Commentaires sur ses livres

Une histoire vraiment émouvante qui nous ramène les pieds sur Terre et nous balance des réalités en pleine figure, le monde n'est pas toujours tout beau. J'ai beaucoup d'admiration pour Nico qui a vécu une enfance pas très tendre mais qui s'en sort quand même. Ce livre nous fait prendre conscience que certains adolescents peuvent prendre une route différente de cele que tous les parents veulent et ils font leurs choix eux mêmes.
Je félicite donc l'auteur pour ce livre où tout le long on se demande ce qui va arriver à Nico (personnellement c'est mon personnage préféré)et où on réalise à quel point les jeunes s'en sortent (assez bien) malgré l'hostilité du monde qui les entoure.

J ai ete une heroinomane... C est tres dur de s en sortir, il m a fallu 8 internement psychiatrique/desintox , deux overdoses etre a deux doigts de mourrir, perdre des dizaines d amis qui sont decedes , ecouter mon grand pere me supplier sur son lit de mort et voir ma famille en pleurs a mon chevet pour m ouvrir les yeux au bout de dix ans.
Javais 17 ans.. Jen ai 27 aujourd'hui .
Jai un enfant de dix ans et je suis encore sous methadone pour encore env 6mois 1ans et je pourrai définitivement dire:
"moi,Jess 27 ans, ex junkie qui s en est sortie"
Jai vecu l enfer sincèrement, jai cru mourrir tant de fois, jai voulu mourir tant de fois... Mon combat aura duré 10 ans.. Cela fait 1ans et demi que je suis clean et assez heureuse mais mon passé me hante encore , surtout la nuit dans mes reves: Je retourne dans les squatts que jai fréquentés, je revois des amis decedes, je me revois entrain de mourir d une overdose seule dans l hotel lugubre ou jai vecu les deux dernieres annees de mon combat. Je me reveille parfois en croyant que jy suis encore et il me faut quelques secondes a réaliser que a présent, je suis chez moi dans mon nouvel appart, il me faut regarder mes mains pour réaliser que, le paquet d hero que je tenais dans mon reve n est pas reel. Je reve parfois de mes obseques , celles qui ont bien failli exister, je reve parfois que la deuxième O.D que javais fait et qui avait failli me tuer, m a tuée pr de bon, je me vois mourrir dans ces reves la.. Je ne realise pas encore très bien que je suis en vie, que jai reussi ou presque, jai du abandonner des amis sur ma route vers la guerrison, ils sont presques tous morts ou ilss sont encore dependants.. il n y a qu une amie qui s en soit sortie, elle a fini son traitement de metha il y a 1mois.
Bref, j'étais toxicomane, je suis clean à présent mais je devrait etre vigilante jusqu a la fin de mes jours.
Vive la vie elle est si belle lorsque l on sort enfin des tenebres, je ne veux plus quitter la lumiere.. Je ne veux plus jamais y retourner.

J.

Ce livre est hallucinant. Que ce soit pour l'histoire comme pour la psychologie des personnages. En effet, Sara est impossible à comprendre et à cerner du fait des différents rôles qu'elle joue et des choix imcompréhensibles qu'elle prend au fil du roman ; elle est impénétrable. Mais ce n'est pas la seule à être décrite ainsi dans ce roman : je pourrais dire la même chose du célèbre Jonathon Heat comme de l'étrange docteur Kaye. Ce roman aborde 3 thèmes : la célébrité d'abord, la chirurgie esthétique ensuite, et la folie enfin. Au fur et à mesure qu'on traverse ce roman, l'histoire en devient déconcertante, jusqu'à terrifiante. J'ai été surprise de l'épilogue qui nous livre à la fois des détails surprenants et des explications que j'attendais.
J'ai aimée la façon dont l'auteur nous raconte l'histoire: sous forme de "roman-reportage". J'ai trouvée ça très original, comme concept.
Pour conclure, je dirais que c'est le suspens et l'envie de connaître le mot de la fin qui m'a poussée à finir ce roman. Cependant, je ne regrette pas cette lecture qui est pour moi originale et bouleversante. Le visage de Sara est donc une histoire peu commune qui, je pense, ne peut pas plaire à tout le monde.

