Commentaires sur ses livres

Une étonnante découverte qui m'a beaucoup troublé et dérouté par l'histoire et le personnage-narrateur dont on ne saura jamais le nom.

Une jeune femme, grâce à l''intermédiaire de son amant Honoré, réussit à intégrer le monde du travail. En exercant différents jobs, elle finit par dénicher un emploi dans une parfumerie un peu spéciale dans la mesure où elle entretient des rapports sexuels avec ses clients... Le jour où elle est appelée à parfaire sa carrière dans ce domaine, la narratrice rencontre un étrange homme qui lui va faire ingurgité des liquides qu'il aurait lui-même crée et lui demande à avoir une relation sexuelle avec elle. Un jour, il lui mord sous le sein droit. Un énorme bleu lui marque la peau et... c'est le début d'une étrange transformation qui commence...

L'histoire en elle-même est totalement burlesque, loufoque, part dans tous les sens et tourne autour d'un what the fuck? Le début est bien ancré dans le réel mais très vite, l'auteur se laisse entrainer dans un dénouement abracadabrant! On se perd. On ne comprend pas quel est le vrai dans tout ça et on se demande si tout n'est pas une vilaine farce. En restant sur cet état d'esprit, on ne peut que détester ce roman dont l'écriture est écrasante, pesante et repoussante.

Si on se laisse aller dans la lecture, on peut comprendre le choix de l'auteur: représenter la part animale qui est en nous et que l'on cesse de repousser en vain. L'auteur, par ce choix d'écriture, nous dégoutent le plus possible dans le but de montrer l'homme dans toute sa monstruosité. Attention, ce n'est pas un livre à prendre au premier degré. Derrière cette histoire farfelue, se cache un fond bien plus sérieux. Et cc'est cet aspect que j'ai tout bonnement apprécié et qui a rendu la lecture plaisante à lire.

A lire pour ceux qui le veulent vraiment car il faut s'accrocher.

Lourd et grotesque. La comparaison avec "La métamortphose " de Kafka ne tient pas la route.

J'ai été déçue par ce livre qui pourtant s'annonçait bien. Je n'ai pas trop aimé le style d'écriture de l'auteure, et j'ai eu beaucoup de mal avec les personnages. Après le fond de l'histoire est très bien, mais je ne peux pas dire que j'ai été captivée par ce roman.

Pas aimé du tout, il est devenu officiellement mon livre le plus détesté, je n'ai pas compris la métamorphose, je n'en ai pas compris l'interet, ni le rapport avec le loup-garou..

A Los Angeles, Solange, jeune actrice française cantonnée dans les seconds rôles et les utilités pour le cinéma hollywoodien, rencontre Kouhouesso, un bel acteur d'origine camerounaise, qui débute dans la mise en scène et voudrait tourner son premier film au Congo. C'est vite le coup de foudre entre cette blanche et ce noir. Solange ne vit plus que dans l'attente du retour de Kouhouesso lequel semble un peu moins emballé que sa nouvelle partenaire tout occupé qu'il est par la préparation de son film. Il lui propose néanmoins un petit rôle aux côtés de George (Clooney ?) et de Vincent Cassel. Sur quoi débouchera leur relation ?
Roman sentimental à fort potentiel introspectif, « Il faut beaucoup aimer les hommes » présente surtout l'intérêt de dépeindre à petites touches, de façon impressionniste et aléatoire, les moeurs du petit milieu du cinéma américain, un monde un peu (beaucoup) frelaté, faisandé, hypocrite et snob avec ses fêtes, ses excès (sex, drugs & rock n' roll) et ses paillettes. Trompe l'oeil, miroir aux alouettes et convivialité artificielle avec de cruelles déceptions à l'arrivée. Solange et Kouhouesso donnent l'image d'un couple « beau, riche et heureux », mais est-ce bien la réalité ? Qu'y a-t-il derrière tout ce glamour ? La présentation de la quatrième de couverture donne dans le minimalisme : « Une femme rencontre un homme. Coup de foudre. L'homme est noir, la femme est blanche. Et alors ? » Elle se veut provocatrice et choquante. L'éditeur a dû se tromper de siècle. En 2014, un thème comme celui-là est d'une parfaite banalité. Il suffit de mettre le nez dehors pour s'en convaincre. Nous ne sommes plus dans les années 60 de l'autre siècle quand un certain Guy des Cars décrivait les amours d'un noir et d'une blanche et choquait le bourgeois bien pensant. Alors qu'est-ce qui distingue vraiment ce livre ? Sans doute le style particulier de l'auteure. Il sort de l'ordinaire par la magie d'une suite de maladresses voulues, de répétitions, de lourdeurs et de redondances assumées. L'ennui c'est que l'intrigue et les personnages laissent relativement indifférents. Plus intéressantes sont les difficultés que rencontre le héros pour réaliser son film. Sans doute faut-il être très fleur bleue et très sensible à la psycho style « Biba » ou « Cosmopolitan » pour crier au chef d'oeuvre. Pourtant ce livre a déjà obtenu le Prix Médicis.

