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Une trame très bien ficelée, une histoire superbement et intelligemment écrite et étonnamment captivante !
J'étais séduite par la Mort, charmée par le Marchand de sable, attendrie par le chasseur, touchée par la justice et attachée à ce groupe d'adolescents.
C'est un livre qui nous rappelle pourquoi on aime lire !
Le Tyran des songes
Qu'est-ce qui fait pleurer les crocodiles ?
La plume sans surprise est superbe, acérée lorsqu'il le faut (mais bien moins que dans les précédentes aventures d'Evariste et Isabeau). L'intrigue se déroule à la perfection, comme une partition parfaitement ajustée. Le découpage des chapitre et l'alternance des narrateurs ne fait qu'amplifier l'additivité.
Bon en fait c'est un très gros coup de coeur pour moi. Je sais que les lectures qui vont suivre dans les prochains jours vont être décevantes, la barre est très haute.
Vivement le prochain Oren Miller!
Et Dieu se leva du pied gauche
Et Dieu se leva du pied gauche
En ce qui concerne cette enquête je n'ai absolument pas eu le début d'une idée dans la résolution de l'énigme. Oren Miller m'a baladé tout le long de son livre. Je n'ai rien vu venir !
Et Dieu se leva du pied gauche
Le tome est jalonné de passages différents, le journal d'une personne qui observe la douleur physique et psychique des prisonniers et cobayes d'un camp de concentration nazis, ce qui m'a rappelé " les médecins maudits " et surtout l'horreur dont est capable l'être humain, puis, je me suis retrouvée dans la tête du tueur qui parle tout en métaphores des tortures qu'il inflige en parlant de ses fleurs et de son jardin, on comprend rapidement qu'il parle d'enfants, un sujet toujours difficile pour moi, et pourtant, l'auteur le fait tout en émotion, rien n'est dévoilé tout est suggéré.
Et bien sûr, le duo Evariste isabeau fait encore mouche, leurs dialogues ciselés sont totalement jouissifs avec un Geoges au taquet.
Les personnages sont tous très bien travaillés et Oren Miller utilise sa plume avec talent.
conclusion une bonne série à suivre.
Et Dieu se leva du pied gauche
Oren Miller est une auteure que j’ai rencontrée sous le nom de Lucie Castel dont j’ai dévoré chacune des romances. Depuis un certain temps, cependant, j’avais dans l’idée de partir à la découverte de la part sombre de ses écrits et de me plonger à corps perdu dans un de ses polars. Grand bien m’en a pris, car je suis totalement fascinée par le livre que je viens de terminer.
Et Dieu se leva du pied gauche m’a confrontée à certaines de mes peurs, il m’a également brisé le cœur tant les événements qu’il décrit ont su toucher ma corde sensible. Il y a des sujets qui me parlent plus que d’autres et force est de constater que celui-ci m’a profondément émue.
Totalement indépendant des tomes précédents, cette nouvelle aventure d’Évariste Fauconnier et d’Isabeau Le Du est en tout point parfaite. Chaque détail à son importance, chaque rebondissement apporte sa pièce à l’ensemble et le dénouement est tout simplement stupéfiant. Oren Miller a pris énormément de soin à construire son texte et tous les éléments s’emboîtent à merveille. De ce fait, il faut rester sur ses gardes, bien ranger toutes les particularités dans un coin de sa tête. Pourtant, même en faisant preuve d’une grande attention, l’auteure réussit à nous surprendre et nous happer jusqu’à la toute dernière ligne.
C’est donc sur les ravages de l’après-guerre que se développe le récit. Je dois vous avouer que j’ai retenu mon souffle à de nombreux moments et j’ai beaucoup apprécié les différentes parties mises en place. En effet, non seulement nous assistons au raisonnement des enquêteurs, mais certains chapitres nous sont offerts du point de vue de la Bête et d’autres reflètent l’enfer vécu à Struthof à travers les yeux d’un mystérieux narrateur. De quoi titiller notre imagination et nous permettre d’élaborer bon nombre de théories.
J’ai un immense coup de cœur pour cette histoire et particulièrement sur le duo constitué par Évariste et Isabeau. Quel plaisir d’avoir fait leur connaissance et de les voir résoudre cette enquête ! Ils m’ont fait penser aux films de Sherlock Holmes joués par Robert Downey Jr et Jude Law. Leurs échanges sont vifs, intelligents, sarcastiques ; leurs personnalités attachantes et intrigantes. J’ai adoré en tous points leurs caractères affirmés et la relation qu’ils ont établie. Je ne suis pas prête de les oublier.
