Tetsuo Hara

Excellent !! Ken est fidèle à lui-même... le suspense et les combats sont toujours aussi passionnant même si on sent que l'on approche de la fin de la série...

Bien, mais là, on s'en la fin approchée... L'histoire commence à redevenir un peu longue... Les combats et les dialogues sont répétitifs... Je vais enfin atteindre le dernier...

Dans ce dernier tome, des combats sanglants... des émotions... du suspense...

Spoiler(cliquez pour révéler)Un happy end...

Au final, c'est une très bonne série qui mérite d'être lu jusqu'au bout...

Je me rappel pourquoi j’ai arrêté les mangas. Les histoires à rallonges, les tomes qui coupent en pleins milieu de l’action, heureusement il y a des exceptions mais dont Ken le survivant ne fait pas parti.

Difficile de vous faire une critique sur la fin d’une histoire dont je n’ai pas lu le début et sur le début d’une autre dont je n’ai pas la fin. Je suis content de voir qu’il reste quelques termes de japonais disséminé dans le tome, j’aurais aimé que la multitude d’insultes le soit aussi pour diversifier mon vocabulaire. Mieux traduit que la version animée qui donne encore de l’urticaire à toute une génération. L’ambiance post-apocalyptique et le méchant au look sorti d’un Mad Max me plaît.

Manga vu en anime pendant mon enfance. L'anime est fidèle au manga. Les dessins des personnages sont correctes avec des scènes de violence un peu brouillonnent peut être pour ne pas choquer. Les dialogues ne sont pas du grand Shakespeare et je ne sais pas pourquoi cela me donnent envie de continuer et de connaitre la fin

Yanwang retourne à Shanghai pour s'engager dans un guerre sans merci contre l'Union du Pavot Sanglant. Il se rend aux jeux de la mort et se fait passer pour Ye sur le Ring afin de venger les hommes du Syndicat que Goran, le champion du ring, a torturés. La supercherie ne passe pas inaperçue par ce dernier qui décide d'utiliser sa technique secrète... Face à Goran et Huang Xifei, le troisième lieutenant de l'Union, notre héros pourra-t-il s'en sortir indemne ?

Un nouveau personnage fait son entrée, le plus puissant des agents de renseignements de l'armée française : le colonel Charles de Guise. La France souhaite purger la ville de Shanghai de la corruption et bien que voulant rester neutre dans ce conflit, le colonel vient en aide à Yanwang. Il leur révèle alors que l'allié le plus précieux du Syndicat est toujours en vie, retenu prisonnier par Wu Donglai, le quatrième lieutenant de l'Union du Pavot Sanglant.

Wu Donglai désirait par dessus tout l'actrice qui se trouvait aux côtés de Pan Guanglin mais après que cette dernière l'ait repoussé, il décide de se venger en capturant l'homme qu'elle aimait. Yanwang part retrouver la jeune actrice qui va lui révéler qui a tué Yuling.

Les douloureux souvenirs du passé refont surface alors que Yanwang doit affronter le Roi des Spectres, l'assassin de Yuling. Notre héros n'avait pas prévu que ce dernier soit un maître du Hokuto. L'adversaire est redoutable pourtant Yanwang va devoir trouver un moyen de s'en sortir s'il veut partir sauver Pan Guanglin.

Entre les membres du Syndicat, les liens ne s'éteignent jamais peu importe le temps qui passe. On ressent vraiment les liens forts et le respect mutuellement qu'ont les personnages entre eux. C'est assez saisissant. J'avais déjà adoré le premier tome mais celui-ci était bien plus intense ! Entre les souvenirs du passé, les combats contre les mastodontes de l'Union et les sentiments de nos héros, on peut dire que c'était un tome complet et riche en émotions.

Le période à laquelle se déroule l'histoire nous plonge dans un contexte historique où les guerres de gangs sont nombreuses et où les combats mélangent arts martiaux et armes à feu. Les affrontements sont rendus épiques grâce aux techniques du Hokuto Shinken utilisant les 708 points de pression du corps humain. Avec cette technique d'assassin notre héros est alors capable d'éliminer quelqu'un sans causer de blessure extérieure.

Kenshiro est un personnage à deux visages. Il se montre terrifiant et impitoyable tel un monstre imbattable lorsqu'il s'agit de tuer des ennemis mais il laisse paraître un côté très sensible et fidèle quand l'un de ses pengyous est en danger, ce qui rend certaines scènes très émouvantes. Nous finissons alors par nous attacher à cette brute au cœur tendre.

Les dessins sont exceptionnels. Ce style si particulier contribue à l'atmosphère du manga, rendant les personnages charismatiques et l'ambiance sombre. Je suis complètement sous le charme des dessins détaillés et des ombres crayonnées. Ce style graphique unique apporte vraiment un plus non négligeable à l'univers du manga.

L'édition est très qualitative. Mangetsu nous propose des tomes de 300 pages avec quelques pages en couleur en début de tome et de toutes nouvelles couvertures bien plus sobres que les couvertures de l'édition originale et je dois dire que j'ai une grosse préférence pour ces nouvelles couvertures.

C'est une très bonne réédition pour découvrir ou redécouvrir l'univers de Soten no Ken.