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La célébrité que recherche Sara à tout prix, sa maladie du dégoût de son corps, sa folie m'ont plu tout au long du roman jusqu'à la fin où elle prend un choix que je ne comprend pas. Je ne pensais pas qu'elle serait folle à ce point, capable de donner son propre visage à Heat. J'ai été choquée qu'elle ait menti à Mark sur toute la ligne, lui qui voulait seulement la protéger. Tout ça pour au final faire la une de tout les magazines avec en gros titre "Le docteur Kaye vole le visage d'une adolescente de 17 ans." et devenir enfin l'oeuvre d'art qu'elle désirait être depuis si longtemps. Cette opération lui aura permit le réveil à une nouvelle vie, elle lui aura aussi permit de tuer Sara pour devenir Lucy : une personne normale. Mais l'on ne sait pas si Sara est entièrement morte ou si elle somnole et risque de se réveiller à tout moment... Belle fin tout de même.

Un récit dangereux qui banalise la pédophilie, le viol, la séquestration, les violences physiques... et j'en passe. L'auteur ne remet JAMAIS en question les actes de ses personnages ni ne les dénonce d'une quelconque manière. Il en vient même à créer un tribunal d'adultes qui déclare COUPABLE la victime, mineure et instable psychologiquement... À vomir.

Voulant abordée le sujet avec humour et intérêt, c'est ma maman qui m'a mis ce livre entre les mains.
Et je suis passée par des sentiments tellement différents, quand je l'ai lu. Plaisir de lire, dégoût, peine, étonnement. Tout y est passé, si pas plus.
Toutes les histoires n'ont pas le même degré d'intensité d'émotion, mais elles abordent les faits avec des points de vues totalement différent, à chaque fois. Les auteurs ne se contente pas d'écrire une nouvelle, ils expliquent aux gens - surtout les jeunes.
C'est un livre à lire, je trouve, pour les ados concernés. (sans donné d'âge pour lancer une polémique) Pour ma part, je l'ai lu il y a près d'un an. C'était une jolie lecture, tout simplement.

Pas mauvais. On retrouve la paranoïa de notre cher Melvin Burgess, trempé cette fois dans du suspense.
Mais il oublie de nous témoigner la véritable crainte que l'on peut avoir de mourir. Les rares dois où il en parle réellement, on a aucune pitié, aucune peur, aucune tristesse. On rit presque de toute cette histoire qui frôle le pathétique dans son exagération.
Pas mauvais et je ne le déconseillerais pas, mais j'ai été profondément déçu, tellement j'étais impatiente de lire ce livre. Bref, pas mauvais, mais à la Melvin Burgess...

Huit nouvelles, toutes différentes, écrites par huit auteurs différents pour parler de tout ce dont on ne parle pas normalement. Les sujets ‘tabous’ sont abordés et nous font découvrir certaines choses parfois atroces parfois belles.

C'est le second livre que je lis de Melvin Burguess (après Junk) et je dois avouer que la facilité avec laquelle il décrit des problème dis "tabou" de la société est déconcertante. Je suis une grande fan des livres " trash" où les auteurs n'ont pas peur de prendre des risques. Parfois c'est une réussite, parfois non. Mais là, c'est un succès, il faut bien l'avouer.
Nicholas est un personnage attachant quoique difficile à cerner et on se réjouit de cette "happy end ".
Burguess décrit des choses horribles dans toutes ses oeuvres, mais il sait toujours comment les terminer de façon à contenter le lecteur. Nicholas Dane est un livre à déconseiller aux personnes émotionnellement fragile, mais si vous voulez vraiment vous rendre compte de la chance que vous avez d'avoir la vie que vous menez, lisez le au plus vite.

Un témoignage intéressant mais que jai trouvé très impersonnel. Le lecteur est détaché de l'histoire et je ne me suis aucunement attaché aux protagonistes. Bien que des thèmes durs soit abordés, ce livre ne m'a pas convaincu. L'écriture est distante et je pense que pour cette raison là.

J'ai beaucoup aimé ce livre ! Le héros, un adolescent provenant d'une famille plutôt pauvre, a tout perdu : il apprend que son grand frère vient de mourir, sa petite amie est sur le point de le quitter, il va devoir arrêter les études pour trouver un emploi afin de subvenir à la famille... Les malheurs s'enchainent, et le jeune garçon est tenté de prendre une nouvelle drogue très à la mode. Le pour : réaliser tous ses rêves en une semaine... Le contre : à la fin de cette semaine, personne n'échappe à la mort...
Un roman qui est à la fois haletant et plein d'action, mais qui, sous cette aventure, critique aussi la société de nos jours : les riches qui s'enrichissent et les pauvres qui s'appauvrissent, les mouvements extrémistes, les jeunes et la drogue, la violence, l'état et les banques, le sens de la vie...
Un roman un peu dur envers tout ce qui concerne la mort, mais qui ainsi réveille une partie de nous, et nous amène à réfléchir sur ces sujets.

