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Extrait ajouté par HeathOnly 2016-12-13T19:40:42+01:00

"Je venais juste de rencontrer ce garçon. Ce n'était pas comme s'il avait compté pour moi. Je crois que c'était surtout l'idée de lui qui m'attirait. J'avais désespérément besoin que quelqu'un prenne soin de moi, me dise que tout finirait par bien se passer, m'enlace, me touche, et m'aide à me sentir mieux."

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Extrait ajouté par HeathOnly 2016-12-13T19:37:31+01:00

"On s'est serrés dans les bras l'un de l'autre, et j'étais sur le point de tourner les talons pour partir quand j'ai pensé : Oh et puis merde !, avant de prendre le taureau par les cornes/le garçon par les couilles."

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Extrait ajouté par Rachel851 2015-05-30T22:38:43+02:00

Parfois, il m'arrivait même de me réjouir qu'il soit mort, juste pour ne pas avoir à contempler l'expression de son visage les nuits où je rentrais à la maison en titubant, complètement ivre, mes vêtements dans un état pitoyable et les lèvres tout irritées à force d'avoir embrassé des inconnus.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-10-29T01:06:22+01:00

« Réponds-moi, putain ! Qui es-tu, à la fin ? »

Ethan a laissé retomber sa main. Elle était pleine de sang, à présent. Cette vision m’a déroutée et un peu écœurée. Il a ouvert la bouche pour dire quelque chose avant de s’interrompre de lui-même. Et de reprendre :

« Tu sais qui je suis. Tu me connais. »

J’étais trop étonnée pour parler. Une vague de fatigue m’a soudain engloutie, au point que j’ai dû réprimer un bâillement. J’avais tellement de questions à lui poser, mais à quoi bon ? J’avais l’impression d’avoir déjà perdu la bataille. Ethan a lâché :

« Tu es fatiguée, Grace. Tu devrais te reposer. »

J’y ai consenti et me suis glissée sous les couvertures. J’ai entendu la porte s’ouvrir puis se refermer, et j’ai marmonné à voix basse pour moi-même un

« Je ne sais pas du tout qui tu es, je ne comprends plus rien à rien ».

Ensuite… Eh bien, je sais que ça va peut-être paraître cinglé, mais il faut me comprendre, j’ai des circonstances atténuantes…Ensuite, j’ai surpris la voix d’Ethan dans ma tête. Ce n’était pas mon imagination – je l’entendais vraiment. Alors qu’il n’était plus dans la chambre. Sincèrement – j’ai vérifié. Je jure sur ma vie que c’était le cas. Et voici ce qu’Ethan-dans-ma-tête se disait à lui-même :

« Tu en sais beaucoup plus que tu ne le penses. Tout ce que tu as à faire, c’est te souvenir. »

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-10-29T01:04:25+01:00

J’ai oublié qu’Ethan se trouvait là. Il est tellement silencieux. Enfin, sauf depuis qu’il chantonne à voix basse. J’ai entendu cette chanson quelque part, d’ailleurs, j’en suis certaine. Qu’est-ce que c’est déjà ? Argh ! Ça me rend dingue. J’ai posé la question à Ethan. Il m’a regardée, surpris, comme si je l’avais réveillé en plein rêve. J’ai dû me répéter.

« Quelle chanson ?

— Heu… celle que tu chantonnes depuis je ne sais combien de temps.

— Oh…

— Alors, c’est quoi ? Tu dois bien le savoir. »

Il a secoué la tête lentement.

« Je ne m’étais même pas rendu compte que je chantonnais. Désolé. Ça te dérange, peut-être ?

— Non, absolument pas. C’est juste que cet air me dit quelque chose et ça me rend dingue.

— Je me demande où tu as pu l’entendre.

— Hé, c’est toi qui es censé savoir ça ! Ça nous aiderait, si tu pouvais t’en souvenir. »

Je me sentais contrariée. Je ne sais pas pourquoi ; ce n’était qu’une chanson. Pourquoi est-ce qu’elle comptait autant, tout à coup ?

« Je suis désolé, Grace. »

J’ai soupiré.

« Laisse tomber. Ce n’est pas grave. Sincèrement.

— Tu es sûre ? »

Ethan a soudain eu l’air très sérieux.

« Ce n’est qu’une chanson. Comment est-ce que ça pourrait être important ?