Le début d'une œuvre culte

Il nous apporte des frissons devant tant de charisme

Je connais ce titre mais de nom. Je ne me suis jamais intéressée à ce titre à vrai dire. Les « vieux » mangas ce n’est pas ma tasse de thé il faut bien l’avouer. Mais quand les maisons d’éditions rééditent dans de nouvelles version les anciens titres comme celui ci et bien je ne peux pas m’empêcher de vouloir le découvrir. Je trouve que c’est justement l’occasion parfaite pour sortir de ma zone de confort. Et là je dois bien avouer que je sors des sentiers battus! Ce n’est clairement pas ce que je lis d’habitude, même si les shonen ça me connaît. Bon en étant tout à fait honnête, ce n’est pas le manga de l’année et je ne suis pas non plus accro mais ce premier tome m’a tout de même plu. Et surtout, il m’a rendu curieuse.

Dans ce premier tome, on se retrouve en année 199X… La Terre a été consumée par l’enfer des flammes atomiques pour se changer en un monde de violence et de mort. Le dernier espoir de l’Humanité réside dans les poings d’un seul homme, au torse orné de sept cicatrices. L’affrontement entre Hokuto Shinken et Nanto Seiken s’apprête à entrer dans la légende…

Esthétiquement parlant, on voit bien que c’est un manga qui date maintenant. Mais malgré ça, je trouve que même en 2023, ce style passe clairement. Contrairement à ce que j’aurais pu penser, ça ne m’a pas dérangé le moins du monde. J’ai même beaucoup aimé ce style. Le coup de crayon du mangaka est vraiment remarquable et il faut le dire. Concernant l’intrigue, si je devais la résumer en un seul mot ça serait : action. Parce qu’il faut le dire, il y en a de l’action! On ne s’ennuie pas une seule seconde et les 300 pages défilent à toute vitesse. On ne les voit clairement pas défiler. Et j’aime ce genre de lecture, celle qui vous tiennent en haleine du début à la fin comme celle ci. Les personnages sont hyper charismatiques ça c’est sur! Hokuto est un personnage incroyable, rien que par sa présence, il dégage quelque chose de fort. Tout comme celui de Seiken d’ailleurs. L’affrontement entre les deux est tellement mythique et incroyable. J’ai vraiment adoré.

Même si ce n’est pas non plus un manga qui m’a envouté et que ce n’est pas non plus un coup de coeur, je suis quand même contente de découvrir enfin l’histoire du fameux Ken le survivant. Ce premier tome m’a plu et il m’a surtout donné envie de découvrir la suite malgré tout. Ça a beau être un titre qui date des années 80, je trouve que ça n’a pas mal vieilli. On sent le style de ces années là c’est sûr, mais ça reste tout de même agréable à lire. Étant donné que j’ai la suite avec moi, je m’en vais de ce pas découvrir le second tome!

Après avoir découvert le premier tome, je me suis aussitôt jetée sur la suite et j’ai dévoré le second tome. Bon ça ne sera jamais le manga que je préfère lire mais ça me fait passer un bon moment. J’aime beaucoup les quelques pages couleurs que l’on retrouve au fil des pages par ci par là. C’est très sobre et en même temps c’est hyper agréable je trouve. Ça apporte un petit truc en plus qui est fort agréable je trouve. J’aime surtout le côté rosé/orangé de la colorisation, c’est ce qui ressort le plus et le rendu est vraiment superbe!

Dans ce second tome,lLa puissance du Hokuto Shinken a permis à Kenshirô de se débarrasser du terrible colonel des Bérets Rouges et fondateur du Golan. L’homme aux sept cicatrices poursuit son chemin sur cette Terre dévastée et, au détour d’un village frappé par la sécheresse, libère l’eau d’une source tarie, redonnant espoir aux habitants. Mais une bande de pillards qui règne dans la région a eu vent de la nouvelle, et compte bien mettre la main sur cet or bleu…

L’histoire est toujours aussi intense, on enchaîne les scènes de combats les unes après les autres. Et c’est surtout toujours aussi passionnant à lire, chaque combat est tout simplement génial à découvrir. On en prend plein le yeux et l’ennui n’a clairement pas sa place dans cette histoire. Pas une seule fois on sent un moment qui devient ennuyant ou long à la lecture. Au contraire, de la première à la dernière page on est tenu en haleine et je trouve ça vraiment génial. J’aime beaucoup le personnage de Hokuto, comme je l’ai déjà dit pour le premier tome, c’est un personnage charismatique mais surtout un personnage qui envoie du lourd. J’aime beaucoup aussi le caractère qu’il a, il vient toujours en aide à ceux qui en ont besoin. Je suis fan de ce genre de personnage d’ailleurs. Ce second tome était plaisant à lire encore une fois et il me tarde de découvrir la suite avec le troisième tome!

Un second tome à la hauteur du premier. L’histoire continue d’avancer à son rythme. On découvre de nouveaux personnages, on continue d’apprendre à découvrir le personnage de Hokuto. C’est surtout le rythme que je retiens dans cette histoire. Un rythme très soutenu avec des combats qui sont vraiment incroyables à lire. J’avais un peu peur de me lancer dans ce manga, un peu peur de ne pas du tout accrocher à cette histoire. Mais finalement je suis surprise, alors certes ce n’est pas non plus un manga qui sera mon préféré non plus mais je passe un bon moment de lecture!