Le résumé du livre est excellent. Mais tout ne se résume pas à ce "Et alors". Livre très plaisant, bien écrit comme d'habiture avec cette auteure. Très belle pages sur l'afrique , son peuble, ses habitudes, ses coutumes. Mais également toute l'histoire de la production d'un film avec ses aléas, ses contre-temps, ses petites catastrophes auxquelles il faut faire face, les réactions des divers acteurs, les désillusions pour certains, les exigences pour d'autres et une excellente description du climat des studios d'Hollywood. Le compte rendu de la première d'un film. En plus de l'histoire d'amour classique, j'ai trouvé tout cela très intéressant. On apprend quelque chose et c'est vraiment un livre très agréable à lire.

Un amour intense, trop intense. Histoire d'une attente, l

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'attente de l'autre qui, lui désire un autre rêve : créer un film. La première moitié du livre est prenante, on vit ce début d'histoire au rythme insensé de l'amour, puis on se lasse

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comme devrait le faire l'héroïne :Solange, de l'attendre lui, de se perdre dans ce film au bout du monde. Le temps de la lecture nous fait partager les émotions inhérents aux histoires d'amour : coup de foudre, attirance, désir, attente, doute, passion , tristesse...

C'est une histoire d'amour qui se passe à Hollywood. C'est une histoire plein de brillant. C'est une femme blanche qui aime un homme noir qui tourne un film.

A quoi rime ce livre ?... Déjà le début est assez particuliers, avec très peu de sens dans les phrases, et tout de suite, nous avons des détails assez ... "choquants" ? avec des mots comme "bite" et "culotte" à tout bout de champs... (quasiment tous les 10 mots)
Un livre que je ne recommenderais à personne.

Une magnifique vision de la maternité, un live très original, je conseille vraiment !

Un très bon livre, j'ai beaucoup aimé, il était plein de bonnes choses et passionant !

Le thème rappelle forcément "la Métamorphose" de Kafka. Le style est parfois proche d'un Boris Vian. L'écriture est pour ainsi dire "organique", biologique. Un roman prenant que j'ai lu d'une traite.

un très beau livre sur la perte d'un être cher (ici un enfant) qui m'a touché (j'ai perdu mon grand père peu de temps avant la lecture de ce livre) .

Il y a pas de doute ce livre est dérangeant.
Pour commencer le titre de "Truisme" car ce mot désigne une vérité trop manifeste, une évidence.
L'histoire: une jeune femme se transforme lentement en truie et on en suit toutes les transformations physiques.
Il me semble que à l'instar de Kafka cela pue la métaphore à plein-nez. Faut-il chercher plus loin? Il faut donc aimer le second degré pour apprécier un tel livre car ce n'est pas un manga.

J'ai donc lu ce livre en pensant que l'on nous parlait de la manière dont certains hommes considéraient les femmes.
Je fut donc surpris de ne pas voir les féministes se démener à la sortie du livre.

A lire si l'on supporte d'être dérangé.

Un livre encore en dehors des chemins...une mère qui décrit le Bébé comme un être particulier, un animal voire un intrus...Une vision finalemnt objective de la maternité , loin des poncifs ...