Manon Elisabeth D'Ombremont
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Note moyenne : 7.43/10Nombre d'évaluations : 103
0 Citations 104 Commentaires sur ses livres
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- M. d'Ombremont
Les derniers commentaires sur ses livres
Une très bonne découverte que ce livre, très rafraîchissant par son originalité. J'ai pris un grand plaisir à le lire. La fin est frustrante, mais on pardonne à l'auteur, avec le bonus qu'on a après et qui est tout aussi bien que le reste du livre.
Afficher en entierChronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2020/08/20/clement-coudpel-contre-les-spectres-de-samain/
Extrait :
On suit Clément Coudpel, un ado de 13 ans, qui a choisit de renier son héritage afin de vivre normal, comme tout les humains. Malheureusement pour lui, il n’est pas humain, mais un Macrale, et les autres Macrales (sauf sa sœur) voient en cette décision une rébellion à étouffer, car il s’agit d’une tradition à laquelle personne n’échappe. Malgré toute la pression qu’il y a contre sa décision, il continue son bout de chemin comme un humain, jusqu’au jour où sa sœur disparaît subitement suite à un « accident » à son université.
A partir de là, tout s’enchaîne, les révélations, les mensonges, les manipulations tout cela fait que Clément fini par détruire son sceau afin de sauver sa sœur, chose que souhaitait plus que tout une certaine personne qui s’attirera alors les foudres de la famille Coudpel. Cette personne est d’un esprit tellement tordu, je n’avais jamais lu ça ! Très franchement, une personne bien plus insupportable que la tête de mule d’ancêtre fantôme…
Afficher en entierUn roman parfait pour la période d’Halloween : un protagoniste qui renie ses pouvoirs, mais qui va devoir trouver une solution pour vaincre les monstres de Samain alors que sa sœur a disparu, une collection de personnages plus originaux les uns que les autres, des retournements de situation improbables, de nombreuses références aux univers du manga et du gaming, avec une touche d’humour noir bien dosée, ce roman a tout pour plaire !
En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2020/08/29/clement-coudpel-contre-les-spectres-de-samain/
Afficher en entier"...Clément Coudpel, jeune adolescent de 13 ans serait l'un de ses gardiens si sa sœur Camille n'avait fait poser un tatouage magique alors qu'il n'était qu'un enfant sur son avant-bras. Ce sceau magique le protège de la magie qui l' entoure. Effectivement, depuis la mort de leur mère, lors d'une nuit de Samain, c'est Camille qui protège l'une des portes. Camille fait tout pour que son jeune frère Clément ne devienne pas un macrale,..."
http://luniversdulfin.over-blog.com/2020/09/clement-coudpel.html
Afficher en entierhttps://surlesailesdunlivre.forumactif.com/t2291-clement-coudpel-contre-les-spectres-de-samain-de-manon-elisabeth-d-ombremont#19862
Tout d’abord je tiens à remercier vivement " Livr’s éditions " pour ce nouveau service-presse, leur confiance et leur gentillesse.
J’ai été avant tout attirée par le titre du livre, car il faut bien l’avouer, le personnage principal a un nom de famille plutôt rigolo, non?
Dès les premières pages je me suis retrouvée projetée dans un monde où je le reconnais, j’étais totalement perdue.
Les premiers chapitres ont été très déstabilisant pour moi.
Mais n’étant pas du genre à baisser les bras j’ai poursuivi ma lecture, et bien m’en a prit.
Au fur et à mesure du déroulement de l’histoire, tout se met en place et j’ai trouvé les réponses à toutes mes interrogations.
Le héros, le jeune Clément Coudpel, est âgé de seulement 13 ans.
Il a peu d’amis et vous comprendrez très vite pourquoi, hors de question pour moi de vous dévoiler ses secrets, ce sera à votre tour de les découvrir.
Je peux toutefois vous chuchoter que Clément doit retrouver Camille, sa grande sœur disparue. Elle est sa seule famille.
Il sera aidé pour cela de son meilleur ami Takeshi et quelques autres individus avec lesquels je vous laisse faire connaissance.
Pourtant tout ne va pas se dérouler comme prévu, vous le pensez bien.
J’ajoute tout de même qu’ici règne la magie.
Des êtres étranges, si si très bizarres même je vous assure, mais très plaisants également ( un petit coup de cœur pour Coudmou) seront de la partie.
Avec ce livre j’ai retrouvé mon âme d’enfant.
En cela je remercie l’auteur.
Je me dois de préciser toutefois qu’il est tout de même plus destiné à un lectorat jeune, car ici le monde des mangas et des jeux vidéos est très présent. ( je remercie mes enfants d’ailleurs, grâce à eux je n’ai pas été noyée dans tous ces termes de geeks et de mangas).
Cet univers n’étant absolument pas le mien, cela explique que j’ai parfois eu un peu de mal à ne pas décrocher.
