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Liste des extraits

Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T22:39:55+01:00

Mais vous ne répéterez pas ce que je vous dis, et mon esprit est si éternellement renfermé en lui-même qu’il est tentant, à la fin, de le mettre à nu devant un autre.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T22:39:55+01:00

Mon amour pour Linton est comme le feuillage dans les bois : le temps e trnsformera, je le sais bien, comme l'hiver transforme les arbres. Mon amour pour Heathcliff ressemble aux rochers immuables qui sont en dessous : source de peu de joie apparente mais nécessité.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T22:39:55+01:00

- Puisse-t-elle se réveiller dans les tourments ! cria-t-il avec une véhémence terrible, frappant du pied et gémissant, en proie à une crise soudaine d'insurmontable passion. Elle aura donc menti jusqu'au bout ! Où est-elle ! Pas là... pas au ciel... pas anéantie... où ? Oh ! tu disais que tu n'avais pas souci de mes souffrances. Et moi, je fais une priére... Je la répéte jusqu'à ce que ma langue s'engourdisse : Catherine Earnshaw, puisses-tu ne pas trouver le repos tant que je vivrais ! Tu dis que je t'aie tuée, hante-moi, alors ! Les victimes hantent leurs meurtriers, je crois. Je sais que des fantômes ont erré sur la Terre. Sois toujours avec moi... prends n'importe qu'elle forme...rends-moi fou ! mais ne me laisses pas dans cet abime où je ne puis te trouver. Oh ! Dieux ! C'est indicible ! je ne peux pas vivre sans ma vie ! je ne peux pas vivre sans mon âme !

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T22:39:55+01:00

Celui-ci est moins que rien s'écria-t'elle, j'allais seuleement dire que le ciel ne m'avait pas paru ëtre ma vraie demeure. Je me brisais le coeur à pleurer pour retourner sur la terre et les anges étaient si fachés qu'ils me précipitèrent au milieu de la lande, sur le sommet des Hauts de Hurle-Vent, où je me réveillai en sanglotant de joie. Voilà qui vous expliquera mon secret aussi bien qu'aurait fait mon autre rêve. Ce n'est pas plus mon affaire d'épouser Edgar Linton que d'étre au ciel; et si l'individu pervers qui est ici n'avait pas ainsi dégradé Heathcliff, je n'y aurais jamais songé. Ce serait me dégrader moi-méme, maintenant, que d'épouser Heathcliff. Ainsi ne saura-t'il jamais comme je l'aime; et cela, non parce qu'il est beau, Nelly, mais parce qu'il est plus moi-même que je ne le suis. De quoi soient faites nos âmes, la sienne et la mienne sont pareilles et celle de Linton est aussi différente des nôtres qu'un rayon de lune d'un éclair ou que la gelée du feu.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T22:39:55+01:00

Mr.Heathcliff, vous êtes un homme cruel, mais vous n'êtes pas un démon; et vous ne voudrez pas, par pure méchanceté, détruire irrévocablement tout mon bonheur.Si papa croyait que je l'ai abandonné avec intention, et s'il mourait avant mon retour, comment pourrais-je supporter l'existence? j'ai fini de pleurer: mais je vais me mettre à genoux, là, devant vous, et je ne me lèverais pas, et mes yeux ne quitteront pas votre visage que vous ne m'ayez regardé aussi. Non, ne vous détournez pas! Regardez-moi! Vous ne verrez rien qui puisse vous fâcher. Je ne vous hais pas. Je ne suis pas irritée que vous m'ayez frappée. N'avez-vous jamais aimé personne dans votre vie, mon oncle? jamais? Ah! il faut bien que vous finissiez par me regarder. Je suis si misérable que vous ne pouvez vous empêcher d'être attristé et de me plaindre.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-10T22:39:55+01:00

_Il est difficile de pardonner, en regardant ces yeux, en touchant ces mains décharnées. Embrassez-moi encore; et ne me laissez pas voir vos yeux! Je vous pardonne ce que vous m'avez fait. J'aime mon meurtrier... mais le vôtre! comment le pourrais-je.

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Extrait ajouté par siegrid 2010-06-24T13:53:48+02:00

Extrait 1 :

Mais, en ce qui concerne Mr. Heathcliff, il existe un singulier contraste entre sa demeure et la façon dont il y vit. Il a l'apparence d'un bohémien à la peau boucanée, l'habillement et les manières d'un gentilhomme. J'entends un gentilhomme autant que peuvent l'être les hobereaux. Il est assez mal mis peut-être, mais porte beau en dépit de cette négligence, car sa tournure est élégante et ferme ; et au total, plutôt morose. Quelques personnes, c'est possible, l'accuseront d'une dose d'orgueil mal placé. Je possède une fibre sensible qui me dit qu'il n'en est rien. Je sais, par affinité, que sa réserve provient d'une aversion pour l'étalage voyant des sentiments et les échanges trop démonstratifs. Il aimera et haïra avec la même impassibilité, il tiendra pour une sorte d'impertinence d'être aimé ou haï en retour.

