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Chapitre 5 page 63
On aurait dit un petit feu de camp chaud régulier et fort.
Il remplissez mon corps d'une flamme qui envoyer une onde délicieuses jusqu'à mes orteil et dont je voulais toujours plus
Afficher en entierChapitre 5 page 59
Alors que j'ouvris la bouche pour lui avouer la vérité, une terrible douleur au ventre figea les mots dans ma gorge encore cette ordre intérieur de me taire, ou de m'enfuir, ou simplement de respirer et de réfléchir. Cette fois-ci il s'agissait de ne rien dire
Afficher en entierChapitre 5 page 55
J'ai fermé les yeux je me concentrer sur la beauté de la flamme puis sur la bougie
J'entendis le crépitement de la mèche et senti la chaleur sur mon visage
Afficher en entierChapitre 4 page 43
Faut affronter la vérité et réparer les dégâts en toute honnêteté
Afficher en entierChapitre 4 p42
"Le mensonge ne sert à rien il ne rend pas les choses plus facile ni à court terme ni à long terme."
Afficher en entier— Cet homme est vraiment un singe abruti !
— Grand-mère !
— Oh, Petit Oiseau, aurai-je traité le mari de ta mère de singe abruti à voix haute ?
— Oui, Grand-mère.
Elle me regarda de ses yeux noirs pétillants.
— Tant mieux
Afficher en entier— Vas-y ! dit Lucie. Ne te fais pas de souci pour moi. Je suis déjà morte. Que pourrait-il m'arriver de pire ?
Afficher en entierRésolue à ignorer le malaise qui s'était emparé de moi, je commençais à me détourner du mur (et par là même du sujet) quand, du coin de l'œil, je distinguai un mouvement. Je me figeai. Quelqu'un se tenait sous l'immense chêne où j'avais trouvé Nala. Il - ou elle - me tournait le dos, appuyé contre le tronc, tête baissée.
Bien. Je n'avais pas été repérée. Je ne voulais pas savoir qui — ou ce que — c'était. J'avais déjà plus qu'assez de problèmes : inutile de rajouter un fantôme, de quelque nature soit-il. (Je me promis cette fois de parler à
Neferet des étranges spectres dotés de sang qui rôdaient dans le parc. Elle était plus âgée ; elle saurait gérer le stress.) Le cœur battant si fort que son bruit en couvrait presque le ronronnement de Nala, j'entrepris de reculer lentement sur la pointe des pieds en me jurant que je ne m'aventurerais plus jamais par là toute seule en pleine nuit. Plus jamais !
Je posai le pied sur une brindille sèche. Crac ! Je sursautai ; Nala gronda sans aucune discrétion (il faut dire que je l'avais serrée très fort contre moi). L'inconnu releva brusquement la tête et se retourna. Je me crispai, prête soit à hurler et à m'enfuir en courant, soit à hurler et à combattre un fantôme malveillant aux yeux rouges.
Dans les deux cas, je comptais bien hurler ; alors, je pris une grande inspiration et...
—Zoey ? C'est toi ? me demanda une voix grave, sexy, et déjà familière.
—Qu'est-ce que tu fais là ?
Je lui fis un sourire idiot, espérant dissimuler ainsi le fait que j'avais failli crever de peur. Puis je haussai les épaules avec une nonchalance feinte et le rejoignis sous l'arbre.
—Salut, dis-je d'un ton que je voulais détaché.
Je me souvins alors qu'il m'avait posé une question.
Par chance, l'obscurité dissimulait un peu mes joues cramoisies.
—Oh ! Je revenais de l'écurie. Nala et moi avons décidé de prendre un rallongi.
—Un rallongi ? J'avais vraiment dit ça ?
Loren, qui avait eu l'air tendu à mon approche, éclata de rire. Son superbe visage s'éclaira.
—Ah... un « rallongi ». Ravi de te revoir, minou, fit-il en grattant la tête de la chatte.
Avec son mauvais caractère habituel, elle lui grogna dessus et sauta à terre. Puis elle s'ébroua et s'éloigna à
petits pas délicats, sans cesser de râler.
—Désolée..., lâchai-je, elle n'est pas très sociable.
Il sourit.
—Ne t'en fais pas pour ça. Mon chat, Wolverine, a les manières d'un vieillard grincheux.
—Wolverine ? répétai-je en haussant les sourcils.
Il prit un air taquin, ce qui ajouta encore à sa beauté, a supposer qu'une telle chose soit possible.
—Oui, Wolverine. Il m'a choisi quand j'étais en première année. J'étais dans ma période X-Men.
—Voilà qui expliquerait sa mauvaise humeur, remarquai-je.
—Tu sais, ç'aurait pu être pire. L'année d'avant, je n'arrêtais pas de regarder Spider-Man. Il est passé à deux doigts de s'appeler Spidey ou Peter Parker !
— De toute évidence, ce pauvre chat n'a pas une vie facile avec vous...
—Il serait absolument d'accord avec toi ! s'esclaffat-il
Tu peux me tutoyer, tu sais.
Au prix d'un immense effort sur moi-même, je réussis
A ne pas glousser comme une préado hystérique au concert de son groupe préféré. Incroyable: je flirtais avec lui !
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