Jean-Christophe Grangé
Auteur

Activité et points forts
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.77/10Nombre d'évaluations : 2 867
2 Citations 1 508 Commentaires sur ses livres
Interview
Les derniers commentaires sur ses livres

Que dire du tome 2...
Beaucoup de choses... Déjà, je pense qu'il est à lire dans la foulée, car il y a une certaine complexité du fil de l'histoire et la redondance des personnages fait que on aurait tendance à oublier certains personnages !
Sinon, l'histoire, les personnages, les lieux... Tout est superbement développé à merveille... Merci Mr Jean-Christophe Grangé, tout est détaillé, on sent une recherche détaillée des lieux, des années où l'histoire se déroule ; les personnes sont aussi décrits de façon spectaculaire.
L'écriture est quant à elle fouillée, détaillée... L'auteur utilise les figures de style en veux-tu en voilà... Il y a aussi beaucoup de repères sur les années 80-85... Quant à la musique notamment...
Attention, il s'agit d'un roman noir, ne pas avoir peur de l'hémoglobine et des démembrements... Ha ha ha...
Afficher en entier
Bonjour,
Tome 1 / 2
La marque de fabrique du début de J-C Grangé comme je les aime.
1982, le cancer gay
Page Turner, humour, historique, documentation très fouillée, divertissant.
Rebondissements, révélations.
Hard de débauche et de liberté ... cela ne va pas plaire à tous le monde !
A vous ...
Afficher en entier
Voilà bien une écoute qui me laisse sur ma faim ... les romans de cet auteur font partie de mes premières écoutes de livres audio et autant vous dire que j'étais totalement accro à sa plume.
Alors quand la possibilité d'obtenir ce SP s'est présentée, je n'ai pas pû résister.
La narration m'a plut, j'ai apprécié me plonger dans cet univers des années 80, et même si j'étais jeune à l'époque, les sujets abordés, les cercles gay, l'émergence du Sida sur fond de thriller sombre, assaisonner de la complexité cher à Grangé.
J'ai fini cette lecture début février et à ce jour je n'ai toujours pas décidé si je vais poursuivre la lecture avec la 2e partie, j'ai trouvé ce 1er tome, très long et j'ai beaucoup de mal à voir où l'auteur souhaite nous emmener. C'est ce que j'aime en général dans ses romans c'est qu'il parvient à susciter suffisamment mon intérêt pour me laisser porter et vivre pleinement la surprise du dénouement.
Cependant, ici, il n'est pas parvenu à m'entraîner à sa suite, donc j'oscille entre faire confiance et plonger dans le second tome ou abandonner et ne jamais connaître le dénouement.
Afficher en entier
Même si le sujet et le contexte ne m’intéressent pas, le scénario est bien ficelé et raconté de belle façon comme sait bien le faire Jean-Christophe Grangé.
Afficher en entier
Paris, début des années 1980. Le livre de Jean-Christophe Grangé s’inscrit dans un contexte bien particulier, celui des débuts de l’épidémie du sida en France. L’actualité réelle de l’époque, la capitale et sa vie nocturne servent de cadre à une enquête policière. Trois personnages qui à priori n’ont rien en commun se rencontrent et mènent les investigations. D’abord, il y a Daniel Ségur, médecin quinquagénaire passionné par son métier. Amoureux de l’Afrique, il a vécu de façon très spartiate pour sauver les plus humbles. Il a passé une bonne partie de sa carrière sur le terrain, sur tous les fronts difficiles, ce qui lui a apporté l’expérience, la compassion pour les humains et le goût d’aider son prochain. Revenu dans son pays, il exerce dans une clinique. Ses patients appartiennent à la communauté homosexuelle. Ségur les soigne avec dévouement, sans préjugés. Au quotidien, il traite des maladies sexuellement transmissibles avec succès, jusqu’au jour où il se trouve face à une nouvelle affection dite le « cancer gay ». Impuissant à guérir ce virus méconnu, il n’hésite pas à s’informer, à faire appel à des chercheurs amis afin de trouver une solution. Il craint une hécatombe future et se démène pour essayer de trouver (en vain) un remède. L’histoire commence avec l’un des patients du Dr Ségur. Lycéen de Terminale à peine majeur, originaire