Mais j’ai réellement pris beaucoup de plaisir avec cette histoire, comme quoi sortir de sa zone de confort peut être parfois très bénéfique.
Un bon moment de lectureque je conseille à tous les amateurs de Mangas.
Afficher en entierJ'ai entendu le résumé à de nombreuses reprises durant le salon les aventuriales. Plus je l'entendais, et plus j'avais envie de savoir ce qu'était un Macrale. J'avais également envie de rencontrer Coudmou, ce vers avec des yeux "si doux"...
Eh bien, cela n'a pas loupé. J'ai accroché dès le début et j'ai aimé chaque page.
L'autrice écrit avec justesse la personnalité de ses personnages. Clément et ses joies de l'adolescence Geek, Clément et ses tourments, Clément et son rejet du Chemin.
Camille et sa cape de superhéroïne, Camille et la pression insupportable qui repose sur ses épaules, Camille et ses fêlures.
Il en est de même pour chaque personnage, vous allez les découvrir et aimer leurs qualités, mais surtout leurs imperfections.
Et puis les relations entre personnages sont justes extra Clément/Takeshi, Camille/Thomas, la fratrie/l'oupyr, etc...
Enfin bref, j'ai adoré. C'est un coup de cœur.
Merci M. d'Ombremont - OmbreBones !
Un livre de Livr'S Éditions.
« Clément Coudpel porte un nom de famille un peu étrange, il l’admet. En dehors de ça, il se considère comme n’importe quel garçon de treize ans : il aime les mangas, les jeux vidéo et trainer avec son meilleur ami, Takeshi, dans leur petit village liégeois. Ce qu’il veut dans la vie ? Aucune idée ! Mais une chose est sûre, il n’embrassera pas la malédiction familiale. La magie, les cimetières, les macrales, les fantômes, très peu pour lui. Et toute la pression qu’il subit au quotidien n’y changera rien, peu importe à quel point ses détracteurs vont loin. Il laisse ça à son aînée, Camille, qui s’en sort comme une cheffe. Sauf que quand cette dernière disparait à quelques jours de Samain, Clément craint de ne plus avoir le choix… »
https://www.livrs-editions.com/boutique/fantastique/clement-coudpel-contre-les-spectres-de-samain/
Afficher en entierAu début j'avoue avoir été assez mitigée sur ce roman. Finalement après quelques chapitres j'ai accroché ! Ce n'est pas un coup de cœur mais un chouette roman qui nous transporte en enfance
Afficher en entierPar bien des aspects, Bratva s’apparente bien plus selon moi à une longue nouvelle qu’à un court roman. Peu de personnages, pas d’intrigues secondaires, juste ce fragment de vie où l’on s’immisce dans la peau de Rayna, tueuse sadique au service d’une famille mafieuse de Saint-Pétersbourg. Un Saint-Pétersbourg qui n’est rien d’autre qu’un décor de papier mâché, car l’essentiel n’est pas là.
Non, me voilà en réalité plongée quelques années en arrière, devant un plaisir coupable d'adolescente fantasmant devant Requiem for a Dream.
Gore, cru, cynique, et avec la trame sur le second plan, je suis face à un véritable travail de funambule pour ne pas sombrer dans le pathos à la moindre image de trop. Ce roman, je l’ai lu d'une traite en ressortant ma playlist gothico-emo, et ça a marché.
Arrivant à la fin, j’ai bien cru que Bratva proposerait un rebondissement, un retournement de situation, mais non. Et vous savez quoi ? Ce n’est pas plus mal. Un peu comme une allumette qu’on gratte : elle se consume jusqu’à la fin, sans se terminer sur un feu d’artifice.
Un vrai roman noir, qui parlera à votre ado intérieur, mal dans sa peau, une dent contre la société et se questionnant sur l’amour.
Afficher en entierLu la version parue chez Lancelot Editions qui ont lancé cette autrice. J'aimais mieux la couv de cette édition plutôt que la réédition. mais bon, cela reste subjectif. Par contre, pour l'histoire, je n'ai pas trop accroché. Ni au fond ni à la forme. J'ai donc décroché. Pas pour moi.
Afficher en entierÀ peu près chaque année, Livr’S Éditions lance un appel à texte pour une anthologie sur un thème bien précis et un genre. Nouvelles du front regroupe une série de récits sur la guerre qu’elle soit historique, imaginaire ou futuriste sous une influence fantastique. Ce dernier aspect y apparaît de manière parfois ténue, soit plus palpable. Cependant, aucune nouvelle n’offre de batailles où les sortilèges volent à tout va. La magie s’infiltre plus subtilement, plus intelligemment que le sujet aurait pu supposer. Entre légendes, créatures et croyances, les visions sur la guerre sont multiples. Tour à tour sont exposés l’absurdité, les raisons, l’horreur, la jouissance des vainqueurs dont le pouvoir leur offre un sentiment d’impunité, les impacts psychologiques et la place de la femme dans ce monde longtemps dominé par les hommes.
Pour une fois, je vais partager un top 4, car l’une des nouvelles m’a procuré un sentiment…étrange. Si vous me suivez depuis un moment, vous verrez qu’en lisant le nom des autrices, il n’y a pas de surprises. La guerre ne faisant pas partie de mes sujets de prédilections, j’ai acheté Nouvelles du front principalement parce qu’elles y avaient participé. Comme d’habitude, je les cite dans l’ordre de parution dans le livre.
Dans le noir de Silène Edgard
Un soldat reste sur place abandonné dans la nuit par ses frères d’armes, non par lâcheté ou par blessure, mais parce que la malchance lui a fait poser le pied sur une mine antipersonnel qui explosera lorsqu’il bougera. Dans sa tourmente, il voit défiler son père, son frère, son fils inexistant et une certaine Michelle.
Entre hallucination, espoir et angoisse ce texte est prenant, déboussolant. Il défend des valeurs de paix, dénonce la bêtise humaine qui produit de bons petits soldats, et l’horreur.
Il s’agit du récit qui me laisse un sentiment étrange. Dès le départ, Silène Edgar le dédie à Boris Vian. Cet hommage rappelle le style et la rêverie de l’auteur au point qu’il a fait écho en moi alors que j’ai lu l’Écume des Jours il y a quasiment deux décennies ! C’est dire à quel point l’analyse de cet écrivain m’a marquée. Du coup, je n’arrive pas à dire si j’ai aimé ma lecture pour le texte en lui-même ou par la nostalgie qu’il m’a procuré et cet effet reflet. Je pense que je n’ai pas besoin de trancher. J’ai ressenti quelque chose d’unique grâce à un lien entre présent et passé et c’est suffisant. Je remettrais peut-être du Boris Vian dans ma pal. Ce serait l’occasion de relire ce romancier avec l’esprit de l’adulte que je suis devenue et de le confronter à l’avis de l’adolescente que j’étais.
La muraille de morts de Katia Goriatchkine
Brian Addison rejoint la retraite de Dale Fernsby, un héros de la guerre du Vietnam. Il le convainc de lui livrer la vérité sur cette pension précoce qui a déjà fait les gros titres des journaux. En compagnie de son équipe, nous plongeons dans la jungle qui recèle bien des secrets. Relatant les pratiques peu reluisantes de l’armée américaine tel le Body Count, Dale expose les méfaits que lui et ses soldats ont commis. La découverte d’un village au fin fond de la forêt va bousculer ses croyances et son esprit.
J’ai adoré l’habilité de l’autrice a utilisé les traumatismes de guerre. Elle développe un message fort dans lequel elle imbrique le fantastique avant de déconstruire le tout avec brio. Je ne m’attendais pas à ce retournement de situation.
Le sang des Ianfu d’A.D. Martel
Les Ianfu sont les Chinoises et les Coréennes enlevées par les Japonais pour en faire des esclaves sexuelles. Nous suivons Na-ri, emprisonnée dans les caves de l’une de ces prisons. Ce bout de femme qui porte un courage énorme malgré la situation horrible qu’elle vit quotidiennement. Entre coups et viols, l’espoir revient la visiter de temps en temps : lorsque les règles lui offrent du répit ou quand Kinjiro se glisse dans sa cellule entre deux soldats. Sa rencontre avec une nouvelle détenue va changer cet enfer.
Si vous êtes sensible, ne vous risquez pas à lire cette nouvelle poignante qui relate l’un des crimes les plus monstrueux de la Seconde Guerre mondiale. Ce texte nous plonge dans l’horreur pour dénoncer les viols commis par les Japonais et le combat que ces victimes mènent par la suite. Je ne sais pas comment A.D. Martel a réussi à écrire ce récit qui enfonce ses crocs dans la chair jusqu’au cœur. Les larmes ont dévalé mes joues à sa lecture. J’aurais voulu surgir dans l’histoire, protéger Na-Ri et les autres femmes de réconfort. Les sortir de cette captivité où elles sont réduites à des objets sexuels. Le dénouement m’a procuré un sentiment sauvage qui accompagnait ma révolte face à cette page de l’histoire.
Choisir la forêt de M. D’Ombremont
Nous suivons un elfe sur-le-champ de bataille. Avant, pendant et après le combat. Loin d’un Legolas prêt à en découdre, notre protagoniste partage son angoisse. Il lutte pour ne pas fuir et se cacher dans la forêt.
J’aime les écrits de M. D’Ombremont pour le traitement psychologique profond qu’elle y développe. Cette nouvelle ne fait pas exception. On observe par les yeux, les oreilles et le cœur de cet elfe, ses compagnons d’infortune, son cœur et l’évolution de cette bataille qui passe par diverses étapes. Un combat externe et interne qui entraîne alternativement les plateaux de la balance de la détermination de l’elfe (lutter ou déserter). L’autrice, également blogueuse, a écrit un billet intéressant sur le développement de Choisir la forêt. Je vous invite à le lire.
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