura Ouji (1 volume) Shogakukan

2004 - Rakuen (1 volume) Shogakukan

2005 - Yurusarete Inai Watashitachi (1 volume) Shogakukan

2006 - Eikoku Kizoku Goyoutashi (1 volume) Shogakukan

2006 - Kiwametsuke Gakuyaura Ouji (2 volumes) Shogakukan

2006 - Ousama no Shichiya (1 volume) Shogakukan

2007 - En cours – Black Bird - Shogakukan

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Quelques chiffres

Note moyenne : 8.12/10
Nombre d'évaluations : 2 442

0 Citations 925 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Kanoko Sakurakouji

Sortie France/Français : 2020-11-04

Sortie Japon/日本語 : 2020-02-26

Les derniers commentaires sur ses livres

La Courtisane d'Edo, Tome 3

J'avais lu les deux premiers tomes, il y a un bout de temps et dans mes souvenirs, c'était mieux (ou alors c'est la suite, qui est bof). Bon, je sais que je lis un shojo, mais le protagoniste masculin n'est vraiment pas terrible, je ne comprends pas l'intérêt qu'il pourrait susciter auprès de notre héroïne (ni pourquoi il lui porte de l'intérêt, il a l'air accro dès les premières pages). Enfin auprès des lecteurs, si : l'amour interdit (oooh ! :roll: ). Sa personnalité est merdique. Et elle, bien qu'on comprenne ses motivations par rapport à ses parents : elles sont ri-di-cules. Le monde de la prostitution lui ouvrirait des portes pense-t-elle... sure..., pas celles qu'elle croit. Elle y va au petit bonheur la chance sans aucun plan. Heureusement que des recherches sont menées ailleurs par des personnes plus compétentes (hum) - elle est du coup hyper passive. Elle ne fait rien, elle n'utilise pas sa position (ouais, qui est pas terrible depuis le début, faut pas s'étonner si elle trouve que dalle)... J'en demande trop pour un petit shojo, mais avec un thème pareil aussi, et le fait qu'il prend des allures de josei n'aide pas...

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La Courtisane d'Edo, tome 1

Un peu mitigé, ce premier tome n'est pas très convaincant.

Je ne sais pas si j'ai mis un peu trop d'espoir et d'attente dans ma lecture.

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La Courtisane d'Edo, tome 4

Dans ce tome, il y a beaucoup de « Tu me fuis, je te suis ; tu me suis, je te fuis » fort fatiguant. Leurs émotions débordent de tous les chapitres, c’est difficile de se concentrer sur l’intrigue. Mais, le rebondissement final, était tristement prévisible.

Spoiler(cliquez pour révéler)Mais quelle idée de leur souhaiter tout le bonheur du monde ?! Tu les jinx, là…

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La Courtisane d'Edo, tome 5

Étant donné le tome précédent, on pourrait croire qu’Akane a le droit de faire son deuil, mais non, revoilà, le trouble fête qui lui dit tellement de choses déplacées que la claque était bien méritée. Mais ce qu’il lui a dit lui à si bien remis les idées en place, qu’elle refuse de le revoir (enfin !) – il s’acharne, savez-vous : parce qu’évidemment, elle le quitte avec une déclaration d’amour, alors bon… Ce qui m’agace, c’est oh comme ça tombe bien, alors après tout ce qu’elle fait de son côté (pour une fois que l’héroïne se remue les fesses), on l’oblige à se remettre avec, sous peine de ne pas pouvoir avoir de nouveaux alliés. Ouais.

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La Courtisane d'Edo, tome 6

L’intrigue plot avance bien, bizarrement, dans ce tome. Maintenant ce n’est pas difficile de comprendre qu’il va y avoir un nouvel obstacle, car ça va trop vite, trop facilement, trop bien. Mes passages préférés étaient la révélation de la première rencontre de nos protagonistes, même si pour être honnête : c’est très cliché le « en-vrai-je-te-connais-depuis-plus-longtemps-mais-toi-tu-ne-savais-pas-qui-j’-étais », mais je suis vraiment fan de ça. Mais surtout la relation entre Riitchi et Yukari (héhé) - son implication à elle que j’attendais tant, arrive enfin. On a droit à son passé, à son dilemme, etc. et ça fend le cœur.

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La Courtisane d'Edo, tome 7

Tadam : revirement prévisible annoncé du tome 6. Akane est « rassurée », plutôt que d’être déçue ou angoissée. Pourtant qui réagirait ainsi, alors qu’ils retournent à la case départ ? Eh bien, elle est rassurée, car cela veut dire qu’elle ne quitte pas encore l’autre… Ben voyons… Merci pour ce personnage superficiel ridicule. En parlant de perso, nous en voyons un arriver : le docteur tellement louche, c’est tellement gros qu’on sait dire qu’il sera un allié. Et puis, bien sûr, trop beau pour être un antagoniste de passage… NB : la palme de la plus dégueulasse des phrases à dire pour réconforter quelqu’un en détresse revient à Sôsuke, que je cite : « Désolé… Pardonne-moi… Et sèche ces larmes… Te voir pleurer comme ça… ça va finir… par m’exciter. ». Oui, à la hauteur de la répugnance qu’il m’inspire.

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La Courtisane d'Edo, Tome 8

Ce tome-ci a l’air d’être un filler. Et le thème du filler ici : Spoiler(cliquez pour révéler)kidnapping, mais vite résolu, pas de stress ! C’est juste pour laisser Akane briller à son tour. Franchement, assez maladroit et tellement peu crédible, il y a des anachronismes épuisants. La deuxième partie, met en scène le retour de l’ancien prétendant. Pfff. Point positif que je n’ai pas mentionné avant : j’adore les petits bonus de l’auteur, à chaque fin de chapitre, où c’est justement un regard humoristique jeté sur une des scènes de celui-ci.

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La Courtisane d'Edo, tome 9

Les personnages secondaires tiennent à eux seuls, toute la série sur leurs épaules, car c’est vraiment eux les plus intéressants ! La relation de Yukari s’approfondit, en quelque sorte… Et on découvre enfin qui est la grande sœur de Sôsuke… Pas trop tôt, mais je m’en doutais un peu. Donc pas très surprise, excepté que c’est un peu fort… ses raisons pour rester cachée… On a envie de la secouer. Et lui aussi.

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La Courtisane d'Edo, tome 10

Bon ce tome est rushé à mort…Spoiler(cliquez pour révéler)Le grand méchant est forcé de se tuer, pour déshonneur… Tout ce grand suspens, pour être fini en deux coups de cuillères à pot ? Et tout le reste est assez nul : Yukari – plus de nouvelles ? Sa relation Spoiler(cliquez pour révéler)avec Riitchi est au point mort. La sœur, va partir, et quoi ? Son frère n’est pas encore au courant, de qui elle est, et pour lui, elle n’épouse pas l’homme qu’elle aime, mais un type qui vient de loin pour partir loin de son frère qui est un ami de cet amour… mais c’est se rendre délibérément malheureuse, ça ! Et pourquoi ? Par fierté ? Beurk. Akane, qui n'est pas plus fute-fute, organise son mariage avec Spoiler(cliquez pour révéler)le Docteur (genre, pourquoi pas son ancien amour, alors ?) – son plan, c’est d’ainsi se marier et de réhabiliter le nom de sa famille, ils se laisseraient champ libre à condition qu’elle puisse coucher une fois et faire un enfant avec celui qu’elle aime vraiment. Genre, la fille, elle croit quoi ? Qu’on tombe enceinte directe ? Bien sûr, ça peut arriver, mais rien ne dit que ça va bien arriver en une seule fois. Et alors, le pompon : le stratagème pour qu’ils se rencontrent ? Un message comme quoi il doit aller chercher un chat abandonné dans une auberge. Il arrive, il la voit, un ange passe et elle nous fait « Miaou » ? C'est même pas drôle, c'est frustrant ! Je suis tellement embarrassée pour elle ! Mais mon dieu, heureusement le ridicule ne tue pas, quoi. Quoique, dommage, on aurait pu éviter la scène de sexe « meh » après.

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La Courtisane d'Edo, tome 11

On commence avec des propos bien cringe, où elle parle de sa virginité, de cette cicatrice pour garder un souvenir de lui (brrr, encore un peu, elle va refuser de se laver pour garder son odeur…). On voit bien le genre : une nuit de sexe pour toute une vie de regrets… J’ai horreur de cette trope : autant ne pas céder à la tentation alors… Mais paf, un twist (j’aurais dû m’en douter) : Spoiler(cliquez pour révéler)ce n’était pas le boss final qui s’est tué… Donc, nouvel espoir, il pourrait épouser Akane, si son nom n’est pas réhabilité ! Et ça me saoule ! L’amour interdit, ça va bien deux secondes, pas besoin de longueur dessus, on a compris merci. De plus, que lui pense ça, normal ; elle, par contre, y pense beaucoup trop… Elle ne devrait penser plus à ses parents morts, sa famille, son nom et son honneur – après s’inquiéter du reste. Et puis, nouveau retournement de situation délirant et totalement prévisible (m’en doutais depuis qu’une remarque nous a fait penser à un traître et qu’on ne le cherche pas plus que ça, après avoir soupçonné quelqu’un à tort) : le méchant était Spoiler(cliquez pour révéler)son amour de jeunesse. Avec qui elle est prête à presque coucher pour voir une tache de naissance en forme de lune. Nouvelle déception, donc, apparemment, maintenant, on revient à la facilité ? la trope nulle Spoiler(cliquez pour révéler): faire en sorte que le rival soit si méprisable que le lecteur a zéro pitié ? Enfin, au moins, il est resté digne et pareil à lui-même jusqu’à la fin.

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Dédicaces de Kanoko Sakurakouji
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Editeurs

Pika : 63 livres

Shogakukan : 53 livres

Viz Media : 20 livres

Egmont Manga + Anime Gmbh : 1 livre

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