Ilaria Tuti

Retrouver le personnage de Teresa Battaglia est un rendez-vous que je ne manquerai pour rien au monde. Cette femme est d'une grande complexité avec elle on est amené à vivre des moments tragiques mais aussi des moments de grâce. Elle trimballe un passé trouble derrière elle, on commence par cerner de quoi il est question au fil des enquêtes et de ses relations avec son équipe. Alors même si l'intrigue émotionnellement est certainement la plus douloureuse pour Teresa, elle ne m'a pas complètement emportée. Les sauts de temporalité entre le présent, le passé de Teresa étaient bienvenus mais la voix narrative venue du IVe siècle m'a laissé perplexe jusqu'au final. J'ai vraiment apprécié le travail de l'auteure dans l'attachement qu'elle arrive à créer entre le lecteur et son personnage principal. Avec ce roman nous entrons dans le passé de Teresa. Avec un style rythmé et oppressant, la relation bourreau – victime devient un thème à part entière, alors que Giacomo Mainardi, tueur en série, incarcéré de puis vingt-sept ans demande à lui parler. Quel est le lien avec l'affaire ? C'est Teresa qui l'avait arrêté à l'époque, elle débutait sa carrière. Aujourd'hui la maladie avance et Alzheimer ne laissera aucun répit à Teresa, on sait qu'il s'agit de sa dernière enquête . C'est suffise ment rare d'avoir pour personnage principal, une personne malade et terriblement affaiblie. La mémoire est pourtant ce dont elle a besoin pour poursuivre son enquête. Heureusement qu'elle est épaulée par son collègue Marini protecteur et d'une loyauté à toute épreuve. Il est toujours difficile de savoir que l'on est peut-être en train de lire le dernier opus d'une série. Un thriller noir qui se lit avidement, une écriture fluide et maîtrisée autant que son sujet, la dernière page est arrivée trop vite. Bonne lecture.

http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2022/11/13/39692953.html

#Chronique : À la lumière du jour de Ilaria Tuti ➡ ❤❤/5

@editions_pocket

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👉EXTRAIT :

" Elle se l’était murmuré à elle-même, éprouvant de la honte pour une chose qui ne dépendait même pas d’elle, qui ne pourrait jamais constituer une faute. "

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👉MA CHRONIQUE :

Ce que j'en pense :

★★☆☆☆

Chiara est une petite fille de huit ans qui doit être en continuité dans l'obscurité car elle est atteinte d'une rare maladie : la maladie de la lune (maladie héréditaire très rare connue sous le nom de xeroderma pidementosum (XP), les enfants de la lune souffrent d'une hypersensibilité aux rayonnements ultraviolets, qui leur interdit toute exposition au soleil). Cette enfant mystique fait des rêves terrifiants qu'elle pense prémonitoires. Un jour, l'un d'entre eux va réellement attirer son attention au point que sa mère va contacter la police pour leur suggérer d'enquêter sur les faits. Le point de départ est assez peu convaincant puisqu'on se référence seulement à ce que la fillette a vu dans ses songes : un cœur d'enfant enterré au pied d'un arbre.

À la lumière de la nuit est le troisième tome de la saga TERESA BATTAGLIA, le premier étant Sur le toit de l'enfer et le second La nymphe endormie. Je n'ai pas lu les deux premiers opus, mais comme ce sont des romans policiers, je me suis dit que je m'adapterais facilement. Malheureusement, il en a été tout autre puisque je n'ai pas ressenti grand-chose en lisant cette enquête peu entraînante.

C'est vrai que je n'ai pas eu de difficultés à rentrer dans l'histoire ni à cerner les personnages et ça, c'est plutôt une bonne chose, en revanche, j'ai trouvé cette lecture assez floue, difficile à capter et terriblement ennuyeuse. Je n'ai pas réussi à croire en l'histoire, la trouvant vraiment trop lente et improbable.

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Je n'ai pas retrouvé la plume addictive qu'il y a dans "Sur le toit de l'enfer".

J'ai abandonné en cours :-(

Un récit que je n'ai pas trouvé fluide, des passages très longs qui pour moi n'apportent rien à l'histoire.

Des les premières lignes nous sommes plongés dans une atmosphère étrange et angoissante. Chiara est atteinte d’une maladie rare qui l’a contraint à l’obscurité, mais sa vie dans le noir est peuplée de terribles visions. Elle décrit ses rêves,parle d’un enfant enterré qui lui réclame de l’aide. La commissaire Teresa Battiglia mène des recherches vaines mais elle est profondément convaincue que Chiara dit vrai et décide de la croire.

Un thriller court rythmé qui met en scène le même personnage pour la 3eme fois. Je n’avais pas lu les opus précédents et cela ne m’a pas dérangé mais c’est peut être un peu dommage de débuter par celui ci. L’écriture d’Ilaria Tutti est assez singulière, très imagée, elle nous plonge immédiatement dans une ambiance glauque et angoissante. Le personnage principal est intéressant mais il m’a sûrement manqué des éléments pour la trouver attachante.

Au final c’était une lecture agréable.

J'ai eu un peu de mal la moitié du livre car je n'arrivai pas à refaire le lien avec le premier tome mais j'ai bien aimé la deuxième moitié de l'enquête et son dénouement. Je lirai les autres livres d'Ilaria Tuti.

Une histoire intéressante car elle relate une situation peu connue de la 1ere guerre mondiale, entre Italiens et Autrichiens. La description de ces femmes porteuses, qui fournissaient du matériel, des armes aux soldats, au péril de leur vie, est très touchante. Elle se déroule dans un milieu ingrat, en haute montagne, où là aussi on trouve des tranchées.

Ce récit confirme la boucherie qu'a été cette guerre, même aux confins de contrées inhospitalières.

Le style peut être très poétique, des descriptions un peu longues néanmoins...

Elle nous gâte avec une belle histoire d'amour improbable, malgré les horreurs qui se déroulent. J'ai apprécié ce roman, dommage pour les quelques longueurs. Beaucoup d'implicite aussi.

Je suis une fan de Donato Carrisi, c'est pour sa que on m'a dit de lire ce livre. Et non je trouve que a part l'aspect très sombre je ne vois pas d'autres similitudes. Sinon histoire simple mais efficace le personnage féminin principal horripilant pas trop accroché. L'univers bien écrit

Un thriller qui se lit vite avec un personnage de femme commissaire horripilante mais fine "profileuse".

L'intrigue met du temps à s'installer, puis tout s'enchaine jusqu'à la résolution qui apparait sans surprise, évidante.

Un thriller qui se lit vite avec une personnage de femme commissaire horripilante mais fine "profileuse". L'intrigue met du temps à s'installer, puis tout s'enchaine jusqu'à une résolution qui apparait, sans surprise