Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 421
Membres
1 017 072

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Lou8 2020-10-16T17:03:40+02:00

— Je vais voir dans les affaires de Tamina si je peux te trouver un pyjama.

— Nan.

Il se retourne.

— Quoi, « nan » ?

— Comment te faire comprendre… tu viens chez Marlène et je te propose des affaires à Camille pour dormir, comment réagis-tu ?

— Premièrement je ne viens pas dormir chez lui, deuxièmement je me mets en boxer même si tu n’es pas contente, et troisièmement qu’est-ce que tu es exigeante, bon sang !

Je lui souris, fière de moi. 

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lou8 2020-10-16T14:43:02+02:00

Il pose doucement sa main sur ma joue. Elle recouvre complètement la moitié droite de mon visage et mon cœur fait un tel bond que j’ai l’impression qu’il va exploser ma poitrine.

— Je me rends compte que j’ai été un sale enfoiré avec toi. Je crois que je ne savais pas comment réagir en ta présence. Et je réalise vraiment que j’ai été un abruti complet. Mais maintenant, je suis sûr de ce que je veux. Et si ce n’est toujours pas clair, tu peux toujours me demander.

Mes joues sont en feu. Mon corps entier est en train de brûler.

Je demande, du bout des lèvres :

— Qu’est-ce que tu veux ?

Il me regarde, et je me surprends à réduire encore plus l’espace qui nous sépare.

Il m’imite et se penche pour murmurer :

— Toi. 

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lou8 2020-10-16T11:57:56+02:00

Gabriel se fraie un chemin à travers les buissons épineux en jurant. Il se prend le pied dans une branche basse et manque de plonger tête la première dans la mare.

Il lève enfin la tête et me lance un regard exaspéré.

Merci mon Dieu.

Il se plante devant la mare, bras croisés, et secoue la tête.

— Ça te prend souvent de piquer une tête dans un bassin, seule au milieu de nulle part, à la tombée de la nuit et dans ton plus simple appareil, en plus ?

Bon Dieu qu’il est agaçant. Toujours une parole pour mettre de bonne humeur.

— Tu connais pas ma vie, mon pote, on n’a pas élevé les cochons ensemble.

Il lève un sourcil, visiblement intéressé.

— Eh ben vas-y, je suis tout ouïe, tu as capté toute mon attention.

Je lève les yeux au ciel.

— Bon tu veux bien m’aider ou tu vas me reluquer comme ça toute la nuit ?

Il penche la tête sur le côté, et me regarde, malicieux.

— Ça dépend. Pourquoi as-tu besoin d’aide ?

— Figure-toi qu’on m’a subtilisé mes vêtements, et je n’ai pas envie de rentrer à Tornwalker presque nue et transformée en bâtonnet de poisson congelé.

Il sourit légèrement.

— Oh zut. Seulement presque ? Je pensais que j’aurais enfin la chance de te voir dans toute ta simplicité.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Eleara 2020-08-11T21:57:48+02:00

Un léger bruit se fait entendre à l'intérieur du hangar. Je m'approche, le silencieux de de Dimitri à la main, et ouvre la porte d'un geste brusque. Je vise tous les coins, mais je ne vois pas bien dans le noir. Je sens une présence que je n'arrive pas à localiser. Quelqu'un m'observe, j'en suis sûre.

- Salut, Cassiopée. Je ne t'attendais plus.

Afficher en entier
Extrait ajouté par BooksFan-ny 2020-06-02T23:29:01+02:00

Pourquoi m'inquiéter ? Depuis que j'ai rencontré cet homme, un lien invisible n'a cessé de m'attirer à lui, comme si une force qui ne pouvait pas être anéantie nous réunissait, qu'importent les situations ou la distance qui pouvaient nous séparer. Comme si, au premier coup d'œil que j'avais posé sur lui ce jour-là, à la cafétéria, il y a une éternité il me semble, j'avais inconsciemment compris que je n'étais que la moitié d'une personne. Que je n'étais qu'à moitié satisfaite. À moitié rassasiée. À moitié affamée. Il me manquait une autre moitié pour me compléter. Et cette autre moitié c'était lui. Je ne pourrais pas l'expliquer. Moi-même je ne croyais pas à ce genre de lien mystique que certaines personnes prétendent partager ou à cette histoire encore plus invraisemblable d'âmes sœurs. Mais maintenant je ne suis plus aussi sûre de moi. En fait c'est tout le contraire. Je crois que s'il venait à disparaître, mon essence s'en irait avec lui. Je ne pourrais pas y survivre. Pas seulement à cause du chagrin, non. Mais peut-on vivre avec la moitié d'un cœur ? Certaines choses ne peuvent être expliquées avec des mots. Et je sais qu'il ressent et ressentira toujours la même chose, que nous sommes les seuls à le comprendre parfaitement.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Zayana 2020-05-05T11:37:47+02:00

-Je savais bien que tu pouvais pas oublier ma belle gueule.

Afficher en entier
Extrait ajouté par twins8 2020-03-21T19:22:24+01:00

Arrête de me secouer ! Je ne suis pas un Kinder surprise !

Afficher en entier
Extrait ajouté par Annelise-7 2020-02-07T19:17:20+01:00

- Si j’étais toi, je ne la ramènerais pas trop. Tu es censé me filer, mais visiblement tu n’es pas hyper rapide. L’autre nuit, tu es intervenu bien dix minutes après qu’on m’a agressée, tu devais être loin. Qu’est-ce qu’il y a, je marche trop vite pour toi, c’est ça ?

J’affiche un sourire railleur. Ce type est un enfoiré prétentieux doublé d’un crétin. Enfin, un enfoiré prétentieux plutôt mignon, c’est vrai. Bon, ça va ! Un enfoiré prétentieux divinement beau, je l’avoue. Mais il faut bien que quelque chose rattrape tous ces défauts.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Annelise-7 2020-02-07T19:11:30+01:00

Je me sens bien en ta présence, mieux qu’avec n’importe qui. Et je n’ai pas envie que ça cesse.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Freerique 2019-12-19T03:22:06+01:00

Sans m’en rendre compte, je ferme les yeux, et je passe une main dans ses cheveux. Ses lèvres se posent sur les miennes. Il y va tout doucement, sans me mettre la pression. C’est là que je les sens. Ces foutus papillons. Ils sont bien là, je les sens se cogner dans les parois de mon ventre, tout affolés qu’ils sont.

Ils se sont donné le mot avec mon cœur, qui lui est carrément au bord de l’infarctus, de la crise cardiaque ou de l’arrêt complet, voire même de tous ces problèmes cardiaques en même temps, même si ce sont plus ou moins les mêmes. Je ne suis plus assez proche du sien pour l’entendre, mon ouïe est redevenue normale. Ce son me manque, je ne veux pas qu’il disparaisse. Alors sans réfléchir je retire doucement la main que j’avais glissée derrière son dos et la pose délicatement sur son torse, à l’emplacement de son cœur. Au contact de ma main, je le sens faire un bond et passer à la cadence supérieure. Il était déjà rapide, maintenant il bat à toute vitesse. La main qu’il avait posée sur mon visage glisse en s’attardant plus que nécessaire sur ma gorge et il prend celle que je viens de poser sur sa poitrine. Il ne la retire pas, il la serre et entrecroise ses doigts dans les miens. Puis il s’écarte doucement. Nooooon ! Ça ne peut pas être déjà fini ! Enfin, s’il n’avait pas eu la présence d’esprit de reculer, je serais morte d’asphyxie. Quoique, il pourrait y avoir pire comme mort

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode