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Extrait ajouté par stinejum 2019-07-11T23:41:37+02:00

Il n'y a vraiment rien de plus magique que ce qu'on peut trouver dans les pages d'un livre. La seule chose qui peut s'en rapprocher, ce sont les bras de la personne qu'on aime.

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Extrait ajouté par AA71 2018-08-28T12:24:58+02:00

c'est bien de se souvenir, tu dois te souvenir d'où tu viens pour voir le chemin que tu as parcouru.

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— Si, je le sais. Quand on a fait cette balade aujourd’hui et qu’on s’est arrêtés pour déjeuner, tu m’as appris que quelque chose de vide et stérile pouvait être plein de vie et magnifique.

Mes lèvres se retroussent légèrement.

— La canyon était désert, je lui rappelle.

— Mais grâce à toi il était plein de vie, répond-il honnêtement. Tu as ajouté à la beauté des lieux, apporté la vie dans un endroit désolé. Exactement comme tu l’as fait pour moi. J’ai toujours cru que j’étais mort à l’intérieur. Que je n’avais pas le droit de me souvenir, parce que les souvenirs entraînent les sentiments, et les sentiments, ça veut dire exister . Et puis tu es arrivée. Tu m’as rappelé l’effet que ça faisait d’être vivant.

— Aston… (Je prends une profonde inspiration.) Rien de tout ça n’a d’importance si c’est uniquement pour moi. Tu dois te demander pour qui tu vis.

— Au début, c’était pour toi. Rien que pour toi. Mais maintenant… Maintenant, c’est un peu des deux. Je ne verrai jamais ce que tu vois à travers tes yeux, mais c’est déjà plus que ce que j’ai jamais connu.

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— Je suis désolé de ne pas t’avoir dit ce que je ressentais.

— Je le sais, maintenant.

Il secoue légèrement la tête.

— Non, tu ne sais pas. Tu ne sais pas à quel point la moindre caresse de ta part peut effacer le poids de mon passé, et tu ne sais pas que ta présence à mes côtés, la nuit, met fin à tous mes cauchemars. Tu ne sais pas que tu es la première personne à me faire sourire réellement, et tu ne sais vraiment pas que je suis tellement fou de toi que j’arrive plus à avoir les idées claires. « En vain ai-je lutté, mais rien n’y fait. Je ne puis réprimer mes sentiments. Laissez-moi vous dire l’ardeur avec laquelle je vous aime et je vous admire. »

Bon sang. Il imite l’accent britannique à la perfection. Je lui souris, pose ma main sur sa hanche et m’approche de lui. Il passe ses doigts dans mes cheveux et sur ma nuque.

— J’essaierais de refouler mes sentiments que j’en serais incapable, déclare-t-il d’une voix plus douce en appuyant son front contre le mien. (Je ferme les yeux pour l’écouter.) Je suis tombé amoureux de toi et une chose est sûre, c’est que j’ai envie que ça s’arrête jamais. Je ne sais pas comment tu fais, bébé, mais tu fais de moi quelqu’un de meilleur.

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— Est-ce que tu l’aimes ou est-ce que tu aimes ce qu’elle t’apporte ? demande Braden, hésitant, la voix toujours teintée de colère.

Aston s’approche derrière moi et me prend les mains. Il entrelace nos doigts et, quand sa poitrine touche mon dos, je ressens sa vulnérabilité. La seule personne à laquelle il s’est jamais ouvert, c’est moi, et maintenant il doit le faire auprès de quelqu’un d’autre.

— Je l’aime pour ce qu’elle est, et pour ce que je suis quand on est ensemble. Tout ce que Maddie fait pour toi, tu peux le multiplier par un million et tu sauras ce que Megan fait pour moi. Elle a raison, Braden. Aucun de vous me connaît comme elle. Elle sait tout de moi – même les choses que j’ai jamais voulu raconter à personne. Elle est au courant et elle est toujours là. Je l’aime pour tout ce qu’elle me donne, chaque caresse, chaque sourire, j’aime tout. » Tu peux me tomber dessus maintenant et m’éclater la gueule. Vas-y, parce que je le mérite pour avoir fait ça dans ton dos, mais j’ai pas l’intention de m’excuser. Je m’excuserai jamais de l’aimer, alors compte pas dessus. Et t’attends pas à ce que je la laisse tomber, parce que je le ferai pas non plus. Je peux pas.

Il me serre légèrement les doigts en frissonnant. Des pas légers dans l’escalier annoncent l’arrivée de Maddie, et mon regard glisse vers elle. Je ne vois ni la colère ni la contrariété auxquelles je m’attendais.

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— Alors vas-y, Megan. Si c’est aussi important, dis-le-moi. Qu’est-ce que tu ressens ?

Je le regarde fixement et j’ouvre la bouche pour parler.

— Je suis amoureux d’elle, déclare Aston, debout au milieu du couloir. Je peux pas répondre pour elle, mais je peux répondre pour moi. Et la réponse, c’est que je l’aime.

Mes mains retombent sur le côté et je déglutis. Mon cœur bat à un rythme frénétique dans ma poitrine, martelant mes côtes de toutes ses forces. On ne se l’est jamais dit. Il ne me l’a jamais dit.

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Chaque fois qu’un de ces abrutis s’approche d’elle, pendant une fraction de seconde j’en veux à Braden, parce que c’est à cause de lui que cette putain de relation doit rester secrète. Moi aussi j’adorerais m’approcher d’elle, tout de suite, et la soustraire aux sales pattes du crétin qui lui fait face pour lui rouler la pelle du siècle devant tout le monde et bien faire passer le message. Je serais prêt à tout pour l’éloigner d’eux et montrer à tout le monde où est sa place. À qui elle appartient.

Parce que oui, elle est à moi dans le sens le plus possessif du terme. C’est dans mes bras qu’elle tombe, ce sont mes lèvres qu’elle embrasse, c’est mon cœur qu’elle tient dans sa main. Grâce à tout ça, elle est à moi. Et pas au connard arrogant à qui elle est en train de parler.

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— Tu veux que je te l’épelle ? Quoi, avec les notes que tu te payais, t’as pas pris l’option « écoute » ? (Elle hausse les sourcils.) Parce que ça risque de te causer quelques problèmes.

— Je suis presque sûr que mon ouïe baisse à cause de toutes les fois où une fille m’a crié dans les oreilles.

Braden ricane et Maddie lui frappe la cuisse.

— Ne l’encourage pas !

— C’est juste… Laisse tomber, répond-il en dissimulant son sourire.

— Tu sais que crier, c’est tout relatif, hein ? (Elle se caresse la lèvre avec son pouce.) Ça ne veut pas forcément dire qu’elle prend son pied. Enfin quoi, est-ce que les filles ne crient pas devant les films d’horreur ?

Les épaules de Lila sont secouées par un rire silencieux et Maddie se mord la lèvre. Je regarde fixement Megan, l’étincelle dans ses yeux bleus et la douce courbe de ses lèvres qui ne fait qu’augmenter à mesure que je continue de la regarder. Je sens mes propres lèvres s’étirer et je bondis sur mes pieds.

— Fais gaffe, petite maligne. Ma dernière offre tient toujours.

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— Vise la lune, parce que, même si tu la loupes, au moins tu atterriras parmi les étoiles.

— J’ai pas besoin de viser la lune. La seule étoile dont j’aurai jamais besoin, elle est juste devant moi. (J’effleure ses lèvres.) Peut-être que l’endroit que je dois atteindre, c’est la place exacte à laquelle je me trouve en ce moment.

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— Non, je peux pas ! je hurle. Je peux pas te dire ça, putain ! Et c’est bien le problème. Tu dois partir. Tu dois me laisser, parce que moi je pourrai pas. Tu dois te protéger de moi, parce que moi je serai incapable de te laisser.

— Mais ce n’est pas ce que je veux ! (Elle traverse la pièce comme une furie.) Je ne veux pas que tu me laisses ! (Elle s’arrête devant moi, le souffle court, et répète, d’une voix plus douce :) Je ne veux pas que tu me laisses.

Personne voudra jamais de toi. Personne n’en aura jamais rien à faire de toi. T’es qu’une merde. Un fils de pute. Un pauvre type inutile.

Je l’attrape et la serre contre moi en enfouissant mon visage dans ses cheveux. Je tremble. J’ai besoin d’elle. Plus que de tout au monde. Il n’y a que pour elle que j’éprouve quelque chose. Elle me donne envie d’arracher toutes les pièces mal assemblées et de les recoller correctement. Elle éveille quelque chose en moi, une volonté de vivre, une volonté d’ aimer . Avec ses bras autour de moi, ses mains plaquées dans mon dos et sa tête nichée au creux de mon cou, j’ai l’impression d’avoir trouvé ma place.

Ma place est auprès de Megan.

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