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La droite la plus repentante du monde



Description ajoutée par piano98 2012-11-12T18:32:21+01:00

Résumé

Oser la droite de conviction. Oser réunir toute la droite.

Quitte à déplaire aux bien-pensants des deux rives, Jérôme Rivière, quarante-deux ans, député UMP de Nice, ose dire tout haut ce que nombre d'élus et de Français pensent tout bas : il est temps d'en finir, à droite, avec le «cordon sanitaire» placé autour du FN. Sauf à faire éternellement le lit de la gauche, laquelle, par ses dérives, menace aujourd'hui jusqu'à l'identité de la France.

Il est déjà si tard...

À travers son parcours atypique d'homme du système «tombé très tôt dans la bulle» - apparatchik de parti, chef de cabinet de François Léotard à la Défense, devenu élu de terrain -, Jérôme Rivière, l'un des benjamins de l'Assemblée nationale, nous raconte - confidences sur Giscard, Barre, Chirac ou Sarkozy à l'appui - comment il a progressivement ouvert les yeux sur les tragiques démissions de son propre camp, auquel la gauche a inoculé le «poison de la repentance».

C'est au nom de ses convictions de droite assumées, qui ont mûri à l'épreuve des faits, que Jérôme Rivière propose de passer outre les oukases du lobby politico-médiatique qu'il a longtemps fréquenté : non, il ne doit plus y avoir de sujets tabous ; non, il n'y a pas d'alliances impossibles.

Tout doit être fait pour empêcher le retour de la gauche, celle de tous les abandons et des déclins irréversibles. Pour retrouver la fierté d'être français, parce que c'est la sauvegarde même de notre identité qui est en jeu, la droite a le devoir de s'unir.

Avant qu'il ne soit trop tard...

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Classement en biblio

extrait

Le nivellement par le bas institué par les socialistes, revient à donner à celui qui roule en deux-chevaux l'espoir que son voisin roulant en Mercedes roulera lui aussi en deux-chevaux. Moi je préférerais que celui qui roule en deux-chevaux roule un jour en Mercedes et que celui qui roule en Mercedes puisse un jour - pourquoi pas ? - s'offrir, s'il le souhaite et travaille, un plus gros modèle...

Le tournant dit «de la rigueur» de 1983 l'a démontré : assez rapidement, la gauche a pris conscience de ses excès. Mais si elle a par la suite limité le nombre de ses «réformes», son état d'esprit faussement et démagogiquement «égalitariste», lui, n'a jamais varié...

Devions-nous, avec cette gauche, accepter la cohabi­tation de 1986 ? Je ne le crois pas. Comme Raymond Barre, je pense que Chirac n'aurait pas dû aller à Matignon. Je crois à l'idée gaullienne qui se dégage de notre Constitution. Je crois à la «colonne vertébrale» président-Premier ministre-Parlement. L'efficacité veut que chacun tire, ensemble, dans la même direction. Une même majorité doit gouverner du Parlement jusqu'au sommet. Il ne peut y avoir dyarchie.

En 1986, on aurait pu imaginer que Chirac aille à Matignon, mais qu'à la première embûche semée par Mitterrand il dise : «J'ai été élu sur un programme, la majorité parlementaire est avec moi. Soit vous acceptez que je l'applique, soit je démissionne.» Il avait l'occasion de le faire, lorsque Mitterrand a refusé de signer les ordonnances sur les privatisations. Mais il a cédé.

Sachant que la majorité des députés aurait soutenu Chirac s'il avait démissionné, et qu'aucun autre homme politique de droite ne se serait, ensuite, déclaré candidat au poste de Premier ministre, Mitterrand aurait été contraint au départ. Ce qu'aurait évidemment fait de Gaulle si sa majorité avait été battue...

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Date de sortie

La droite la plus repentante du monde

  • France : 2007-03-29 - Poche (Français)

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