Un livre choral (je sais pas si ça ce dit mais pour les film choral) avec 8 histoires pour traiter de la première fois, tu sais bien le truc quoi LOL.

Sérieusement certain histoire m'on plu d'autre mon limite mise en colère. Certes c'est instructif mais c'est très inégale concernant la parité homme/femme des point de vue et puis tu sent directe que c'est des anglais qui on écrit les intrigues, rien que les prénoms te mettent sur la piste. Ensuite j'ai trouvé les perso très jeune, sérieux au collège en 4 ou 3ème ils ont quoi 14 15 ans, en même temps les britannique on l'air tellement précoces.

Pour la première histoire est drôle avec le dilemme sport ou foot. surtout que c'est une fin ouvert que nous laisse l'auteur.

La deuxième avec la Mamie c'était limite hilarant mais la moralité de la fin était bien emmené et je crois que c'est mon préféré.

Le troisième était bien sans plus.

Le quatrième fait parti de ceux que j'ai moins apprécié car au final ce con de Charlie s'en sort un peu trop facilement à mon goût. En même temps l'auteur n'y est pas aller de main mort

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franchement combien de chance il y a pour que sur 4 copains d'enfance 3 soit gayL'idée des bandes noirs était pas mal mais j'ai tout de suite compris les enjeux.

La cinquième était la plus affligeant à lire, déjà sa vie n'est pas tout rose à cette pauvre Charlotte et il a fallut que l'auteur en remette un couche. Il appris le pire contexte social pour nous parler de (si on peu appeler ça) la première fois de Charlotte. On dit souvent jamais je ne ferai ça, mais une fois que t'es au bout du rouleau que faire?? ça pousse à réfléchir. On devrai le renommé "Pauvre Charlotte".

Le sixième était le plus classique comme le premier. j'ai jamais vue un père si nul en même temps c'est pas simple d'en parler à papa surtout avec une coupe de cheveux pareille.

Le septième était tragique comme Charlotte; je connais les mœurs indiennes, celle du mariage est sans doute la plus belle tout est coloré et joyeux, sa brille de partout les indiens aimes ces fête là. Malheureusement les jaloux en tout gâché et la sauvagerie c'est déversé comme un torrent sur notre pauvre héroïne. Seule reproche la description plus qu'irréaliste de la tante de Preet mais bon je pense que c'est fais exprès. Dans tous les cas cette histoire prouve que on n'est pas tous pareils, l'ignorance fait des ravages et pas seulement en Inde.

La dernière était intéressent, je me suis jamais demander ce que pensez l’infirmière du collège lors de ses rendez vous mais je me souviens bien des questions débiles de certain(e) camarade.

Conclusion ce livre est pas mal pour les collégiens ou lycée.

"Junk" fut l'un des premiers livres que j'ai lu sur le sujet, il y a déjà quelques années. Je l'ai depuis relu, de nombreuses fois, et j'ai toujours la même admiration pour l'écrivain qui a su dessiner avec justesse un portrait de l'adolescence, âge auquel tout peut basculer, mais où tout peut aussi se reconstruire. Bref, à lire, à relire, même !

Je l'ai vu en film seulement. Une belle histoire qui défit les préjugés.

Junk est un livre incroyablement touchant, criant de vérité. Sans empirer les choses, on ne les exagère pas non plus, tout est sincère, et les espoirs qu'on nous fait de temps à autre ne rendent que plus persuasif le fait que c'est impossible de se défaire de la drogue. L'histoire est magnifiquement bien construite, et les changements de narrateurs vraiment bien vu.
Pas moralisateur pour autant, on se fait notre propre opinion sur le sujet avec des éléments qui semblent être fait pour !
C'est un bilan archi positif pour un chef-d'oeuvre super négatif !

C'est un livre spécial mais interessant. Les personnages sont complexes et l'intrigue parfois dure à suivre.