Takeshi Obata

J'ai beaucoup apprécié la lecture de cette série. Toutefois, les 4 derniers tomes , avec l'arrivée du professeur, semblaient trainer en longueur. Je suis satisfaite de la fin, même si je ne suis pas certaine d'avoir compris tous les éléments abordés par nos personnages

☼ Mon avis ☼

Ce qui rend "Bakuman" passionnant dès le début, c'est son immersion immédiate dans les démarches pour devenir mangaka.

On suit Mashiro, le personnage principal, qui partage de nombreuses informations sur son oncle et les coulisses du métier de mangaka.

Il révèle les dérives et la surcharge de travail phénoménale que cela peut entraîner.

Beaucoup de mangakas se tuent à la tâche, ce qui nuit gravement à leur santé, et tout cela sans garantie de succès.

C'est un travail épuisant tant physiquement que mentalement, et les revenus ne sont pas toujours au rendez-vous si le manga ne captive pas les fans sur le long terme.

Pourtant, malgré ces défis, le métier est exercé avec passion et détermination, et on ne peut que remercier les mangakas pour leur courage et leur persévérance.

" Bakuman " se veut très réaliste, apportant une foule de pourcentages et d'informations qui peuvent influencer la décision de se lancer ou de persévérer dans ce métier.

Personnellement, j'ai beaucoup apprécié ce manga.

J'avais déjà vu une grande partie de l'anime, et c'est pourquoi je suis ravie de découvrir cette fois-ci la version papier.

Certes, la motivation de Mashiro pour Azuki peut sembler discutable, mais sa passion pour devenir mangaka existait bien avant cette romance, grâce à son oncle.

Le seul bémol notable est la densité des dialogues, qui peut rapidement lasser et détourner l'intérêt.

J'ai dû faire plusieurs pauses pour digérer toutes les informations fournies !

Globalement, j'aime beaucoup le duo formé par Mashiro et Takagi, leur passion dévorante pour les mangas et leurs objectifs ambitieux qui les poussent à se surpasser.

J'ai également apprécié la référence à Death Note, car le scénariste Tsugumi Ohba et le dessinateur Takeshi Obata de " Bakuman " sont les mêmes créateurs derrière cet univers fascinant.

Leur collaboration apporte une profondeur et une expertise qui enrichissent "Bakuman", rendant l'exploration du monde des mangakas encore plus captivante.

C'est un véritable plaisir de retrouver leur signature artistique et narrative dans un contexte totalement différent mais tout aussi intrigant.

En tout cas, j'ai hâte de découvrir la suite des événements de " Bakuman " et surtout de voir si leur prochain manga va connaître le succès.

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Couverture : 2/2 points

Histoires : 3/4 points

Originalité : 1,25/2 points

Personnages : 2/2 points

Dessins : 1,5/2 points

Dialogue : 0,5/1 point

Fautes d'impressions : 1/1 point

Utilisation des trames : 0,75/1 point

Mon ressenti : 3/5 points

15/20

Asser bien,décevant mais conseille quand même

Manga assez bien par le même auteur de Platinum End et Death Note qui raconte la vie d'un mangakq et les étapes de la publications. Série terminer en 20 tomes.

Un excellent début de série !

Premier anime regardé durant mon adolescence, c'est avec beaucoup de nostalgie que je me plonge enfin dans les mangas qui ont servi de base à l'adaptation animée.

Dans ce premier tome, nous suivons Light, un brillant étudiant qui s'ennuie, découvrant un mystérieux carnet, prénommé Death Note, qui semble être tombé de nulle part. Après plusieurs jours, Light fait la rencontre de l'ancien propriétaire du carnet, un Dieu de la mort nommé Ryûk.

A partir de ce moment, l'histoire démarre pleinement et notre jeune lycéen va laisser parler son idée d'un monde idéal en tuant tous les criminels sans distinction.

Les combats entre Light et L sont très bien retranscrits et tout est très bien détaillé, beaucoup de dialogues qui nous permettent de ne rien manquer des pensées des personnages.

Hâte de lire la suite et Spoiler(cliquez pour révéler)voir ce que Light va encore bien inventer pour connaître les noms des différents enquêteurs qui sont à sa poursuite.

L’intrigue est originale mais j’ai eu du mal avec certains arcs.

Par contre le format du livre audio est génial, avec de multiples voix pour les différents personnages, on est bien plongé dans le livre !

Des petites histoires sympathiques pour compléter l'histoire du Death Note. Un bon ajout pour l'histoire, et j'ai trouvé les réactions des nouveau personnages intéressant vis à vis de ce cahier de la mort. Mais, rien ne vaut l'aventure de Light vs L. Je vais peut être me les relire !

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2024/09/15/platinum-end-t-1-takeshi-obata-tsugumi-oba/

Mirai, désabusé par la vie alors qu’il n’est encore que collégien, décide de mettre fin à ses jours dans ce premier tome de Platinum End. Il est cependant sauvé par Nasse, son ange gardien, qui, pour lui redonner goût à l’existence, lui propose deux précieux cadeaux : des ailes lui permettant de se rendre où il veut à la vitesse de l’éclair, et une flèche amenant quiconque est touché par sa pointe à l’aimer durant 33 jours. En acceptant ces présents, il ne se doute pas qu’il entre en compétition avec douze autres personnes… pour le titre de Dieu.

Je pense que si je n’avais pas su au préalable que ce manga provenait des créateurs de Death Note, je l’aurais quand même deviné. Difficile de passer à côté des similitudes, tant dans le dessin (Mirai ressemble trait pour trait à L, et les anges, de loin, ont une morphologie similaire à celle de Ryûk) que dans l’intrigue.

On retrouve en effet un postulat analogue : un adolescent entré en possession d’un pouvoir de vie ou de mort, accompagné d’une créature divine en charge de lui en expliquer les règles (au fur et à mesure, évidemment), et qui est régulièrement confronté à la morale, ainsi qu’à des questions de bien et de mal.

En même temps, pourquoi changer une formule qui a déjà porté ses fruits ? Elle fonctionnait très bien dans Death Note, alors qu’en est-il ici ? Eh bien… Sans être désagréable ni mauvaise, elle souffre hélas de la comparaison.

Mirai n’est pas Light, il est trop… parfait. Malgré tout ce qu’il a vécu, il ne veut ni se venger, ni abuser de ses nouveaux dons, ni acquérir des privilèges autrement que par son seul travail / mérite. Malgré les interventions de Nasse pour le pousser sur le mauvais chemin, il n’est jamais tiraillé. Il fait toujours les bons choix, les choix les plus éthiques, les plus sages, et s’il a le malheur de s’en écarter, y compris par accident, il est aussitôt rongé par la culpabilité.

Nasse est à mon sens beaucoup plus intéressante. Pour un ange, elle est extrêmement diabolique et enchaîne les suggestions les moins louables. Elle se pose en mauvaise conscience malicieuse de Mirai, mais comme je l’ai évoqué ci-dessus, ça ne prend pas vraiment. Il est trop droit, la tentation ne l’effleure même pas. Pour le moment, ça manque de dilemmes, de conflits psychologiques poussés.

Un manque particulièrement présent du côté de l’antagoniste. Là aussi, on voit s’esquisser le duel à la L / Kira entre Mirai et son futur adversaire, mais l’apparence et le modus operandi de celui-ci m’ont douchée à la seconde où il est apparu, façon super-héros de métal.

De même, je n’ai pas aimé les scènes avec l’humoriste et son harem de jouvencelles à moitié dénudées. D’accord, on a compris, c’est un vil personnage répugnant, mais les illustrations sont clairement plus là pour émoustiller le lectorat que pour leur pertinence scénaristique.

Au final, je ne sais pas trop quoi penser de Platinum End. En dépit de cette critique qui se focalise sur les points négatifs et les « mais », je dirais que j’ai plutôt apprécié ce premier tome, cependant je n’arrive pas à me détacher de Death Note et à le juger en tant qu’œuvre à part entière. En fait, j’ai carrément l’impression de lire un remake / spin-off, qui placerait cette fois L et non Light dans la peau du protagoniste.

Je suppose qu’il ne me reste plus qu’à découvrir la suite pour étoffer mon avis…

Bon tome avec des personnages féminins forts. J'aurai mieux noté le manga si je n'avais pas fait de nombreuses pauses dans ma lecture.

Un très bon premier tome qui met en place les bases, j'ai hâte de découvrir la suite.