— Tout l’est, le moindre détail. Ce sont même les détails qui comptent le plus, parfois, tu sais. »

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-10-29T01:03:28+01:00

Une fois Ethan sorti, j’ai réfléchi à notre conversation, ce qui m’a permis de remarquer une chose concernant sa façon de parler. Il dit TRÈS SOUVENT mon prénom. Je trouve ça même un peu étrange. Je veux dire, c’est normal, d’appeler quelqu’un par son prénom de temps à autre, mais pas de le répéter tout le temps. Là, c’est carrément flippant. Je me demande pourquoi il fait ça, ou s’il s’en rend au moins compte. C’est comme s’il cherchait à me rappeler qui je suis. Au cas où je l’oublierais, enfermée depuis tant de jours dans cette étrange pièce blanche. Papa avait l’habitude de dire mon prénom souvent, lui aussi. Je pense qu’il aimait la façon dont il sonnait. Parfois, il m’appelait Gracie chérie. Ça me hérissait littéralement le poil, mais je laissais faire, parce que c’était papa. Je crois qu’il a arrêté de m’appeler comme ça quand je suis entrée au collège. Je n’ai rien remarqué de spécial, sur le moment. J’imagine qu’il a dû peu à peu cesser de le faire – une concession au fait que sa petite fille était en train de grandir. J’aurais tout donné pour l’entendre le dire encore une fois. L’entendre dire n’importe quoi, même. Ou juste le voir assis sur sa vieille chaise en cuir toute miteuse, concentré sur ses mots croisés, sourcils froncés. J’aurais vraiment tout donné pour ça.

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Extrait ajouté par Clarii 2013-06-03T17:24:33+02:00

"Encore un autre rêve.

J’étais étendue sur mon lit dans mon ancienne maison en train de parcourir les pages d’un magazine lorsque j’ai vaguement entendu maman crier que le dîner était servi. Pendant deux minutes, j’ai fait comme si je ne l’entendais pas et j’ai poursuivi ma lecture. Puis papa a lancé : « À table, Grace ! » Je savais que je devais descendre, mais je n’en avais aucune envie. Si seulement je pouvais rester dans ma chambre, la vie serait parfaite. Une autre minute s’est écoulée puis mon père a passé la tête par la porte. « Grace chérie, si tu n’es pas à table dans les trente secondes qui arrivent, j’attaque les patates au four. Et ensuite, je m’attaque au pudding… » J’ai levé les yeux de mon magazine, souri et dit : « Dans tes rêves ! Le premier arrivé en bas… ! » Papa a lancé : « Tu as déjà perdu ! » avant de disparaître de mon champ de vision.

Alors que je m’apprêtais à bondir de mon lit, j’ai jeté un dernier coup d’œil à la revue. Sauf que ce n’était plus une revue. C’était un double du journal local. Il y avait une photo de papa en une. J’ai essayé de déchiffrer les gros titres, mais ils n’avaient aucun sens. Les mots formaient des lignes qui se tortillaient. Elles se tordaient comme des vers. J’ai paniqué. Pourquoi est-ce que je n’arrivais pas à lire ? Je savais lire. Peut-être qu’avec des lunettes… Il y en avait une paire sur la table de nuit, mais je n’en portais pas, d’habitude, alors j’ai trouvé ça franchement bizarre. Je les ai attrapées. C’était celles que papa mettait pour lire, mais je les ai chaussées quand même. Un des verres était cassé. J’ai jeté un coup d’œil circulaire dans ma chambre : tout était fissuré, bousillé. J’ai soudain eu l’impression que j’allais vomir.

Je me suis réveillée et je me suis mise en boule contre le mur, ruisselante de sueur. J’ai à peine eu le temps d’atteindre la salle de bains avant que le contenu de mon estomac remonte dans ma gorge. J’ai toussé et crachoté en m’étranglant à moitié. Des larmes ont commencé à rouler le long de mes joues, puis je me suis étendue, tremblante, sur le sol de la salle de bains. Ce rêve m’avait paru si réel. Papa avait été là devant moi, bien vivant, à rire, les yeux plissés. Une douleur lancinante me poignardait la poitrine. C’était comme si on m’avait frappée en plein cœur ou quelque chose dans le genre. J’ai laissé retomber ma tête contre les carreaux en céramique bien frais. J’avais l’impression de sentir le sang palpiter à l’intérieur de mon crâne, mon pouls battre à une allure folle, et mon estomac se soulever de nouveau. Je me suis demandé si j’allais mourir. J’ai dû m’évanouir après ça."

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Extrait ajouté par Clarii 2013-05-30T21:27:35+02:00

"C'est tellement facile de s'imaginer que les vies des personnes qui comptent pour nous s'arrêtent dès lors que nous ne nous trouvons plus près d'elles. Que ces personnes ne vivraient vraiment que lorsqu'elles seraient avec nous, et qu'elles n'existeraient pas sans nous."

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Extrait ajouté par Prilla 2013-02-13T19:33:11+01:00

Je commence vraiment à perdre espoir.

L'espoir. Je ne vois plus très bien ce que je pourrais espérer, désormais.

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Extrait ajouté par Ambrozia 2013-01-16T19:11:30+01:00

” C’est tellement facile de s’imaginer que les vies des personnes qui comptent pour nous s’arrêtent dès lors que nous ne nous trouvons plus près d’elles. Que ces personnes ne vivraient vraiment que lorsqu’elles seraient avec nous, et qu’elles n’existeraient pas sans nous. “

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