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"J’ai découvert que les gens sont constitués de multiples couches de secrets. On croit les connaître, les comprendre, mais leurs motivations nous restent toujours cachées, enfouies au fond de leur cœur. On ne peut jamais savoir qui ils sont vraiment. Mais on peut parfois décider de leur faire confiance."
Afficher en entier"J'ai su, à sa manière de la regarder, qu'il avait encore plus d'estime pour elle qu'il n'en avait pour lui-même. Il appréciait toute l'étendue de la bonté de ma mère, libéré de l'égoïsme ou de l'insécurité qui limitent si souvent notre vision. Peut-être un tel amour n'est-il possible que chez les Altruistes. Je l'ignore."
Afficher en entier"Je ne le regarderai pas - je refuse de le regarder.
Je le regarde."
Afficher en entier"Jai un message pour les Divergents.
Je suis une Divergente.
Il ne s'agit pas d'une négociation.
Non, en effet.
C'est un avertissement.
J'ai compris.
Ceci se reproduira...
Ca n'arrivera plus jamais.
...Tous les deux jours, jusqu'à ce que l'un de vous se livre au siège des Erudits.
J'irai"
Afficher en entier"-Détends-toi, Beatrice, me dit Marcus. J'ai déjà conduit une voiture.
-J'ai déjà fait des tas de trucs, moi aussi, mais ce n'est pas pour autant que je les fais bien!"
Afficher en entier"-T'es complètement malade, lui dit Tobias. Le monde ne marche pas comme ça, en comptant les points entre les gens.
Peter lève les sourcils.
-Je ne sais pas dans quel monde tu vis, toi, mais dans le mien, les gens n'ont que deux raisons de faire un truc pour toi. Soit ils attendent quelque chose en retour, soit ils ont le sentiment qu'ils te le doivent."
Afficher en entier"Les Sincères louent les vertus de la vérité, mais ils ne parlent jamais de son prix."
Afficher en entier"Je voudrais frapper sa poitrine avec mes poings, comme une gamine qui pique une colère. J'ai les joues baignées de larmes et je sais que je me conduis comme une idiote, mais c'est plus fort que moi."
Afficher en entierEt ça me paraît vraiment complètement stupide de coller son poing dans la figure de quelqu’un. C’est comme une caresse, mais trop forte. Une caresse, c’est bien plus gentil. J’aurais peut-être mieux fait de laisser ma main glisser sur le bras de Peter. Ç’aurait été plus agréable pour nous deux. Et je n’aurais pas mal aux doigts.Je me lève et titube vers la porte. Je dois m’appuyer au mur pour garder l’équilibre, mais comme il est solide, ça n’est pas un problème. J’avance d’un pas incertain dans le couloir, en gloussant de mon incapacité à me tenir droite. Je suis redevenue aussi godiche que quand j’étais petite. Ma mère me disait souvent en souriant : « Fais attention où tu poses les pieds, Beatrice. Je ne voudrais pas que tu te fasses mal. .
Afficher en entierCe serait typique des Fraternels : m’isoler, avant de me montrer la technique des respirations purifiantes ou des pensées positives.La pièce est si lumineuse que je dois plisser les yeux. Le mur d’en face est percé de larges fenêtres donnant sur le verger. Malgré cela, elle paraît confinée, sans doute parce que le plafond, comme le sol et les murs, est tapissé de lambris.– Assieds-toi, s’il te plaît, m’enjoint l’homme aux cheveux gris en me désignant un tabouret au milieu de la pièce.
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