(Bellamy)

Octavia est la seule personne au monde qui le connaisse vraiment. Ça ne lui ferait ni chaud ni froid s'il devait ne plus jamais revoir qui que ce soit d'autre.
Mais lorsqu'il observe Clarke à la dérobée, le nez plongé dans la corolle d'une fleur d'un rose fuchsia, le soleil se reflétant dans ses cheveux blonds, toutes ses certitudes s'évanouissent.

L'amour est un sentiment égoïste. Si tu le désires réellement, tu n'as aucune raison de culpabiliser.

Nous sommes tous des cœurs mis à nu, dont les actions sont dictées par nos vraies natures. Toute dissimulation est inutile. Et toi non plus, tu n'arriveras pas à retenir tes larmes.

Quelques gouttes commencèrent à pleurer des nuages lourds qui encombraient le ciel. Ce fut rapidement une averse qui tomba sur Aidô, toujours perdu dans sa douleur. Comme une douche salvatrice et purificatrice de toute cette saleté, il aurait voulu que le ciel pleure pour lui encore et encore. Il regardait le sable laissé par le corps de Fûka se faire emporter par la pluie puis disparaître dans le sol, effaçant les dernières traces de son malheur. (...)
- Au revoir Fûka.

ARTEMIS
J'exige peu de chose.
La vie d'une fille.
Le sang pur d'une gorge virginale.

PLUSIEURS DIEUX
D'accord d'accord. Un sacrifice un sacrifice !