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Eh bien ! Heureusement pour moi, il est très différent du film.
On ressent l'angoisse qu'en arrive la nuit tombe.
La peur, la solitude, la recherche de la survie a tout pris.
J'ai aimé les scènes où il rencontre un chien puis une femme... un espoir... et puis, une fin inattendue comme je les aime.
Bonne lecture !
Je suis une légende
L'examen
Je suis une légende
Chris et Ann se sont rencontrés, se sont aimés... et puis Chris meurt dans un accident de voiture. De l'au-delà, il tente désespérément d'entrer en contact avec Ann, mais celle-ci est complètement réfractaire ne serait-ce qu'à l'idée d'une survie dans l'au-delà et il déploie bien des efforts en vain.
Désespérée, elle met fin à ses jours... et même là, Chris n'arrive toujours pas à accéder à l'esprit de sa bien-aimée.
L'auteur nous décrit des paysages magnifiques et vraiment, on s'y croirait, dans ces "nuages", tellement l'après-vie est parfaitement organisée. C'est simple, comme sur terre, mais en paradisiaque. Il y a même une faramineuse bibliothèque où l'on peut consulter tous les livres qui n'existent pas sur terre. Bref, je prends le prochain train, moi.
Matheson a comme à son habitude mené des recherches approfondies, mêlant informations à parties romancées et le résultat est bfuffant. Il nous parle de moralité, il nous parle d'empathie, toutes les religions sont évoquées. Ce n'est pas facile à décrire, mais un nectar à lire, entre métaphysique, mysticisme, spiritualité...
Bien entendu, notre Chris n'aura de cesse de retrouver sa chère Ann, qu'il ne peut atteindre parce qu'il y a des lois, là-haut (si l'on peut dire), et une hiérarchie et des fautes à expier, des niveaux à atteindre, avant que des âmes ne se retrouvent sur le même plan et puissent communiquer.
Je n'en dirai pas plus parce que l'essentiel du livre est maintenant relaté et qu'il ne reste qu'à se laisser porter par les mots de l'auteur, et même les anges savent qu'il manie admirablement la plume. Un roman génial que je recommande +++
Au-délà de nos rêves
La sinistre maison Belasco vaut son pesant d’or: à la hauteur de sa réputation, elle défie quiconque de vouloir s’y attarder ! Bâtie par Emeric Belasco pour y créer « son propre enfer », le manoir dont les fenêtres ont été murées, est entouré d’étangs et de brume, et possède toutefois un théâtre, une chapelle (infernale), une piscine, un sauna et une salle de bal immense où le propriétaire organisait des fêtes grandioses qui se terminaient en orgies… Florence Tanner la médium ressent d’emblée la malignité des lieux, ne parvient pas à pénétrer dans certaines pièces tant elles résonnent encore des crimes qui y ont été commis. Le calme inquiétant de Fischer qui a déjà connu le pire dans cette maison, devant les premiers phénomènes paranormaux, prouve qu’il est terrifié par cette nouvelle expérience. Le docteur Barrett, accompagné d’Edith son épouse, a pour but de mener à bien ses théories scientifiques sur l’existence d’une vie après la mort, et de rédiger un manuscrit à ce sujet. A l’issue de cette expérience, qui doit durer une semaine, tous pourront se partager la modique somme de 100 000 dollars promis par le milliardaire Deutsch: de quoi être motivé mais la maison les laissera t-elle venir à bout de leur expérience ?
Chaque personnage possède un point de vue différent sur la situation : Fischer qui a déjà connu une expérience traumatisante dans la maison est persuadé que celle-ci et les fantômes qui la hantent ne leur laisseront aucun répit et qu’il faut s’attendre au pire. Barrett quant à lui est équipé d’instruments de mesure pour capter les manifestations paranormales et cherche à prouver scientifiquement l’existence d’un au-delà. Sa théorie s’oppose à celle de Florence Tanner, la médium et spirite pour qui le seul moyen d’entrer en contact avec l’au-delà passe par sa propre personne. Le point de vue d’Edith, l’épouse de Barrett, me semble être celui auquel le lecteur s’identifie le plus facilement. Les yeux fermés, elle souhaite accompagner son mari, telle une assistante, dans ses expériences sans se douter les risques et périls qu’elle va encourir. Très naïvement, le lecteur accompagne les personnages de ce roman sans se douter des horreurs que recèlent ces pages! Une maison pleine de « souvenirs » d’orgies et de démences sadiques, dont l’énergie encore bien présente, va influencer les comportements des invités, féminines notamment : Florence et Edith, dont les traumatismes et les fantasmes interdits vont ressurgir, stimulant comme en un cercle infernal, les esprits cachés dans ces lieux. Publié aux Etats-Unis en 1971, Hell House est devenu un classique de la littérature d’épouvante, il est adapté au cinéma en 1973 sous le titre La maison des damnés.
La Maison des damnés
La Maison des damnés
🦦🦦🦦
Creepy la couverture n'est-ce pas ? Et puis le titre, on comprend bien ce qu'on va avoiirr! Des fantômes, des esprits, de la rate et des boyaux ! Ah non c'est pas la même chose ... Quoique ? (Je vous teassee les loutrons!)🤩
🦦🦦🦦
Aloorss, je vous avais dit que j'étais tellement hââââââte de lire ce livre. Il avait l'air tellement mais tellement bieeenn, j'étais comme une puce je sautais partouuut🤯
Mais, j'ai assez vite déchanté, pas pour le côté horreur qui est clairement bien présent. Mais pour la forme du livre...😬
Je m'explique, vous savez quand on dit : le fond et la forme ? Et bien le fond était top, la forme ... Bah couci couça 🤦♀️ Il y a une virgule qui se balade comme ca, en mode elle fait sa life. Puis t'as une citation. Faites péter les guillemets dites-moi ! J'ai bien le guillemet qui s'ouvre, par contre celui qui est censé se fermer... Bah il s'ouvre encore .... "Chercher l'erreur". Et puis, pourquoi mettre un mot à la place d'un verbe ? C'est sûr que 《comme si les vibrations lui avaient insensibilité la chair《 sonne français ...
🦦🦦🦦
Soiiiit, si on discutait un peu de l'histoire ?🤪
Honnêtement, c'était super sympa. Bien dark, j'ai presque eu des hauts-le-coeur, c'est dire ! 🤢Quelques répétitions de schémas qui, je pense, aurait pu être évité mais bon soit, le dark prend le pas sur ce petit faux pas (je me mets au rime ... )😪
On n'est pas que sur de l'horreur psychologique par contre, il y a aussi pas mal de violence, les conséquences sont plus explicitées que la violence en elle-même. Ce qui m'a clairement bien plu, j'aurais rendu le contenu de mon estomac sinon !🤮
🦦🦦🦦
Bon, en soit, j'ai passé un très bon moment, mais clairement il a été obscurci par les petits problèmes expliqués en haut ...😤
La Maison des damnés
Je m'étais gardé ce recueil, sachant qu'ensuite il n'y en aurait plus d'autres, de ces très courtes mais néanmoins fracassantes nouvelles dont l'auteur nous a enchanté au fil de ces volumes.
Alors en fait j'étais un peu perdue, parce qu'il y a quatre volumes en version originale et cinq pour la France, le cinquième étant celui-ci, censé regrouper l'intégrale de la totalité des nouvelles. Sauf qu'il en manque certaines alors qu'il en contient des inédites.
Mais qu'à cela ne tienne, vu que j'ai lu tous les autres volumes comme d'habitude en anglais et il y a des siècles ou pas loin, chacune fut comme une découverte. En plus, je suis bon public. Je ne sais pas vous, mais il m'arrive de lire un bouquin avec une vague impression de "déjà lu" obsédante, mais à force d'en ingurgiter des quantités industrielles, j'ai oublié des détails, donc je relis quand même. Comme si le temps ne manquait pas. Par contre, pour d'autres, dès les premières lignes, le livre me revient de suite en mémoire quasiment dans son intégralité comme si je l'avais lu la veille.
J'ai donc dégusté ce recueil comme si toutes les nouvelles étaient inédites, le temps et le changement de langue ayant opéré comme par magie, alors qu'en réalité, dans ce recueil contenant 26 nouvelles, seules dix sont inédites.
Le fils de Richard Matheson ouvre le bal par une préface qui nous prouve que bon sang ne saurait mentir et que les gênes du papa n'ont pas sauté une génération. On est dans l'ambiance, la plume est fluide, on sait que les petits fours vont précéder un repas gastronomique, on appréhende un peu les surprises qui nous attendent au tournant... en tout cas, c'est une préface que je n'ai pas "sautée" comme je le fais souvent, je l'avoue, et je conseille à tout nouveau lecteur de faire de même. Inutile de me mentir, je sais qu'on est nombreux à zapper la préface.
S'ensuivent donc les nouvelles par elles-mêmes, très courtes comme je l'ai déjà mentionné, et de tous genres. Matheson a fait exploser toutes les barrières de genres et nous gratifie aussi bien d'un chouia de science-fiction que d'horreur pure, d'horreur plus soft, et même de polar /. thriller; du psychologique, et surtout, mon péché mignon, l'humour noir. J'adore cette façon de mélanger les genres, car nul risque de se lasser même si on lit toutes les nouvelles d'affilée. Quel que soit le genre, je suis restée suspendue aux mots de l'auteur, les tripes collées au bide, scotchée par chaque final.
En bref, je ne regrette nullement d'avoir dégusté ce livre par petites touches, heureuse de retrouver l'univers mathesonien et chaque récit me renvoyant en pensée à toutes mes lectures antérieures, mais si vous n'avez jamais lu l'auteur, cela ne vous empêchera pas d'apprécier cet ultime "tome".
La Touche finale
Je suis une légende
La Maison des damnés
L'auteur lui-même s'excuse de digresser à plusieurs reprises, pour en revenir ensuite à son récit... plutôt bizarre. Sinon donc, c'est l'histoire d'Alex, qui nous relate un peu sa vie. Le démarrage est très lent, sans compter le radotage, et il faudra attendre le milieu du bouquin pour entrer dans le vif du sujet et que le fantastique pointe le bout de son nez.
Alex a perdu un ami pendant la guerre et se rend dans sa ville natale. Là, il découvre toute une petite ville dont les habitants sont plongés et vivent dans un univers de fées, de sorcières. Il s'enfonce alors dans la mystérieuse forêt et se trouve lui-même envoûté par l'environnement.
Il va même y découvrir l'amour... il faut dire que le vieil Alex nous relate sa jeunesse, hein... mais on voyage dans le temps, dans les genres.. entre la guerre, l'amitié, l'amour, l'horreur et la magie.
On peut dire que la seconde partie du livre rattrape la première, mais il faut s'accrocher pour parvenir jusque là. C'est vraiment dommage.
D'autres royaumes
La Maison des damnés
Je mets la liste des titres, parce que je trouve agaçant de ne jamais connaître le contenu des recueils de nouvelles :
1 - Denis GUIOT, Préface
2 - Philip K. DICK, le Père truqué
3 - Robert SHECKLEY, Fantôme V
4 - Richard MATHESON, Journal d'un monstre
5 - Fredric BROWN, Une souris
6 - Ray BRADBURY, L'Heure H
7 - Robert SHECKLEY, Protection
Planète cauchemar
Depuis un peu plus d'un mois j'enchaîne les romans SF et celui-ci est à conseillé à ceux qui connaissent déjà ce genre et à ceux qui veulent se construire une culture littéraire SF. Bref pas de risque d'être déçu en l'achetant.
L'homme qui rétrécit
D'où une légère déception pour les fans qui ont acheté ce volume les yeux fermés, alors qu'il aurait mieux valu qu'ils se procurent ledit Livre d'Or. Il faut dire que les autres nouvelles ne sont pas vraiment de la même qualité, si on veut chipoter... mais on attend toujours des meilleurs, n'est-ce pas.
Donc, à vous de voir. Personnellement j'ai les deux, mais je collectionne toutes les sorties, donc c'est assez logique, et je n'aurais quand même pas voulu passer à côté des écrits même considérés comme mineurs.
Un bon bouquin néanmoins, les bonnes nouvelles y sont, hein. Ça risque juste de faire doublons.
Une aiguille en plein coeur