Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 791
Membres
1 013 858

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par wizbiz06 2016-07-13T19:37:29+02:00

Le plus drôle, c’est qu’il s’en serait sûrement souvenu. Ben Parish ne se contentait pas d’être le plus beau mec du lycée. Juste pour me rendre un peu plus accro, il était aussi le plus intelligent. Vous ai-je raconté qu’il était aussi adorable avec les enfants et les animaux ? À chaque match, sa petite sœur se trouvait près de la ligne de touche et, lorsque nous avons remporté le championnat, il s’est précipité pour la hisser sur ses épaules et a pris la tête de l’équipe pour faire le tour d’honneur sur la piste, tandis que la gamine saluait la foule comme une reine.Oh, autre chose encore à propos de Ben : son sourire ravageur. Ne m’obligez pas à en parler, je serais incapable de m’arrêter…Après une heure de plus à stresser dans la moiteur du gymnase, j’ai vu enfin mon père apparaître à la porte. Il m’a fait un petit signe de la main, comme s’il venait tous les jours me chercher à la sortie des cours pour me ramener à la maison après une attaque extraterrestre. J’ai enlacé Lizbeth et je lui ai promis que je l’appellerais dès que nos téléphones fonctionneraient de nouveau. Pour moi c’était une évidence. Vous savez, le courant est coupé, mais il revient toujours à un moment ou un autre. Alors, je me suis contentée de serrer Lizbeth un bref instant contre moi, et je ne me souviens pas de lui avoir dit que je l’aimais.

Afficher en entier
Extrait ajouté par wizbiz06 2016-07-13T19:37:17+02:00

Des allumettes. Je n’allume pas de feu, mais j’aurais peut-être besoin de brûler, ou faire exploser, quelque chose.Deux cahiers à spirales – selon le règlement du lycée – un avec une couverture pourpre, l’autre, rouge. C’est ma couleur préférée et, de plus, il s’agit de mon journal. Oui, toujours ce truc d’espoir. Même si je suis la dernière sur Terre et que plus personne n’est là pour le lire, peut-être qu’un extraterrestre le fera, et, dans ce cas, ils sauront exactement ce que je pense d’eux. Au cas où vous seriez un extraterrestre :ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE !Mes bonbons Starbursts (j’ai déjà éliminé ceux à l’orange). Trois paquets de chewing-gums Wrigley’s à la menthe. Mes deux dernières sucettes Tootsie Pops.L’alliance de maman.Le vieux nounours râpé de Sammy. Non pas qu’il soit devenu le mien. Je jure que je ne lui ai jamais fait de câlin.Voilà tout ce que je peux enfourner dans mon sac à dos. C’est bizarre. Ça semble à la fois trop et pas assez. J’ai juste encore un peu de place pour un ou deux livres de poche. Qu’est-ce que je prends ? Huckleberry Finn ou Les Raisins de la colère ? Les poèmes de Sylvia Plath ou ceux de Shel Silverstein qui appartenaient à mon petit frère ? Mmm. Ce n’est sûrement pas une bonne idée d’emporter du Plath. Trop déprimant. Silverstein écrit pour les enfants, mais il parvient toujours à m’arracher un sourire. Je me décide donc pour Huckleberry (ça me semble approprié) et l’album de Sammy, Le Bord du monde.

Afficher en entier
Extrait ajouté par wizbiz06 2016-07-13T19:37:04+02:00

Honnêtement, même si c’est du suicide de rester ici et, malgré ma promesse, je n’ai aucune envie de partir. Ces bois sont mon foyer depuis longtemps. J’en connais chaque sentier, chaque arbre, chaque plante et chaque buisson. J’ai vécu dans la même maison pendant seize ans, et je serais incapable de vous détailler mon ancien jardin, mais je peux vous décrire la moindre feuille, la moindre brindille de cette partie de la forêt. J’ignore ce qu’il en est en dehors de ces bois et des trois kilomètres d’autoroute que j’arpente chaque semaine pour aller me ravitailler. Enfin, j’imagine que c’est toujours un peu la même chose : des villes abandonnées empestant les égouts et les corps en décomposition, des carcasses de maisons brûlées, des chats et des chiens errants, des amoncellements de détritus s’étirant sur des kilomètres et des kilomètres d’autoroute. Et des cadavres.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Maks 2016-07-11T10:35:09+02:00

Le temps s’écoulait à l’envers. La 1re Vague nous a tout à coup ramenés au XVIIIe siècle. La 2e, elle, nous a plongés au néolithique.