Et Dieu se leva du pied gauche est une pépite du genre que je ne saurais que vous recommander ! Un bruissement, un craquement et tout le texte prend une tournure angoissante. Rien n’est facile dans cette lecture, car on ne peut finalement pas faire confiance à l’évidence. Le tout est joliment relevé par une touche d’humour et une pointe d’ironie très agréable qui rend ce livre totalement addictif.
Et Dieu se leva du pied gauche
J’étais donc pressée et curieuse de découvrir l’auteur dans ce genre, qui est connue pour écrire des polars, mais pas que ! Derrière ce nom se cache également ‘Lucie CASTEL’, auteur de « Pas si simple », une comédie romantique publiée chez Harlequin que je ne peux que vous conseiller de lire ! ( Croyez-moi, vous ne le regretterez pas ).
L’histoire du « tyran des songes » commence de manière brutale : des sortes de créatures étranges viennent assassiner un couple pour kidnapper leur bébé. Cependant, leur plan est déjoué par la Mort elle-même, venue personnellement tirer d’affaire cet enfant.
Plusieurs années plus tard, nous retrouvons Emma, ce fameux bébé, à l’aube de ses 18 ans. Elle est très renfermée, passe ses journées à lire et à rêver de Vlad, le beau jeune homme qui travaille à la librairie à côté de chez elle.
Cependant, elle ne se sent pas comme tout le monde. Lorsqu’elle regarde quelqu’un dans les yeux, elle peut ‘lire’ en eux. Comme s’ils étaient des livres, elle a accès à leurs sentiments, à leurs craintes. Elle cache depuis toujours son regard derrière des lunettes, entravant cet étrange don qu’elle garde pour elle-même.
Mais un jour, toutes ses certitudes sur son monde, sur sa vie, vont voler en éclat lorsqu’elle se fera kidnappée par Hypnos, le marchant de sable.
Cette chronique va être très dure d’écrire car j’ai vraiment adoré cette lecture. Cette histoire est tellement riche, tellement complexe, que pour expliquer sans spoiler ou se mélanger les pinceaux va être compliqué !
Oren MILLER nous surprend dès le début en nous offrant une vision de notre monde complètement nouvelle, fantastique et déjantée. Imaginez que notre réalité n’est pas celle que l’on pense. Que derrière ce qui nous semble ‘normal’, se cache des choses et des êtres qui le sont moins.
En parallèle à notre monde, à notre réalité, des êtres vivent dans l’ombre, se cachant des humains, n’interagissant jamais avec eux. Ces êtres sont des Juges des Enfers, des harpies, des sorciers, des allégories et bien d’autres.. Imaginez un seul instant que la Mort existe réellement, que sa cousine est la Justice, que le Chasseur est le bras droit de la grande faucheuse et qu’Hypnos, le marchant de sable, est le grand méchant loup.
Sans entrer trop dans le détail pour ne pas vous gâcher l’effet de surprise en découvrant cet univers, je peux vous dire que j’ai été complètement séduite par cette idée.
Etant une grande fan de mythologie grecque, je peux vous dire que j’ai été servie avec cette lecture. J’ai retrouvé beaucoup de références à cet univers que j’affectionne particulièrement et j’ai aimé imaginer que des êtres surnaturels vivaient en parallèle de notre monde. L’auteur trouve de bonnes raisons au fait qu’ils se cachent, nous expliquant le pourquoi du comment, et tout nous semble vraisemblable. C’est en cela que repose la force de son récit : c’est que l’on y croit, que ça pourrait être réel.
L’intrigue se focalise sur Emma. Qui est-elle ? Pourquoi a-t-on voulu la kidnapper quand elle était encore un bébé ? Pourquoi est-elle toujours en danger ?
Beaucoup de questions pour un seul personnage qui nous tiennent en haleine. Nous ne savons pas grand chose sur elle et apprenons en même temps qu’elle toutes ses particularités qui font qu’elle est en danger.
