Marianne Rubinstein

oh je l'ai lu aussi c'était super sympa sauf que je n'ai bien comprit la fin.

J'ai pris du temps à le lie mais j'ai bien aimé découvrir l'histoire de Yael avec ses hauts et ses bas.

L'histoire touche plusieurs sujets: L'homosexualité, L’infidélité, La relation entre jumeaux, Le cancer du sein, Le mariage, Les religions, Les sentiments, L'inceste etc. J'ai beaucoup aimé l'histoire qui m'a légèrement fait pensée au film " Qu'est ce qu'on a fait au bon dieu ? " quand on a le point de vue des personnages chrétiens et qu'ils émettent leur avis sur les Juifs.

Comme je viens de le dire, nous avons donc à chaque chapitre le point de vue d'un des personnages avec le nom, le prénom et la date du jour un peu comme un journal intime à la troisième personne. Je ne vous raconte pas le nombre de fois que je me suis perdue dans les personnages, une horreur de toujours chercher qui est qui..... entre les parents des Jumeaux Axel et Emma Bricourt qui se prénomme (attendez il faut encore que je vérifie....) Laure et Stéphane Bricourt, plus Laetitia la maitresse de Stéphane Bricourt (j'espère que je ne me trompe pas de personnage..normalement non.) ensuite les parents Marie-Hélène et François De Langles plus le frère décédé Alexis De Langles de Philippine De Langles future épouse d'Axel Bricourt que d'ailleurs celle-ci trompe avec son cousin Jean dans le but de faire le deuil de son frère Alexis, ensuite Lisa et Marc Cohen plus la sœur lesbienne Hannah Cohen plus sa petite amie Mounia bref la famille de David Cohen futur mari d'Emma Bricourt sœur jumelle d'Axel Bricourt dans tout ça il ne faut pas oublier que Lisa Cohen la mère de David Cohen (futur mari d'Emma Bricourt) trompe son mari Marc Cohen avec le père de Philippine De Langles qui est donc Stéphane De Langles bref, bref, bref pire qu'un cours de mathématiques comme vous pouvez le constater c'est quand même très hard pour retenir tout ça, limite je m'y perds encore.

Sincèrement je me suis perdue pendant pratiquement tout le livre, j'ai seulement su me repérée vers le début de la fin donc..... quand même assez tard.

J'ai d'ailleurs trouver que les personnages se ressembler tous fortement c'est aussi ce qui fait qu'on s'y perd beaucoup, j'ai juste une petite exception pour Laure Bricourt que j'ai beaucoup aimée une femme forte, courageuse et qui ne se laisse pas abattre et qui du coup pour ma part s'est bien démarquée du lot !

Nous avons aussi entre deux chapitres de temps en temps un petit flashback sur l'enfance d'Axel et Emma Bricourt, nous pouvons très bien remarquer qu'Axel déteste plus sa sœur qu'autre chose au lieu que Emma elle n'accepte pas d'être séparé de lui après à vous de savoir pourquoi il faut lire le livre il en vaut la peine malgré qu'on s'y perde dans les personnages. J'ai d'ailleurs été choquée par un des flashback concernant Emma.. la pauvre.

En bref je conseille cette lecture pour passer un bon moment mais ne pas s'attendre à un gros coup de cœur !

Un court roman qui en moins de 300 pages dissèque la relation de couple, qu'il soit conjugal (établi ou en cours) ou gémellité. Ce, dans un contexte très contemporain traversé par les questions sur la judéïté et comment la vivre en France, sur la fidélité et jusqu'où on est capable d'aller pour l'autre, sur l'usure du temps dans le couple, sur l'homosexualité...

C'est un roman choral dont le prétexte est le mariage prévu le même jour, en une seule fête, des jumeaux Emma et Axel : chaque chapitre est narré selon le point de vue d'un des personnages. Et des personnages il y en a beaucoup (une bonne quinzaine), ce qui parfois rend la chose un peu difficile à suivre car à chaque entrée de chapitre, on doit se remémorer qui est qui. C'est bien ficelé et donne l'occasion à chacun de faire un point sur lui, sa vie. De temps à autre, entre les chapitres qui sont très courts, des flash-back sur l'enfance des jumeaux, dont on voit bien comment ils vivent différemment leur gémellité.

L'écriture est résolument moderne, sans gras ni étalage, efficace. Ca me rend curieuse d'aller voir le premier roman de cette auteur.

En bref, une lecture agréable, que je vous recommande.

J'ai du mal à me souvenir de ce petit livre que j'ai lu il y a longtemps et qui ne m'a pas particulièrement marquée. Je l'ai lu pour les cours, et de fait, ce n'était pas de ma propre volonté. Il me semble que j'avais apprécié les personnages et leur histoire, sans en être non plus fascinée.

Le courage d'être moi est un roman très mignon, simple et rafraîchissant qui fait du bien au cœur. Jo est un personnage incroyablement sensible et attachant. On s'identifie très vite à lui et sa relation avec Manon intensifie cette aspect très mignon du texte. Derrière cette légèreté, nous revivons la période de l'adolescence parfois difficile sur le manque de confiance en soi, la crise de l'identité et le harcèlement scolaire. Les termes abordés dans ce petit roman va toucher plus d'un lecteur. Grands comme petits lecteurs, on plonge facilement dans l'histoire. Le vocabulaire est simple et efficace. La plume de l'autrice est fluide. Tout s'enchaîne très vite. Marianne Rubinstein va droit à l'essentiel. Le texte est donc très facile d'accès. Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié ma lecture sans que cela soit bien sûr pharaonique vu mon âge. Ce roman est plus réservé à un public très jeune de 11 ans et des poussières. Pour cette tranche d'âge, je vous invite à le lire pour que vous trouvez ce courage d'être vous et d'aimer pour qui vous êtes.

J'ai apprécié ce roman qui traite du harcèlement scolaire et des origines familiales. J'ai beaucoup adoré le caractère de Manon et son amitié avec Joseph. J'ai trouvé original la façon dont l'auteure aborde les origines familiales de Manon. Pour ma part, c'était inattendu.

Ce roman court , très facile d'accès malgré la dureté des sujets, va incontestablement intéresser les jeunes collégiens.

Un livre dont j’avais besoin sans même m’en rendre compte. Il revêt désormais pour moi une importance symbolique concernant l’appropriation de la culture juive des descendants de déportés (ici orphelins.

Merci à Marianne Rubinstein et aux enfants d’orphelins.

J'ai pris beaucoup de plaisirs avec ce petit livre. Et j'étais justement en sixième ! Bref, c'était amusant.

12 récits de dystopie, qui ont l'air de pouvoir se passer dans très peu de temps. et qui m'ont fait froid dans le dos. Le web et les réseaux sociaux donnent une impression de sécurité et d'anonymat, alors que vous balancez littéralement votre vie et vos données à Dieu sait qui... Je rappelle que récemment Meta ; le groupe de Zuckerberg, l'ami qui ne vous veut pas du bien, a été condamné à une amende record de 1,2 milliard d’euros pour avoir transféré de données d’Européens vers les États-Unis. Et après, que se passera-t-il si nous continuons à trop nous exposer juste pour le plaisir artificiel et très éphémères d'obtenir quelques likes? Et pourquoi toujours courir après cet espèce de Graal moderne qu'est cette connerie d'e-réputation?