Nous étions redevenus des chasseurs-cueilleurs. Des nomades. Retombés au pied de la pyramide de l’évolution.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Maks 2016-07-11T09:51:09+02:00

APRÈS TROIS JOURS DE MARCHE SUR LA ROUTE, j’ai décrété que les voitures étaient comme des bêtes de somme. Elles circulent en troupeau. Elles meurent en masse.

 Les tas de carcasses immobiles, de tôles abandonnées, se comptent par milliers. De loin, elles brillent tels des bijoux.

Afficher en entier
Extrait ajouté par camille_all 2016-06-14T12:04:39+02:00

(...)Sous un ciel bondé d'un milliard d'étoiles. Peu m'importe que ces étoiles nous trouvent minuscules. Une seule d'entre elles, même la plus petite d'entre elles, la plus microscopique, la plus quelconque suffit à mon bonheur.

L'aube est presque là. Vous la sentez arriver. L'univers retient son souffle, parce qu'il n'est pas certain que le soleil se lèvera de nouveau.

Qu'hier ait existé n'implique pas que demain viendra.

La question n'est pas de savoir combien de temps nous serons là, mais ce que nous ferons de ce temps...

Afficher en entier
Extrait ajouté par Kikiis 2016-05-29T20:53:40+02:00

- Soldat Zombie, votre mère a-t-elle eu des enfants qui ont vécu?

- Oui, chef!

- Je parie qu'à votre naissance, dès qu'elle a vu votre gueule, elle a essayé de vous faire retourner d'où nous veniez!

[....]

- Soldat Zombie, vous êtes la honte de notre espèce. J'ai taillé en pièces des morveux plus coriaces que vous. A vous voir, je me dis que l’ennemi avait raison à propos de la race humaine. On devrait vous réduire un bouillie et vous donner à bouffer aux porcs. Alors, qu'est-ce que vous attendez, espèce de sac de dégueulis puant? Une invitation?

Afficher en entier
Extrait ajouté par Kikiis 2016-05-29T20:44:23+02:00

- Arrête de m'espionner!

Une seconde plus tard, il passe la tête dans l'embrasure de la porte.

- Qu'est-ce que tu fabriques?

- Je me coupe les cheveux. Et toi, qu'est-ce que tu fabriques? Oh oui, c'est vrai, j'avais oublié. Comme d'habitude. Tu me suis, et tu m'espionnes depuis la porte. Un de ces jours, tu auras peut-être le courage de franchir le seuil, Evan.

- Pourquoi tu te coupes les cheveux?

Je lui jette un coup d’œil dans le miroir.

- J'ai décidé de me débarrasser de tout ce qui m'emmerde.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Kikiis 2016-05-29T20:36:55+02:00

C'est mon prénom. Cassie.

Pas Cassie pour Cassandra. Ni Cassie pour Cassidy. Cassie pour Cassiopée, la constellation, la rein enchaînée à son trône dans le ciel de l'hémisphère nord, une reine à la beauté magnifique, mais vaniteuse, condamnée par Poséidon à tourner éternellement autour du pôle Nord, comme punition à son orgueil. En grec, Cassiopée signifié : " celle dont les paroles excellent. "

Mes parents ignoraient tout de ce mythe, mais ils aimaient bien ce prénom.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Jolin 2016-05-27T18:25:26+02:00

[Page 379]

"En nous exterminant, les Autres nous ont montré la stupidité de la possession. Le propriétaire de cette BMW dernier cri? Il se retrouve désormais au même endroit que la femme qui conduisait cette simple Toyota."

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode