Véronique De Bure

Ce livre est l'histoire d'une petite mamie de 90 ans qui nous fait vivre sa vie au gré des ses saisons. Petites retrouvailles entre copines à jouer au bridge et à boire un verre de vin blanc. Mais elle fait également ressortir certaines peurs que l'on peut avoir en devenant vieux, enterrer tous ces amis, la solitude, perte d'autonomie, pouvoir faire moins de choses... Un livre touchant

Un roman tendre et touchant sur les retrouvailles amoureuses d'une veuve de 70 ans.

J'ai préféré le premier roman de l'auteure mais celui ci n'est pas une catastrophe de lecture. J'ai passé un bon moment même si la narration m'a moins plu. Ce roman reste touchant et émouvant

Ce livre est décidément une très jolie surprise ! En lisant les premières pages, j'avais un petit peu peur de ne pas réussir à rentrer dans l'histoire ! Mais dès que l'on arrive dans les premières pages du journal de Jeanne en tant que telles... on se laisse porter par l'histoire qui est à la fois très simple et très complexe ! Pendant une année, nous la suivons dans son quotidien (simple) tout en partageant ses pensées et ses interrogations (complexes) qui ponctuent son quotidien. Être plongée dans l'intimité de Jeanne m'a indéniablement touchée. Je recommande ce livre... à lire avec un thé et un délicieux bol de tomates cerises à portée de main !

déclaration très touchante d'une fille pour sa mère. Livre riche en émotion et qui permet de bien s'identifier à la relation mère fille

Un beau eptit roman qui se lit très facilement ! On suit la vie de Jeanne tout au long d'une année ! Une année remplie de routine mais aussi de questionnements pour elle.

Guremantes, à la recherche de tant de temps perdu, c'était écrit

Si on avait envisagé l'enquête sous cet angle là, le bon biais d'approche en eût été trouvé

Estelle..est-elle ? ou n'est-elle plus, tout le monde sa posa la question pendant des années

M comme Morte ?...M(ou)Z(i)N, question réponse...oui

Z(éro) N(euf)....le 09 janvier elle disparait, enlevée, le I pour 1 en lettre nombre romaine comme janvier intercalée Z(I)N et sera rapidement assassinée car elle avait 09 ans et donc n'atteindrait pas son prochain anniversaire bougie marqué lettre I

Comme un petit ange rappelé par le ciel que donc seul le mal à l'état absolu avait pu réexpédier de ce monde

3 Semaines avant, une petite avait failli être enlevée au même endroit...prénom MEGAN et il suffisait de retirer les lettres de GUERMANTES proustien pour savoir qu'il restait les lettres TUER S pour un tueur en série du S de ce pluriel et obéissant à des pulsion sexuelles RUTES

2003, le code appel international vers la Belgique est 00 32le tueur en série qui y résidait alors en venait et eut comme seul alibi...un coupn de fil anniversaire, le diable en rit encore

Le OU du Où dans Mouzin impliquait le nombre 0 (-I) 9 donc le 08 du numéro des Ardennes aussi

Tout était écrit depuis le départ proustien de cette madeleine de l'amour paternel divin disparue devant cette boulangerie pour lequel toute réponse est toujours dans sa question et dont ce livre est une exceptionnelle démonstration

Une déclaration d'affection et d'amour, à tous les âges de la vie, d'une fille à sa mère. Les "chapitres" étant très courts, nous allons vite en besogne selon moi. Je n'étais pas forcément dedans du début à la fin. Je me garde le roman pour plus tard, quand je serais plus âgée. Il mérite une lecture plus attentive et peut être une maturité émotionnelle.

personnes agées solitude

J'ai passé un très bon moment avec Jeanne, cette gentille mamie qu'on aimerait tous avoir ! Ça donne (presque) envie de vieillir !

Je viens de terminer ce joli livre. Jeanne est attachante, j'ai eu l'impression de retrouver ma Grand-mère. Je ne voulais pas que cela se termine. A la fin des larmes sont venues tellement j'étais triste de quitter Jeanne.

Bravo à l'auteur.