du Chili, Federico étudie à Paris depuis peu. Ses parents l’ont envoyé en exil en raison de son homosexualité. Le beau brun ténébreux ne se concentre pas sur ses examens. Il préfère séduire les hommes dans les boites de nuit, multiplier les conquêtes, sortir et s’amuser. Mais sa beauté se fane car il est atteint du sida. Sa camarade de classe et meilleure amie, Heidi Becker, qui partageait ses virées nocturnes, ne l’abandonne pas. Très attachée à son âme sœur, elle lui sert d’aide-soignante pleine d’abnégation. Jeune réfugiée politique argentine vivant avec sa mère droguée qu’elle prend en charge, elle ne se cherche pas des amants ou des clients (car elle ne se prostitue pas). Avec Federico, elle organise des combines louches. Ensemble, ils font chanter quelques hommes qui ont fréquenté le jeune homme afin d’obtenir un peu d’argent. Heidi Becker est pourtant brillante, a de bons résultats scolaires et s’apprête à passer le baccalauréat. Sa fréquentation du monde de la nuit est en pause car son ami qui est au stade ultime de la maladie a besoin d’elle. Mais un jour, l’impensable arrive : la police découvre le cadavre atrocement mutilé de Federico. Le jeune homme baigne dans son sang, dépecé et du caoutchouc brûlé à l’intérieur de la bouche. Le meurtrier l’a torturé. Qui donc s’est acharné sur un garçon qui allait mourir ? L’inspecteur Patrick Swift se le demande bien. Décidé à trouver la vérité, il insiste pour avoir la responsabilité de l’affaire. Il faut dire que l’inspecteur trentenaire a un lourd passé qui l’invite à la tolérance. Fruit d’une relation entre deux patients d’un hôpital psychiatrique, placé en famille d’accueil, il échappe à la petite délinquance en s’engageant dans la police. Beau, à la dernière mode des années 1980, il a un certain style. Quand il voit le cadavre de Federico, il s’en émeut. Il doit trouver le coupable. Avec son adjoint dit « Mezz » qui se prend pour un inspecteur sorti tout droit des films de Jean-Paul Belmondo, il cherche… Et là, tout s’enchaîne : Patrick Swift trouve Daniel Ségur et Heidi Beck. Le trio improbable est tout de même lié par la souffrance. Tous l’ont subie de plein fouet. Leur expérience douloureuse leur permet de s’entendre et de sympathiser malgré leurs différences. Alors, la véritable enquête débute…
Je ne révèlerai pas ici l’élément de l’intrigue afin de ne pas gâcher l’effet de surprise. De plus, les précisions que je vais apporter méritent le « carré blanc » (vous savez, le fameux petit rectangle blanc qui apparaissait au bas des images des films interdits aux moins de 18 ans pour signaler la violence, la sexualité et qui étaient diffusés sur la chaîne de l’ORTF en 1961). Mais vous pourrez trouver sur mon blog la suite de ce commentaire, plus complet :
https://allebei.blogspot.com/2025/04/sans-soleil-disco-inferno.html
Jean-Christophe Grangé avait une vingtaine d’années durant les fameuses années 1980. Il a donc vécu l’ambiance de peur collective qui entoure les épidémies que l’on ne sait pas éliminer. Il a vu les gens se méfier les uns des autres, la stigmatisation injuste qui ciblait une communauté qui a payé un lourd tribut, au même titre que le reste de l’humanité. Il décrit à la perfection l’atmosphère délétère. Il présente le milieu gay branché. Le lecteur s’y croirait presque : il est téléporté dans un décor d’un autre temps et c’est juste bluffant. J’ai apprécié cette histoire qui malgré ses côtés macabres tient vraiment en haleine et donne envie de découvrir qui est le meurtrier ignoble. Un coupable est bien mis hors d’état de nuire. Mais est-ce le bon assassin ? Pour le savoir, le faut lire le second tome de « Sans Soleil », ce que je vais m’empresser de faire tellement j’ai trouvé le livre intéressant.
Afficher en entier
J’avais aimé le premier tome. Mais c’est dans ce deuxième tome que l’auteur exploite pleinement son talent. La diversion qu’il fait vers l’Afrique est en plus très intéressante. Et il sait nous surprendre avec la dernière partie du livre dans laquelle il nous livre la solution de l’énigme de façon magistrale.