Extrait 2 :

J'entendais aussi la branche de pin répéter son bruit irritant et attribuais celui-ci à sa véritable cause ; mais il me gênait tellement que je décidais de le faire cesser si j'en étais capable. Je crus que je me levais et essayais d'ouvrir la croisée. La poignée était soudée au crampon, particularité que j'avais remarquée étant éveillé, mais que j'avais oubliée. "Il faut absolument que cela cesse !" murmurai-je, et, passant mon poing au travers de la vitre pour saisir cette odieuse branche. Mais, au lieu de cela, mes doigts se refermèrent sur les doigts d'une petite main glacée ! L'affreuse horreur du cauchemar m'oppressa, j'essayais de retirer mon bras, mais la main s'y accrochait, et une voix déchirante sanglotait : "Laissez-moi entrer...laissez-moi entrer !... - Qui êtes-vous ?" demandai-je tout en me débattant pour me dégager. "Catherine Linton", répondit la voix en grelottant (pourquoi pensai-je à Linton, nom que j'avais lu pour une fois pour vingt fois Earnshaw), "je rentre à la maison, j'avais perdu mon chemin dans la lande !" Tandis qu'elle parlait, je distinguai obscurément une figure enfantine regardant à travers la fenêtre. La terreur me rendit inhumain et, voyant l'inutilité de ses efforts pour me défaire de cette créature, j'attirai son poignet contre le carreau cassé et le frottai en tous sens jusqu'à ce que le sang vînt inonder les draps. Cependant elle gémissait : "Laissez-moi entrer", sans desserrer une étreinte tenace qui me rendait presque fou de peur. "Comment le pourrais-je ? dis-je à la fin. Lâchez-moi si vous voulez que je vous fasse entrer !" Les doigts cédèrent, je dégageai vite les miens, me hâtai de placer devant l'ouverture une pyramide de livres, et me bouchai les oreilles pour chasser la douloureuse prière. Il me sembla rester ainsi un bon quart d'heure ; malgré cela, lorsque je prêtai l'oreille de nouveau, la voix plaintive continuait de se lamenter. "Allez-vous-en ! criai-je. Je ne vous laisserai jamais entrer même si vous suppliez pendant vingt ans. – Il y a vingt ans ! gémit la voix. Vingt ans...Je suis une épave depuis vingt ans !" A ce moment un faible grattement se fit entendre à l'extérieur et la pile de livres bougea comme si elle était poussée par-derrière. J'essayai de me lever, mais ne pus remuer un membre. Alors, dans une transe de frayeur, je poussai un hurlement.

Extrait 3 :

Nous nous pressâmes en cercle et, par-dessus la tête de Miss Cathy, j'aperçus un enfant aux cheveux noirs, sale et déguenillé, assez grand pour parler et marcher. Au vrai, sa figure semblait en faire l'aîné de Catherine. Cependant, quand il fut mis sur ses pieds, il ne fit qu'écarquiller les yeux et répéter sans fin un baragouin que personne ne put comprendre. Je fus prise de peur et Mrs. Earnshaw faillit le mettre dehors. Elle s'emporta brusquement, demandant au maître comment il avait fait son compte pour ramener chez lui ce marmot ce Bohémien alors qu'ils avaient leurs propres enfants à nourrir et à élever ? Que comptait-il en faire ? N'était-il pas fou ? Le maître essaya de s'expliquer, mais il était réellement à moitié mort de fatigue, et tout ce que je pus comprendre de cette histoire, entre les gronderies de sa femme, fut qu'il avait vu le gamin mourant de faim, sans gîte et tout comme muet dans les rues de Liverpool. Alors, il l'avait recueilli et s'était enquis de son patron. Pas une âme ne savait à qui il appartenait, nous dit-il, et, comme son argent et son temps étaient limités, qu'il était résolu à ne pas le laisser où il l'avait trouvé, il avait pensé qu'il serait préférable de le ramener tout de suite à la maison plutôt que se lancer là-bas dans des dépenses inutiles. Eh bien ! la conclusion fut que ma maîtresse, tout en bougonnant, se calma. Et Mr. Earnshaw me dit de le laver, de lui donner des affaires propres et de le faire dormir avec les enfants.

Hindley et Cathy s'étaient contentés de regarder et d'écouter jusqu'à ce que la paix fût rétablie. A ce moment, ils commencèrent tous deux à fouiller les poches de leur père, à la recherche des cadeaux qu'il leur avait promis. Lui était déjà un garçon de quatorze ans, mais, quand il sortit du pardessus les morceaux brisés de ce qui avait été un violon, il se mit à pleurer comme un bébé ; et lorsque Cathy apprit que le maître avait perdu son fouet tandis qu'il s'occupait de l'inconnu, elle montra sa colère en grimaçant et en crachant à la figure du stupide petit être, ce qui lui valut, pour apprendre de meilleures manières, une gifle retentissante de son père.

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Extrait ajouté par mariposa0211 2010-04-04T19:04:06+02:00

1801. - Je viens de rentrer après une visite à mon propriétaire, l’unique voisin dont j’aie à m’inquiéter. En vérité, ce pays-ci est merveilleux ! Je ne crois pas que j’eusse pu trouver, dans toute l’Angleterre, un endroit plus complètement à l’écart de l’agitation mondaine.

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Extrait ajouté par xldpxnk 2024-03-24T21:52:49+01:00

Seulement Catherine, rendez-moi cette justice : croyez que, si je pouvais être aussi doux, aussi aimable, aussi bon que vous, je le serais. J'aimerais autant cela, et même plus, que d'avoir votre santé et votre bonheur. Croyez aussi que votre bonté m'a fait vous aimer plus profondément que si je méritais votre amour ; et, quoique je n'aie pas pu et que je ne puisse pas m'empêcher de vous laisser voir ma nature, je le regrette et je m'en repens, je le regretterai et je m'en repentirai jusqu'à ma mort.

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Extrait ajouté par Azarie810 2023-12-20T15:10:38+01:00

J'aime le sol qu'il foule, l'air qu'il respire, et tout ce qu'il touche, et tout ce qu'il dit. J'aime tous ses regards, et tous ses gestes, je l'aime entièrement et complètement. Voilà !

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