L’histoire est narrée à la troisième personne, ce qui est un peu perturbant au début car je n’ai plus l’habitude de retrouver le ‘il(s)/elle(s)’ dans mes lectures, et nous alternons entre plusieurs points de vue. Il y a d’abord les chapitres sur Emma, le personnage principal, mais nous suivons également d’autres intrigues qui ont toutes pour point de ralliement Emma. Parfois, nous suivons Jack, la Mort, parfois des sorciers, comme Cassiphoné, parfois d’autres personnages. J’ai trouvé que l’auteur maitrise parfaitement cette alternance, sachant quand changer d’endroit et de personnage au bon moment, nous laissant dans le suspens, dans le flou, mais nous apportant suffisamment de réponses pour que l’on puisse continuer à comprendre l’histoire et, surtout, à réfléchir sur les possibles autres intrigants qui se cachent dans l’ombre.
Allons droit au but : ce qui m’a le plus séduit dans cette histoire est la plume d’Oren MILLER. Dans « Pas si simple », j’avais adoré ce trait d’humour, ce petit grain de folie qui nous donne le sourire du début à la fin de l’histoire ( même si l’on pleure parfois aussi ). Ici, on retrouve avec plaisir cette particularité qui est encore plus exploitée. On sourit et on rigole vraiment à certains passages ! C’est croustillant et on ne s’en lasse pas !
Ce qui fait vraiment la différence dans « Le tyran des songes » et qui offre à l’auteur la possibilité de mettre en avant son humour si particulier est le personnage de la Mort : Jack. Il a un sens de la répartie très particulier et apporte de la légèreté au récit. A l’image de ce personnage qui est assez singulier, chacune de ses apparitions, chacune de ses paroles est particulière. Je suis littéralement tombée sous le charme de ce personnage hors-norme et je n’attendais qu’une chose : qu’il apparaisse et qu’il sorte encore une de ses répliques dont lui seul a le secret !
Les autres personnages sont tous travaillés et ont chacun leur propre caractère.
Emma nous apparaît fragile et un peu perdue pendant la grande partie de l’histoire, mais l’on s’attache quand même à cette jeune femme qui doit apprendre à ingurgiter toutes ces révélations le plus rapidement possible pour survivre, tout simplement.
Le duo Jack ( la Mort) / Orion ( le Chasseur ) est vraiment la grande surprise de cette histoire. Ils agissent un peu comme un vieux couple, surtout au niveau de leurs échanges verbaux. Un lien étrange et inexplicable les unis, mais on se prend vite d’affection pour ces deux hommes.
J’ai également apprécié Astrée, surtout le personnage ‘physique’ qu’elle incarne, et l’apparition d’Eros est rapide, mais efficace. Le message qu’il envoie à Jack est à mourir de rire ( enfin, pas tellement vu la situation dans laquelle les personnages se trouvent ).
Petit clin d’œil à Syphilis, le lapin de Jack, qui est également présent dans « Pas si simple ». A se demander si Oren MILLER n’aurait pas réellement un lapin prénommé ainsi ?
La fin est le seul point négatif que j’ai trouvé à cette histoire.
D’abord, j’ai trouvé que les derniers évènements s’enchaînaient trop vite. Un peu comme une chaîne de dominos qui se renverse, un nouveau rebondissement arrive derrière un autre à une vitesse folle et ce changement de rythme m’a un peu décontenancée. L’auteur prend son temps tout au long de l’histoire et cette accélération casse le rythme.
Et cette fin ? Pourquoi est-elle si ouverte ?! Alors oui, je fais partie de ces lecteurs qui ont besoin que chaque chose soit rangée dans sa case, que plus aucune interrogation ne subsiste à la fin d’une lecture. J’ai ce besoin que l’auteur choisisse pour moi ce que vont devenir les personnages, fasse les choix à ma place. Ici, même si la plupart des informations sont données, je reste malgré tout dans le flou. De même, que devient la mère de Cassiphoné ?
Je ne développerai pas plus pour ne pas vous en dire trop. Je ne sais pas si l’auteur a voulu terminer cette histoire comme cela, car elle pourrait se suffire à elle-même, ou si le fait d’avoir une fin ouverte était une solution pour l’auteur de pouvoir replonger dans cet univers quand elle le souhaiterait.
En conclusion, « Le tyran des songes » est une VRAIE surprise. Oren MILLER m’a vendu du rêve, m’a fait croire à son univers, même si la fin me laisse un goût de trop peu.
Autant le dire, la grande force de son récit repose sur son style d’écriture et notamment à son humour si particulier que j’ai eu vraiment beaucoup de plaisir à retrouver dans le personnage de Jack. Je suis étonnée de la force de son histoire et de son talent qui lui permet de jongler entre plusieurs styles de romans avec autant de facilité ( fantastique/comédie romantique ).