Afficher en entier
Paris, années 1980. Trois ans se sont écoulés depuis la mort du « Tueur des tasses », soupçonné d’avoir dépecé le beau Federico, un jeune lycéen chilien atteint du sida et en phase terminale de sa maladie et ainsi que d’autres membres de la communauté gay. La vie continue pour Daniel Ségur, Heidi Becker et Patrick Swift qui n’ont pas gardé de contacts après leur malheureuse aventure. Poursuivre un tueur en série a été une épreuve bouleversante. Depuis, l’existence leur paraît banale et fade. Daniel, le médecin soigne les malades avec dévouement mais reste très affecté par la propagation du virus que personne ne semble pouvoir arrêter. Après avoir obtenu son bac, Heidi s’est inscrite à la faculté de Nanterre en économie, a réussi sa licence qui ne la passionne pas et pense faire un master. Comme elle, Patrick le policier s’ennuie. En revanche, il rumine sans cesse. Quelque chose ne le convainc pas. Pour lui, l’amant violent de Federico ne lui paraît pas être le tueur à la machette. Certes, il torturait son petit-ami par jalousie, volait les hommes âgés en quête de rencontres masculines et les tuait. Seulement, pour lui, le défunt sadique et l’assassin redoutable qui massacre les personnalités gay malades ne sont pas une seule et unique personne. Il a beau se creuser la cervelle, il ne trouve pas de solution. Parfois, il regrette Heidi et Daniel qui comme lui restent chacun dans leur coin. Soudain, l’opportunité d’une réunion entre les trois anciens acolytes se présente. Heidi passe les fêtes de Noël à Tanger dans la luxueuse villa de Marcel Caroco, seule avec son hôte l’exception d’une armée de serviteurs marocains. Le publicitaire profite du calme car ses jours sont comptés. Malade du sida, il va bientôt mourir. Une nuit, Heidi se sent mal et sombre dans un sommeil très profond. Le lendemain, elle trouve le corps dépecé de Marcel. Le tueur à la machette est donc revenu. Prise de panique, la jeune fille téléphone à Patrick Swift. Sans aucune hésitation, il vient l’aider et ensuite, tout s’enchaîne. Daniel Ségur se joint à eux pour une nouvelle aventure. Cette fois-ci, l’auteur n’entraîne pas les lecteurs dans le milieu des nuits parisiennes de la communauté gay. La traque au tueur à la machette commence au Maroc, passe par l’Algérie, continue au Zaïre et se termine à Haïti. Le lecteur voit du pays !
Je ne révèlerai pas ici l’élément de l’intrigue afin de ne pas gâcher l’effet de surprise. Mais vous pourrez trouver sur mon blog la suite de ce commentaire, plus complet :
https://allebei.blogspot.com/2025/04/sans-soleil-le-roi-des-ombres.html
En attendant, j’ai apprécié « Le Roi des Ombres » plein de suspens et de rebondissements. Grâce à cette suite de « Disco Inferno », on comprend davantage l’origine du « mal », à savoir les crimes (et non pas la maladie). Donc, la lecture de ce tome est indispensable. Je la conseille.
Afficher en entier
Enfin un livre de Grangé à la hauteur de ses débuts.
L'écriture est nerveuse, l'ambiance lourde, poisseuse .
Les personnages ne sont pas tous travaillés aussi profondément mais j'imagine que le second tome va apporter quelques réponses .
Une réussite . Place à la suite maintenant .
Afficher en entier
Je viens de terminer la dernière phrase et je dois avouer que je suis... un peu retournée. L'univers oppressant touche à son paroxisme dans ce deuxième tome et encore plus dans les derniers chapitres. Et si, au cours des deux livres, j'ai trouvé que l'histoire était plutôt lente, sans réel fil conducteur, le rythme vers la fin s'accélère. Peut-être parce que le mystère n'en est plus un et que tout s'explique petit à petit. J'ai préféré ce tome car, même si la violence est là, l'atmosphère est moins glauque que dans le premier. On retrouve notre flic "perdu" qui avance sans jamais vraiment savoir où il va finalement. Mon regret ou plutôt ce qui me laisse un peu sur ma faim :
Spoiler(cliquez pour révéler)c'est que ce n'est pas lui qui conclut l'enquête. Même si c'est lui qui découvre l'identité du tueur, il n'est pas là pour la conclusion. Ce sont ceux qu'ils l'ont accompagné de force tout au long des deux tomes qui font la fin. Dommage...
Afficher en entier
Un peu mitigé sur ce premier tome. L'univers est très, très glauque et à la fin, cel a m'a empêché de me plonger dans l'enquête. Les personnages se mouvent dans cet enfer, sans en faire partie réellement, sans connexion réelle entre eux non plus. Ils sont tous un peu paumés à leur façon : le flic sans attache privée ou professionnelle ; le médecin au lourd passif, face à une maladie qui le dépasse mais qu'il pense très dangereuse ; la gamine, dont l'ami vient de se faire assassiner et qui se retrouve embringuée dans l'enquête de force mais sans s'y intéresser vraiment. L'enquête est résolue mais sans que j'ai réellement compris comment les éléments se sont enchaînés pour arriver à la conclusion. Je reste un peu perplexe et attend le prochain tome et la fin de cette histoire. Je dois reconnaître cependant une chose : c'est que J.C. GRANGE a parfaitement su créer son atmosphère. Son écriture est sublime sur ce point.
Afficher en entierOn parle de Jean-Christophe Grangé ici :
2020-07-09T23:16:41+02:00
2018-12-14T00:15:42+01:00
2018-11-16T15:55:28+01:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2012-03-17T14:21:31+01:00
2011-08-31T22:35:57+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Jean-Christophe Grangé
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Albin Michel : 25 livres
LGF - Le Livre de Poche : 18 livres
Audiolib : 5 livres
France Loisirs : 4 livres
VDB : 4 livres
The Harvill Press : 3 livres
Drugstore : 3 livres
Le Grand livre du mois : 2 livres
Biographie
Jean-Christophe Grangé est né en 1961 à Paris. Après une maîtrise de lettres à la Sorbonne, il devient rédacteur publicitaire, puis travaille pour une agence de presse. A partir de 1989, il parcourt le globe pour réaliser ses premiers reportages, travaillant pour des journaux et magazines variés et internationaux, parmi lesquels Paris-Match, le Sunday Times ou le National Geographic.
Devenu journaliste free-lance, Jean-Christophe Grangé fonde sa propre agence, L & G, et finance lui-même ses expéditions aux quatre coins du monde. Ces reportages, qui constitueront par la suite une source d'inspiration considérable à l'écrivain, lui permettent de récolter au passage les plus importantes consécrations de la profession, le Prix Reuter et le Prix World Press.
En 1994, Jean-Christophe Grangé entame sa carrière littéraire avec Le Vol des Cigognes. Bien que ce premier roman soit passé quasiment inaperçu aux yeux du public au moment de sa sortie, l'auteur est remarqué par la critique pour son imagination fertile, et enchaîne en 1998 avec Les rivières pourpres, qui connaîtra cette fois un large succès et assurera à Jean-Christophe Grangé la célébrité.
En 2000 paraît Le Concile de Pierre. En 2003, il publie L'Empire des loups et en 2004 sort La Ligne noire. Au niveau des ventes, le succès ne se dément pas. Traduits en 18 langues, les romans de celui qu'on compare à un "Stephen King français" se sont déjà vendus à plus d'un million d'exemplaires. Vient ensuite Le Serment des Limbes sorti en 2007.
Parallèlement à sa carrière de romancier, il continue à travailler pour le cinéma : outre le scénario original des Rivières pourpres déjà cité, il a également écrit celui de Vidocq (de Jean-Christophe Comar dit Pitof en 2001) et a collaboré à toutes les réalisations ou projets tirés de ses romans.
Alors qu'il déclare ne plus vouloir faire de scénarios originaux pour le cinéma, il s'est lancé dans l'écriture d'une histoire originale pour une bande dessinée La Malédiction de Zener (de Philippe Adamov)
Il écrit actuellement une trilogie de romans sur la « compréhension du mal sous toutes ses formes », commencée par La Ligne noire en 2004, suivi de Le Serment des Limbes (mars 2007). Quant au dernier roman de la trilogie, il s'agira, selon l'auteur, d'« une remontée vers le Mal primitif et préhistorique ».
Il sort Miserere en 2008. La Forêt des Mânes doit sortir le 2 septembre 2009 (fin de la trilogie du mal, après la Ligne Noire et le Serment des Limbes).
Afficher en entier