Maintenant, je n’ai qu’une hâte : la lire dans son autre genre de prédilection, le polar, avec « J’agonise fort bien, merci. » ( avec un titre pareil, ça annonce la couleur, non ? ).
Un livre à lire si vous adorez la mythologie grecque, l’humour noir et le fantastique.
( http://lectrice-lambda.blogspot.fr/2017/03/le-tyran-des-songes-oren-miller.html )
Le Tyran des songes
Ce livre nous emporte dans un univers fantastique écrit de façon inédite et incroyable. On se laisse embarquer par les personnages auxquels on s'attache de plus en plus au fil de la lecture.
On rajoute à cela une pointe d'humour et une bonne dose de sarcasme, on découvre une histoire pleine de rebondissements et de fous rires !
Le Tyran des songes
Lucie Castel est une autrice que j’apprécie beaucoup. J’adore son style, j’adore ses mots et on est certain de voyager à chacun de ses romans.
Cette nouvelle publication n’est pas une romance à proprement parler, du moins elle arrive relativement tard. La guerre des papilles, c’est plutôt une histoire mêlant héroïne forte et problème de famille. C’est plutôt se trouver soi avant de trouver l’amour de sa vie. Et c’est exactement ce que vont vivre chacun leur tour Cat et Lucca.
D’un côté, Catalina doit retrouver sa place dans une famille (avec tout ce que ça implique) dont elle a été éloigné très jeune. Elle est seule aujourd’hui, elle a vécu des épreuves difficiles et doit faire le deuil de ce qu’elle était et surtout de ce qu’elle a perdu. Ce n’est pas une mince affaire surtout lorsqu’on doit gérer une nouvelle boulangerie, une grand-mère impossible et un concurrent virulent.
En face, Lucca, dont la réputation n’est plus à faire, a aussi des choses dont il doit se délester. La pression de sa famille, les responsabilités qu’elle incombe. Il est tellement dans le contrôle, qu’il joue du sarcasme et du second degré à chaque fois qu’il ouvre la bouche.
Honnêtement, j’ai souvent crissé des dents face à tant de condescendance et même de mépris. Les réflexions sur l’intelligence et le poids de certains personnages m’ont quelque peu gêné.
Heureusement, l’autrice a su me faire oublier ces petits détails et m’a emporté en Sartène avec elle, sur cette place entre la chocolaterie et la boulangerie.
Si le duo principal est haut en couleur, les personnages secondaires sont aussi très intéressants. Je me suis beaucoup attaché à Marc-Antoine, Dom ou encore Charlotte. Et puis, finalement tout le village est divertissant.
J’ai passé un bon moment. Ce récit est tellement chargé d’histoire, d’émotions ou encore d’actions qu’on n'a pas le temps de s’ennuyer. Lucie Castel amuse, glisse de beaux messages et touche nos cœurs. N’attendez plus et partez sur l’île de beauté, vous ne le regretterez pas.
La Guerre des papilles
Quoique j'aie réellement apprécié cette lecture, je dois avouer ma déception concernant l'intrigue, qui comporte plusieurs idées géniales mais... que je trouve très mal exploitées dans l'ensemble.
Ainsi, de mon point de vue, tout dépend intégralement de la plume de l'auteure et des protagonistes majeurs de la série, mais ce sont deux facteurs qui rendent réellement le livre fabuleux à lire, et qui font que j'encourage tout le monde à lire cet opus.
Et Dieu se leva du pied gauche
J'agonise fort bien, merci.
Qu'est-ce qui fait pleurer les crocodiles ?
La plume d'Oren est fluide, sans accro et la lecture se fait avec facilité. Ajoutée à l'enquête qui nous tiens en haleine jusqu'au bout, on ne voit pas défiler les pages, jusqu'au point final... et quel final !
Et Dieu se leva du pied gauche
Avec "Et Dieu se leva du pied gauche", Oren Miller se rattrape magistralement ! Ce roman est une perle, une pépite. Quand vous pensez comprendre le fin mot de l'histoire, vous êtes encore bien loin de tout savoir. Le schéma global, si cher à Evariste, vous échappera jusqu'au dernier moment, et c'est tellement jouissif ! Ce roman surprend de bout en bout, et le duo Evariste/Isabeau est toujours aussi savoureux.
Bref, un coup de coeur exceptionnel.
Et Dieu se leva du pied gauche